Érections présidentielles (2) : femmes de pouvoir et fantasmes interdits
Je suis un fétichiste. J’ai un fantasme qui n’a rien d’ordinaire : je bande pour les femmes de pouvoir, les dominatrices, celles qui savent commander. Et en cette période de campagne présidentielle, je suis en état d’excitation maximale.
La chance : cette année, il y a beaucoup de candidates. Blondes, brunes, minces, pulpeuses, bourgeoises ou populaires… elles ont toutes ce charisme électrisant qui me fait bander.
Je ne sais plus où donner de la bite.
Parrainages… ou perversions ?
Je suis maire d’une ville moyenne. Tous les candidats viennent chercher mon parrainage. Je n’ai pas encore choisi, mais je sais déjà une chose : ce sera une femme. Et si elle sait me convaincre avec son corps autant que ses idées… je ferai même campagne à ses côtés. Collé-serré.
La brunette de gauche
Une brunette bien gaulée, avec son regard coquin. Rien qu’à l’imaginer nue, j’ai envie de me branler entre ses seins.
Je rêve d’une branlette espagnole avec elle, ma bite glissant entre ses tétons fermes, pendant qu’elle me nargue avec ses yeux sombres de salope.
La bourgeoise de droite
Air sévère, irréprochable… la petite bourgeoise coincée me donne envie de la dévergonder. Je la vois déjà en jupe d’écolière, culotte blanche baissée, prise par-derrière, mes doigts dans ses cheveux.
Puis, elle se vengerait. Elle me frapperait, m’humilierait, me soumettrait. Et moi, je deviendrais son esclave en laisse, frustré mais docile, un jouet sexuel à sa merci.
La déesse d’ébène
La belle black de gauche, pulpeuse, fière, autoritaire. Avec elle, pas question de discuter : je me mets à genoux.
Je lui lèche les pieds avec adoration. Je lave son corps nu, je masse ses cuisses puissantes, je suis son domestique. Puis elle s’assied sur ma bouche et m’ordonne de jouir pour elle. Sa chatte trempée devient mon unique horizon, je la sers comme une déesse.
La brune très à gauche
La petite brune militante, passionnée, fougueuse… je lui ferais bien “la lutte finale”. Nus sur un tapis, roulés l’un contre l’autre, je la prendrais dans toutes les positions, levrette comprise, mes mains sur ses seins lourds, ma queue profonde dans son cul.
Avec elle, je veux baiser comme on lutte : toute la nuit, par tous les trous, jusqu’à la victoire finale.
La blonde autoritaire
Et enfin, la blonde de droite, fille à papa, autoritaire, glaciale. Je rêve de la briser.
Je la mets nue à quatre pattes, seulement vêtue d’un blazer bleu marine qui laisse pendre ses gros nichons. Elle me suce la queue et les couilles, puis le cul, comme une chienne dressée. Je la promène dans des clubs, fièrement, en la faisant sucer des mecs à la chaîne, sa bouche de cochonne avalant tout, son regard porcin me suppliant encore.
Le choix final
Bientôt, je vais devoir me décider pour mon parrainage. Mais comment choisir entre toutes ces femmes de pouvoir qui me rendent dingue ?
Une chose est sûre : chacune d’elles sait faire bander la France. Et moi, je ne me lasserai jamais de mes érections présidentielles.