Pause déjeuner torride au bord du lac : le fantasme discret en pleine journée

Pause déjeuner torride au bord du lac : le fantasme discret en pleine journée

Il y a des moments où le désir surgit sans prévenir. Au détour d’un message, d’un regard échangé le matin au travail, ou même d’une simple suggestion à l’heure du café. Et parfois, ce désir devient si intense qu’il faut le vivre, là, tout de suite, sans attendre la nuit tombée. C’est ce qui s’est passé ce jour-là, à Genève, au bord du lac, pendant une pause déjeuner qui n’avait rien d’ordinaire.

C’était un jour comme les autres. Il bossait depuis tôt le matin, enfermé entre deux réunions, tendu, crispé, le dos raide et les pensées agitées. Mais sous ce masque professionnel, je savais ce qui grondait : l’envie, la vraie. Celle qui ne se calme pas avec un café ou un croissant. Celle qui appelle autre chose. Quelque chose de plus… salé.

Alors on s’est donné rendez-vous. Un coin discret, un petit espace de verdure au bord du lac Léman, un peu en retrait. Pas un coin perdu, non, mais suffisamment à l’abri des regards pour ce que j’avais en tête. J’étais déjà installée quand il est arrivé, son t-shirt de travail encore humide, son pantalon légèrement froissé, le regard un peu perdu entre concentration et excitation.

Il a posé son sac, s’est assis près de moi, et j’ai tout de suite senti : son corps était tendu, et pas seulement à cause du stress.

Je ne lui ai pas laissé le temps de dire grand-chose. J’ai glissé ma main sur sa cuisse, lentement, puis je suis remontée vers sa braguette. Il m’a regardée, surpris, mais il n’a rien dit. Il n’avait pas besoin. Il savait. Il voulait.

Je l’ai déshabillé juste ce qu’il fallait. Pas besoin de tout enlever pour le faire frémir. Son sexe était déjà dur, prêt, chaud. Je l’ai sorti de son caleçon avec une lenteur délibérée, puis je l’ai pris en bouche, sans cérémonie. D’abord doucement, puis plus vite, plus profond. Je le voulais entier. Je le voulais vide.

Pendant quelques minutes, il a tout oublié : les appels manqués, les mails en retard, les collègues un peu lourds. Il n’y avait plus que moi, ma bouche, mon rythme, ma faim. Je sentais ses cuisses trembler, ses doigts s’enfoncer dans l’herbe, son souffle s’accélérer. Il essayait d’être discret, mais son corps ne mentait pas.

Et puis il a craqué. Il a joui, fort, violemment, comme s’il expulsait toute la tension de la matinée dans ma gorge. Je l’ai avalé sans un mot. Juste un sourire, les lèvres encore brillantes.

Je me suis redressée, j’ai attrapé une fraise du panier, et je lui ai lancé, mi-innocente, mi-provocante :

— Avoue, c’est mieux qu’un sandwich au thon.

Les pauses coquines : un fantasme très répandu

Ce genre de scène érotique en pleine journée, c’est un fantasme que beaucoup d’hommes partagent. Une rencontre discrète entre midi et deux, un rendez-vous secret dans un lieu public mais à l’abri, une tension sexuelle qui explose dans un moment volé. C’est cette idée de l’interdit, du risque, du plaisir immédiat, qui rend ces instants aussi excitants.

Et si tu n’as pas (encore) l’occasion de vivre ce genre de scène dans la vraie vie, rien ne t’empêche de la revivre par téléphone. Nos hôtesses, expertes dans l’art de stimuler ton imagination, sont là pour ça. Elles savent t’écouter, te guider, et surtout t’emmener loin, très loin, dans tes envies les plus inavouées.

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