Chaleur torride sur le sable
Il fait chaud. Le soleil tape fort sur la plage. Allongés sur nos serviettes, nos peaux brillent de crème solaire et de sueur. Rien que de te regarder, en maillot, le corps halé, légèrement salé, ça me donne envie. Tes seins luisent, ta peau colle un peu sous mes doigts quand je te caresse distraitement. Ce ne sont d’abord que des gestes tendres, une main posée, un frôlement. Rien de sexuel. Pas encore.
Mais mes doigts commencent à dériver. Ils glissent sur ton cou, descendent entre tes seins. Je sens ton souffle changer. Tu me regardes et tu m’embrasses, ta langue cherche la mienne, langoureusement, comme pour m’inviter à continuer. Je prends ton sein dans ma main, ton téton se dresse, dur, offert. J’y colle mes lèvres, je le suce, je le mordille.
Ma main descend le long de ton ventre, puis tu écartes les cuisses sans un mot. Invitation muette, mais claire. Mon doigt effleure ton clitoris, lentement. Tu frissonnes. Tu te mords les lèvres. Je ressors ma main pour lécher tes sucs, puis je remets un peu de salive sur mes doigts avant de les replonger sur ton clito. Je frotte, plus vite, plus fort. Tu gémis. Tu me demandes de te prendre.
Mais non. J’ai envie de te faire jouir. De te sentir fondre sous ma langue. Je baisse la tête, décale ton maillot, et je t’embrasse là. En bas. Je te lèche lentement, en te fixant dans les yeux. Je t’entends respirer plus fort, et bientôt, tu cries, doucement, mais assez pour que j’en aie le sexe dur. Je glisse deux doigts en toi et je fais des va-et-vient, plus profonds, plus rapides. Je me branle en même temps, et je jouis. Trop vite. Je recueille mon sperme dans ma main et je le répands sur ta chatte. Je continue à te doigter, à masser ton clito couvert de foutre. Tu cries, tu jouis fort, tremblante entre mes mains.
Tu restes allongée un instant, le souffle court. Puis tu te redresses. Tes doigts viennent chercher ma main. Tu la lèches, lentement, sensuellement. Tu la descends vers mon sexe, toujours dur, encore humide de ta bouche et de ton jus. Tu me suces doucement, presque tendrement, pour recommencer.
Et puis tu montes à califourchon sur moi. Je sens ton sexe chaud et trempé glisser sur le mien. Tu t’empales sur moi d’un coup, en soupirant. Tu commences à bouger, à onduler, à te frotter, les seins qui dansent, la tête penchée en arrière. Tu accélères. Tu gémis. Je te tiens par les hanches, fasciné par ton plaisir, ta façon de prendre ce que tu veux.
Tu me cries que tu vas jouir, encore. Et tu le fais. Fort. Longtemps. Je ne résiste plus. Je jouis une seconde fois, en toi, profondément, pendant que tu trembles sur moi.
On reste l’un dans l’autre, nos peaux moites, salées, tremblantes encore. Tu ris doucement. Tu me chuchotes à l’oreille : « T’as vu ce qu’on a foutu sur cette plage ? »
On se lève enfin, nus, brûlants, et on court ensemble dans l’eau, pour se rincer et s’enlacer, encore excités, encore amoureux, le cœur et le sexe apaisés.
L’eau est fraîche, mais nos corps rayonnent encore de désir. Tu nages autour de moi, joueuse, coquine. Tes doigts me frôlent sous l’eau, entre les jambes. Tu m’attrapes à nouveau, tu t’accroches à mon cou. Ta bouche se colle à la mienne, ton bassin frotte déjà contre moi.
Je bande encore. Et cette fois, c’est toi qui décides. Tu me glisses contre le rocher, tu prends mon sexe dans ta main et tu le guides en toi. Lentement. Tu me chevauches dans l’eau. Ta tête sur mon épaule, tu me murmures : « J’en veux encore… »
Et moi, je n’ai plus qu’à me laisser faire. Sous ce soleil brûlant, dans cette mer salée, tu me baise comme une sirène sauvage.
