Mon premier gang bang

Je m’appelle Marc, j’ ai 31 ans, je suis blond aux yeux bleus, j’ ai une silhouette mince, voir filiforme, des traits fins, androgynes, j’ai très bien réussi dans ma vie professionnelle et suis déjà à la tête d’une start-up dans le domaine de l’informatique au succès grandissant et je suis ce que l’on appelle une petite salope. J’aime qu’une femme me domine et me fasse sucer des queues et me faire défoncer le cul. Depuis quelque temps déjà, j’avais envie de passer à la vitesse supérieure avec ma maîtresse de l’époque, une vraie domina professionnelle qui officie sur Paris. C’était indiqué dans le questionnaire que j’avais rempli au préalable avant notre toute première séance, que de me faire trouer le cul par de multiples partenaires, c’était plus qu’envisageable, un vrai fantasme oserais-je dire qui perdurait depuis des années déjà. Je me sentais devenir chaque jour de plus en plus pute.
Plus j’avais de la bite plus j’en voulais, c’était devenu comme une drogue et j’arrivai à la conclusion qu’il me fallait que je passe à l’acte avec plusieurs hommes, je voulais me faire humilier, défoncer, traiter comme la dernière des traînées.
Un jour, je suggérais à ma maîtresse en pleine séance que je n’en avais pas eu assez … Elle s’étonna de mon audace.

-Que veux-tu dire petite larve ?
– Madame, j’ai toujours envie de baiser et je me disais que peut-être vous auriez d’autres copains intéressés.
– Salope tu veux des bites en plus.
– Oui.
– Mais tu es un véritable trou à pines.
– Non pas un trou un gouffre ».
-Tu veux vraiment de la bite en plus ?
– Oui Madame.
– Je crois que j’ai une idée. Que fais-tu samedi soir ?
– Je n’ai rien de prévu.
-Un de mes soumis doit se faire prendre en gang bang, tous les participants son testés pour les MST, tu pourras donc sucer, avaler, te faire défoncer sans risques pour ta santé. Serais tu d’accord pour être l’autre petite chienne qui se fera défoncer bien profond ce jour-là ?
– Tu auras huit queues pour ta bouche et ton cul, peut-être qu’après ça tu crieras grâce.
– Peut-être bien Madame, je l’aurai bien mérité.

J’attendis le jour J avec fébrilité et impatience, l’envie de me faire humilier était trop forte. J’avais l’ interdiction formelle de me branler durant une semaine, je devais arriver à la séance les couilles pleines de foutre, à quatre pattes, nu, tenu par une laisse en cuir par ma maîtresse, le cou enserré par un collier à piques. Mes yeux seraient bandés durant la première partie de la séance, je n’aurai le droit d’enlever mon bandeau que si je donnais entière satisfaction à ma ma maîtresse en lui faisant honneur en étant une bonne petite pute bien obéissante.

Le jour tant attendu arriva, je retrouvais ma maîtresse, ravissante, comme à son habitude, vêtue d’ un corset rouge en vinyle qui mettait en valeur sa très belle poitrine, elle me fouetta, me donna un tacle bien senti derrière les jambes et je me mis à quatre pattes, elle écarta mon cul et me le lubrifia. Quand elle eut fini, elle me dit :
– Allez petite fiente, suis moi.

Je m’exécutais, seules les odeurs me parvenaient, ça sentait le mâle en rut.
Elle  me dit « Ils attendent ton cul et ta bouche, ne me déçois pas petite traînée en rut.
– Tu es contente salope ?
– Oh oui Madame.
– Bien dans ce cas prouve-le !
– Avec joie Madame.

Quand nous rentrâmes dans la pièce, il régnait une atmosphère chaude, humide et odorante de corps en sueur.
Tous les hommes étaient nus prêts à prendre nous prendre l’autre soumis et moi comme des petites chiennes, un silence se fit et ma maîtresse dit  » Bonjour Messieurs , je vous présente
mon petit soumis, je vous préviens c’est une vraie salope, elle m’ordonna d’annoncer la couleur »

Je dis en féminisant ma voix jusqu’au grotesque :
– Je suis très gourmande, mon cul aime les bites et ma bouche adore sucer.
– J’espère que tu seras à la hauteur petite merde me dit ma maîtresse sur un ton sec.
– Maintenant montre leur ton cul, écarte-le.
– Avec joie Madame.
Me voyant bien disposé, non hésitant, elle décida à la dernière minute de m’enlever mon bandeau.
Les huit sexes étaient dressés et chacun des mecs en rut qui étaient présents se caressaient doucement.J’étais ému devant ce spectacle, tous avaient des membres de taille largement au-dessus de la moyenne mais les deux plus impressionnant étaient ceux des deux hommes qui se tenaient le plus près de moi, l’ un d’ eux avait un membre très gros en diamètre dépassant les 20 de long tandis que celui de l’ autre était aussi gros mais dépassait les 25 centimètre et était surmonté par un gland très volumineux.Madame me dit « Alors est-ce que c’est à ton goût grosse larve ?
– Oh oui, c’est magnifique. Merci infiniment maîtresse.
– Content que ça te plaise. Tu vas te mettre à quatre pattes au milieu de la pièce comme ça on aura ton cul est ta bouche prêts à servir. D’accord petite branleuse ?
– Très bien Madame.

Je pris la pose demandée, à même le sol qui était dur et froid fois, j’écartais les cuisses et me cambrais pour faire ressortir mon fessier.Ma maîtresse dit « Regardez les gars comme cette pute tend son cul, baisez la sans retenue ».Un homme s’agenouilla devant moi et m’enfonça son sexe dans la bouche, le pénis avait une déplaisante odeur de transpiration qui augmenta mon envie et je me mis à le pomper vigoureusement. Je sentis un gland turgescent glisser dans ma raie moite et venir se positionner contre l’entrée de mon canal. Bien qu’étant consentant et extrêmement excité, j’eus un mouvement d’affolement quand je me rendis compte de la dimension de ce qui allait me rentrer dans le cul, je n’en avais jamais pris de si grosse auparavant.
L’homme me dit alors dit « Ne te sauve pas petite pute je vais percer ton cul ».Me maintenant solidement aux hanches mon amant commença à peser sur mon ouverture, quand le bout durci écarta mes chairs, une atroce brûlure se propagea en moi et bien qu’ayant la bouche pleine du sexe d’ un autre type je poussai un hurlement étouffé.Ne tenant pas compte de ma douleur il continua à s’enfoncer en moi, j’essayais de ruer mais chacun de mes mouvements faisaient en sorte de faire entrer le membre érigé.
Quand je sentis contre mes fesses en feu les poils frisés du pubis du type, je sus qu’il était en moi complètement.J’avais les larmes aux yeux tellement j’avais mal et mon mec me dit « Tu vois ma salope toute ma bite est entrée dans ton petit trou, tu vas voir je vais bien te limer et après c’est toi qui en redemandera, tu vas voir ce que c’est qu’une vraie bite jamais ton cul ne va être aussi bien baisé qu’avec une queue comme la mienne ».Me mettant une grande claque sur la croupe, Il commença à aller et venir en moi m’arrachant à chaque passage des cris de douleur.Celui de devant bloqua ma tête entre ses mains et se mit à me baiser la bouche en larges coups de reins.Peu à peu mon anneau se détendit et la souffrance diminua faisant place à une douce langueur, c’est à cet instant que plaquant mon visage contre son pubis celui que je suçais éjacula en râlant, ses jets de sperme crémeux giclèrent contre ma gorge et je les avalais avec délice.Madame s’exclama  « Cette pute suce vraiment bien et elle avale, allez les gars foutez-lui votre bite dans la bouche ».
Un autre sexe se présenta, j’ouvris la bouche et l’engloutis.

A suivre …

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