Gourmandises sexuelles : crème, nutella et levrette au beurre
J’ai un faible pour les femmes bien en chair. Rien que de les voir, ça me réveille mes instincts de mâle. Des gros nichons à malaxer, un cul énorme à pilonner, une bouche pulpeuse à gaver de bite, et ces poignées d’amour parfaites pour m’accrocher quand je les prends en levrette. Ça, c’est le pied.
Avec elles, il y a toujours cette bonne humeur, cette gourmandise de vivre… et de baiser. Elles aiment rire, manger, jouir. Et moi, j’adore partager ces plaisirs simples. Alors forcément, on mélange parfois les deux : bouffe et baise. Et là, c’est l’orgie assurée.
Chantilly sur les tétons et bite au nutella
Je connais une vraie cochonne qui adore ça. On commence soft, avec de la chantilly sur ses lèvres. Je la lèche, je la fais fondre, je pousse ma langue dans sa bouche, nos langues s’emmêlent pendant que mon corps s’écrase contre le sien. Ma bite bande déjà dur.
Je recouvre ses gros seins de crème, je les lèche lentement, je finis par engloutir ses tétons qui deviennent durs comme des pierres. Elle gémit, elle se tortille, elle me caresse partout. Puis je sors le nutella. J’en étale sur sa poitrine, je suce ses aréoles, ses tétons longs et gonflés. Elle mouille à torrents.
Alors, je badigeonne ma bite de nutella, et elle se met à genoux. Elle me suce comme une vraie salope gourmande, avale mon gland tout chocolaté, en geignant de plaisir. Putain, je pourrais jouir direct, alors je l’arrête pour ne pas exploser trop vite.
Confiture, compote et beurre bien gras
À mon tour de la régaler : je couvre sa chatte de chantilly, je lèche son clito, je la doigte profond. Elle se tord, elle crie, elle en redemande. Je tartine ma bite de confiture de fraise, et on s’enchaîne un 69 interminable, elle suce, je lèche, on se gave de foutre et de sucre.
Une fois, elle a innové : compote sur mon cul, et son doigt a glissé dans mon anus pendant qu’elle suçait ma bite. J’ai décollé comme un malade, super sensible, sensations explosives. La queue en acier, je l’ai remerciée en la baisant comme une chienne, jusqu’à la faire jouir en hurlant.
Mais la palme, c’est au beurre. Oui, du beurre. Je lui ai tartiné le cul, et je l’ai doigtée lentement avant d’enfoncer mon gland. La sensation d’un trou serré lubrifié au beurre, c’est incomparable. Je l’ai pénétrée profond, le cul tout beurré, mes couilles frappant son cul, ses seins balançant comme des mamelles. Je les ai écrasés entre mes mains pendant que je l’enculais sans pitié. Elle criait, suppliait : “Encore, encore !” Je lui ai donné tout ce que j’avais.
Orgie sucrée et baise sans fin
Je me suis retiré avant de gicler, et j’ai arrosé sa bouche et ses gros nichons de sperme bien chaud. Elle a nettoyé ma queue en me suçant, étalant ma semence sur ses seins comme une vraie salope.
Et déjà, ma bite se remettait au garde-à-vous. Elle, la chienne en chaleur, avait ressorti toute la panoplie : chantilly, confiture, nutella, compote, beurre… On s’est recouverts de gourmandises, seins, bouche, chatte, bite, cul, tout y est passé. On a baisé dans tous les sens, pendant des heures.
Une partouze à deux, sucrée, grasse, animale, la meilleure baise de ma vie. Entre deux gorgées de crème et deux coups de reins, j’ai compris une chose : rien n’excite plus qu’une salope gourmande, prête à tout lécher, à tout avaler, à tout offrir.