La voisine, son tiroir entrouvert… et mon désir incontrôlable
Cela faisait seulement quelques semaines que j’avais posé mes valises dans cet immeuble du 16ᵉ. Un quartier tranquille en apparence, bourgeois, feutré… mais où, la nuit, les murs trop fins laissaient filtrer des secrets brûlants. Chaque soir, un son revenait, obsédant, impossible à ignorer : la voix d’une femme, ma voisine du dessus.
Je ne la connaissais pas. Je ne l’avais jamais croisée. Pourtant, je la fantasmais déjà.
Elle faisait l’amour presque chaque nuit. Parfois seule, parfois accompagnée. Ses soupirs, ses gémissements, le froissement de ses draps… tout traversait le plafond pour venir m’enflammer. Parfois, je percevais le ronronnement discret d’un sextoy. Elle jouissait avec une liberté animale, comme si jouir était sa respiration.
J’écoutais, en silence. Fasciné. Envoûté. Suspendu à chacun de ses râles comme un junkie accro à sa dose. Elle était devenue ma drogue sonore.
Un dimanche lourd et moite, je l’ai enfin vue. Pieds nus, un peignoir à peine fermé, une serviette sur ses cheveux humides. Elle descendait l’escalier, mug à la main. Elle m’a souri. Simplement. Mais dans ce sourire, il y avait déjà la promesse du vertige.
Quelques jours plus tard, elle m’invita chez elle. Un verre de vin, prétexte banal. Son appartement sentait l’encens et la vanille, les lumières étaient tamisées. Elle m’abandonna quelques instants. Je n’ai pas résisté.
La salle de bain entrouverte. Un tiroir mal fermé. Et là… un autel du plaisir : vibros, plugs, lubrifiants parfumés, menottes, dentelles fines encore imprégnées de chaleur intime. J’ai porté une culotte à mon nez. L’odeur de son sexe m’a traversé comme un éclair. Je bandais dur, agenouillé devant ses reliques interdites.
Quand j’ai levé les yeux, elle était là. Adossée au chambranle. Nue sous son peignoir entrouvert. Son regard me clouait, ni choqué, ni surpris. Amusé. Comme si elle m’avait tendu ce piège. Comme si elle voulait que je découvre son univers.
Elle s’est avancée. En silence. Et ma descente a commencé.
La suite, je ne peux pas te l’écrire ici. Mais je peux te la murmurer. Lentement. Comme si tu y étais. Comme si tu étais cet homme, tremblant, bandé, pris au piège de son désir.
Parce que c’est ça, le téléphone rose : une porte entrouverte, un tiroir qu’on ose enfin explorer, une voix chaude qui t’emmène plus loin que tu ne l’avais imaginé.
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