Ma sueur sur ta peau
Tu es sur le lit.
Lui
Il fait chaud, tu t’es mis dans la chambre pour dormir.
Je reviens de courir, je suis encore tout en sueur, le torse dégoulinant.
Je rentre dans la chambre et je t’observe. Une envie bestiale me submerge.
Je m’approche de toi et je te croque le cou pour te réveiller doucement.
Tu te réveilles et ça te fait sourire, mais tu gardes les yeux fermés.
Je décale ta culotte et mes doigts se faufilent en toi directement. Je te doigte sauvagement et je caresse ton clitoris pour bien te faire mouiller.
Je descends ma bouche sur tes seins pour les sucer et les croquer. Je poursuis ma descente, j’ai écarté tes jambes un peu brutalement, car mon envie brûlante transparaît dans mes yeux.
J’aperçois ta chatte, bien ouverte, tes poils non rasés, sauvages.
Je te bouffe le vagin en te regardant dans les yeux, je suce ton clito avec envie et je te baise avec les doigts en même temps. Tu gémis, tu cries, tes doigts serrent fort le matelas tellement c’est bon.
J’ai envie de te faire craquer rapidement et d’entendre ta jouissance.
Je remonte vers toi, je sors ma queue bien raide, déjà mouillée, et je te la mets directement en t’embrassant ; je suis sur toi, je te prends avec envie.
Je te baise fort, mes hanches claquent contre les tiennes, une mouille abondante lubrifie ma queue, et tu sens mon gland taper au fond de ta chatte.
Je te regarde, tu sens ma main sur ton cou, je serre doucement pour te montrer mon côté sauvage.
Tu me regardes et tu me dis « vas-y, continue, vas-y fort ».
Tu cries fort et tu jouis intensément.
Ça m’excite tellement que je sens que je viens aussi.
Je me retire et j’éjacule sur tes poils, puis je frotte mon gland pour récupérer et me réintroduire en toi.
Enfin, je me colle contre toi et je me mets à dormir, mon corps encore tout sali par ma course et toi, seule, par la baise que tu viens d’avoir.
Elle
Putain tu m’as retournée.
Je suis encore toute chaude, la chatte en feu, ça coule entre mes cuisses et je sens encore ta main, ta bouche, ta queue partout.
Quand tu es rentré, en sueur, sans même dire un mot, et que tu m’as prise direct, j’ai su que j’allais pas tenir longtemps.
Je me suis laissée faire, j’avais juste envie de toi, de ta façon brute de me baiser, de ton odeur, ton goût, ta sueur, de ton envie animale.
Et quand tu m’as prise par derrière, comme ça, fort, sans prévenir, j’ai senti que tu voulais me baiser fort.
Je gémissais sans pouvoir me retenir, mes mains agrippées au drap, mes hanches qui te répondaient.
Et tes doigts sur mon clito en même temps… je te jure, je me suis laissée exploser sans réfléchir.
Quand tu t’es vidé en moi, je me suis sentie pleine, soumise, salie… et j’ai adoré.
Et maintenant je suis là, encore nue, trempée, avec ton foutre qui coule, et envie que tu reviennes me reprendre.
Tu me détraques. Et je veux encore.