Gang Bang XXL : ma plus grosse partouze
Bonsoir mes amours, c’est Marlène.
Ce soir, je vais vous raconter une de mes soirées les plus folles. Vous allez adorer, j’en suis sûre.
Oui, je suis une grosse chaudasse, et j’assume. J’adore le cul, j’adore les queues, j’adore les partouzes. Internet est mon terrain de chasse : sites libertins, forums coquins, annonces de soirées… c’est là que je réalise mes fantasmes les plus obscènes.
Et le mois dernier, j’ai vécu le plus énorme gang bang de ma vie.
L’annonce de la soirée
En me connectant, je tombe sur un post annonçant une méga partouze avec 80 participants. Pas d’hésitation : je réserve ma place. Deux jours plus tard, je reçois l’adresse d’une salle polyvalente paumée dans un petit village, et le mot de passe pour entrer.
Je suis surexcitée. Je sais déjà que je vais avoir la chatte en feu, le cul rempli, la bouche gavée de bites.
La préparation
Avant de partir, je prends un bain chaud avec mon gode. Mousse partout, doigts dans la chatte, pommeau de douche sur le clito… je jouis déjà une première fois, histoire de me mettre en jambes.
Puis j’enfile ma tenue de salope : mini-jupe noire, bustier assorti, talons rouges, porte-jarretelles. Pas de culotte, inutile : je vais passer de bite en bite toute la nuit. Je prends mon sac rempli de capotes, vaseline, lingettes. Et un masque : incognito obligatoire.
Direction la campagne. Une heure de route, et me voilà devant la salle polyvalente.
L’ambiance à l’arrivée
À l’entrée, je donne le mot de passe et je pénètre dans la salle. Musique, lumière tamisée, bougies, buffet bien garni, bar libre-service, DJ. Des boîtes pleines de capotes et de lubrifiant disposées un peu partout. Le rêve.
Une urne trône près du bar : chacun y tire un papier marqué “baise avec le numéro …”. C’est le jeu : pas de refus possible.
Première rencontre : Jocelyne en 69
Je bois une coupe de champagne, je tire un numéro : le 69 (ça ne s’invente pas). Je dois retrouver le numéro 25. C’est une blonde quinqua, corps encore bien bandant. Masquée comme tout le monde, parfumée, cochonne.
On danse un peu, puis vite je lui retire sa culotte et je lui broute le minou poilu devant tout le monde. Elle mouille comme une salope. On s’installe en 69, elle me lèche le clito avec une langue d’experte, moi je la pénètre avec quatre doigts. On jouit toutes les deux, sous les yeux des voyeurs. J’adore l’exhib’.
Le black de deux mètres
Je retourne à l’urne. Nouveau tirage : le 31, mon âge ! Je tombe sur le numéro 1 : un grand black en costume, près de deux mètres.
Je me jette sur sa queue. 25 cm, 5 de large. Une bête. Je la suce, la gorge pleine, la bouche inondée de salive. Il me pousse la tête, je l’avale profond.
Puis il me fout à quatre pattes au milieu de la salle. Tout le monde mate. Il me pénètre d’un coup, profond, brutal. Sa bite énorme pète ma chatte, je hurle. Il me prend comme une chienne, doigts dans mon cul, mains sur mes seins.
Et soudain, il me sodomise. Sa queue noire, énorme, glisse dans mon trou de balle. Je crie, je jouis, c’est violent, c’est bon. Après une heure et demie, il explose dans ma bouche, je bois son foutre chaud et épais en le remerciant. Le public applaudit.
L’ivresse et le gang bang final
Je retourne au bar, champagne à volonté. Quatre coupes plus tard, je suis pompette. Je tire un nouveau numéro, mais une nana m’embarque dans un groupe de dix en plein gang bang.
Je ne me souviens pas de tout : deux bites dans ma bouche, une queue en moi, une langue sur mon anus, une nana qui me pince les tétons… Je suis couverte de sueur, dégoulinante, offerte. Une vraie poubelle à bites au milieu d’une orgie totale.
Le lendemain matin
Je ne sais plus comment la nuit s’est terminée. Tout ce que je sais, c’est que je me suis réveillée dans ma voiture, chatte et cul en feu, la bouche encore marquée par le goût du sperme.
J’ai mal partout, mais je suis détendue, sereine. J’ai englouti des mètres de queue, j’ai avalé des litres de foutre… et j’en redemande déjà.
Vivement le prochain gang bang.
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