l’art délicieux du parler sale

Dirty Talk : l’art délicieux du parler sale

Je suis Kitty, une prostituée anglaise. An English prostitute, comme disent mes clients les plus smarts… ou “british bitch” pour ceux qui préfèrent le langage cru. Salope, pute, garce, pétasse, pouffiasse, putain… tout ce qui les excite est bon pour my business.

Parce que mes spécialités, ce sont les insultes, le langage grossier, le dirty talk. Bref, le parler sale. Moi, j’adore ça. Je trouve que c’est very exciting, ça met du piment, ça électrise l’excitation. Et puisque j’aime ça, mes clients en raffolent.


Pourquoi le dirty talk ?

Souvent, mes clients sont des hommes mariés, des notables, des bourgeois. Chez eux, leurs femmes osent à peine murmurer “pénis” en rougissant. Avec moi, pas de filtre : je parle de leur bite, queue, teub, zob, avec délectation.

Et ce n’est pas qu’un sens unique. Moi aussi, j’aime être bousculée, insultée. Être traitée de salope, de pute, de pétasse me fait mouiller. Et en retour, je balance des “salaud”, “gros porc”, “fils de pute”, “son of a bitch, motherfucker”. Certains préfèrent les insultes en français, d’autres kiffent le côté so British… et certains aiment un mélange bien sale pendant qu’ils me pilonnent la chatte ou le cul.


Trois formules pour tous les goûts

Parce que choice is very important, je propose trois versions de dirty talk :

  • Dirty Talk Soft : des mots cochons, des insultes bourgeoises, des humiliations douces.

  • Dirty Talk Middle : langage plus cru, dirty street talk, l’insulte de la rue.

  • Dirty Talk Done Dirt Cheap : tout est permis. J’insulte comme une mitraillette, sans limite, jusqu’à ce que l’orgasme explose.

Et bien sûr, l’inverse est possible : mes clients me susurrent des cochonneries à l’oreille, leur bite coincée entre mes seins. “Fille perdue, catin, misérable”… soft mais terriblement efficace.


Quand ça devient plus hard

Parfois, ils veulent du dirty street talk bien crade. Ils m’emmènent dans une cave, me déchirent mes vêtements, me prennent en levrette en hurlant : “Salope ! Garage à bites ! Pute à sperme ! Grosse pouffiasse !”

Et moi ? J’adore. Parce qu’ils me défoncent profond, sans retenue. Je jouis quand ça cogne, quand leurs bites frappent, quand ça claque, quand je suis baisée comme une chienne en chaleur.

Ils adorent aussi me bourrer la bouche. Dick in my mouth, hum, so exciting… I like hot cum ! J’avale leur foutre brûlant avec un gémissement, les cheveux tirés, la gorge gavée.


L’humiliation, ma spécialité

Mais ce que je préfère, ce sont mes soumis. Ces petites loques qui n’attendent que mes insultes. Leur bite frémit à chaque mot, leurs yeux brillent quand je leur crache au visage des “ordure”, “vermine”, “détritus”.

Je les méprise, ils aiment ça. Je les réduis à rien, j’écrase leur ego, je les fais ramper. Et plus je les humilie, plus ils bandent, ces déchets. Là, c’est le dirty talk done dirt cheap : trash, cruel, impitoyable.

Ils en redemandent, pauvres esclaves, et moi je jubile. Parce que je suis leur maîtresse, et eux mes vermines, mes chiens, mes objets.


Essayez… si vous osez

Le dirty talk, c’est un vice qui colle à la peau. Un mot cru, une insulte sale, et l’excitation grimpe d’un coup. Moi, je ne m’en passe plus. Mes clients non plus.

Essayez une fois… et vous deviendrez accro.

Enjoy… motherfuckers.


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