Le lac
Je t’attends devant ton bureau à Genève. La journée a été longue, et rien que l’idée de te voir sortir me fait frissonner. Quand tu apparais enfin, avec ce sourire qui me fait toujours craquer, je baisse ma vitre et je te dis doucement :
— Monte, j’ai envie de toi.
Tu t’installes, ton parfum me trouble déjà. Je file vers le lac Léman, comme si je n’avais pas une seconde à perdre. L’air du soir est doux, presque tiède, et la lumière du soleil qui descend caresse l’eau d’un éclat doré. On se gare un peu à l’écart, dans un endroit discret.
J’ai déjà prévu le coup : sous ma robe légère, je porte un maillot blanc. Quand je la fais glisser hors de mes épaules, je vois ton regard s’assombrir d’envie. Le tissu est un peu trop fin, un peu trop transparent, et je sais déjà que tu devines mes tétons sous la toile mouillée avant même qu’on se trempe.
— Tu viens ?
On descend ensemble vers l’eau. Je frissonne quand elle s’empare de mes chevilles, puis de mes cuisses. Le lac est frais, mais l’excitation me réchauffe. Je plonge jusqu’aux épaules et je sens ton corps venir contre le mien. Tes mains se posent sur mes hanches sous l’eau et tu m’attires à toi.
Je te souris, un peu provocante, et pendant que tu flottes, je garde les pieds au sol. Ma main glisse sur ton ventre, puis plus bas. Je caresse ton sexe déjà gonflé à travers ton maillot. L’eau nous entoure, légère, mais ce que je sens sous mes doigts est bien ferme.
Je serre plus fort, je commence à te branler doucement, le rythme de ma main suivant le clapotis des vagues.
— Tu aimes ça, avoue…
Ton souffle se fait plus court. Le maillot mouillé colle à ma poitrine, et je sais que tu ne peux détacher tes yeux de mes seins qui pointent sous le tissu blanc devenu presque transparent. J’approche ma bouche de ton oreille et je te murmure :
— J’ai tellement envie de sentir ta queue, là, maintenant…
Je glisse mes doigts dans ton maillot pour libérer ton sexe dur. Sous l’eau, je l’entoure de ma main et je commence à le branler plus vite. Je t’imagine te laisser aller, tes gémissements étouffés par ma bouche posée contre la tienne.
Je sens ton sexe pulser dans ma main et je n’ai plus qu’une idée : te faire perdre le contrôle. Je t’embrasse avec voracité, ma langue envahissant ta bouche, pendant que ma main accélère sous l’eau. Ton bassin ondule malgré toi, et tes gémissements se mêlent au clapotis du lac.
— Touche-moi…
Tes doigts glissent aussitôt entre mes cuisses. Le tissu trempé de mon maillot ne cache plus rien. Quand tu passes le bout de tes doigts sur ma chatte, je gémis dans ta bouche. Tu remontes un peu le tissu et tu m’effleures directement, trouvant mon clito gonflé et brûlant d’envie.
Je cambre les hanches, mes seins tendus sous le maillot blanc que tu écartes d’un geste impatient. Mes tétons durs pointent, à peine couverts, et tu les pinces entre tes doigts.
L’eau nous porte mais je reste bien ancrée au sol. Je te branle plus fort, et tu ne résistes plus : tu fais glisser mon maillot sur le côté, tes doigts plongent en moi. Je pousse un gémissement aigu, la tête renversée, offerte à tes caresses.
— Baise-moi… prends-moi, je t’en supplie…
Tu me soulèves légèrement pour me faire flotter, et tu viens poser ton gland gonflé contre mes lèvres trempées. La sensation est dingue, ta queue glisse toute seule dans ma chatte déjà inondée.
Je m’accroche à tes épaules, mes jambes s’enroulent autour de ta taille, et tu me pénètres d’un coup profond. L’eau clapote autour de nous, mais je n’entends plus que tes coups de reins et mes gémissements.
— Oui… encore… plus fort…
Tu me pilonnes sans retenue, ta queue va et vient, me déchirant de plaisir. Je serre mes cuisses autour de toi pour t’empêcher de sortir, je veux sentir chaque centimètre en moi. Mes seins se pressent contre ton torse, le maillot glissé sous ma poitrine, et je sens tes mains qui m’empoignent les fesses pour me faire rebondir sur ta queue.
Je jouis d’un coup, ma chatte se contracte autour de toi, et je crie ton prénom, sans plus me soucier si quelqu’un nous entend. Tu continues, encore plus vite, tes couilles viennent taper contre moi sous l’eau. Mon orgasme me secoue, mais je te sens proche de jouir aussi.
— Vas-y… gicle en moi…
Quelques coups encore, et tu te tends, tu grognes dans mon cou, et je sens ta queue déverser sa chaleur dans ma chatte. L’eau se mêle à nos fluides, mes jambes toujours serrées autour de toi.
On reste collés l’un à l’autre, haletants, le lac nous portant doucement, et je murmure, un sourire coquin aux lèvres :
— Je crois qu’on reviendra souvent au bord du Léman, toi et moi…