Soumise offerte

Soumise offerte : l’éducation de Marion

Je suis l’heureuse propriétaire de Soumise Marion depuis plusieurs années. Marion est une jolie femme de 40 ans : environ 1m70, cheveux noirs et frisés, teint mat, yeux bleus, lèvres pulpeuses. Un corps naturel et enrobé, des seins charnus, des fesses pleines, des hanches larges. Pas un mannequin siliconé, mais une vraie femme qui excite les hommes.

Marion est heureuse de son appartenance. Elle aime obéir, se soumettre, être assujettie à ma volonté. Et surtout… elle adore être souillée par les mâles, sous mon contrôle, sous mon regard.


Le plaisir d’offrir

La première fois que j’ai offert Marion, elle était nerveuse, mais surtout excitée. Elle savait qu’elle serait prise sous mes yeux, dirigée par moi, sodomisée comme une vraie chienne si je le décidais.

J’avais choisi sa tenue : une robe simple et courte, facile à retirer, un soutien-gorge en coton, une culotte basique. Rien de glamour : juste assez pour être mise à nu rapidement.

Ensuite, il fallait trouver le bon mâle. Pas un dominant, non : un étalon obéissant. J’ai choisi un ouvrier de 28 ans, brun, musclé, curieux de l’expérience. Un corps solide, une queue prometteuse, et surtout prêt à suivre mes ordres.


L’examen de l’étalon

Nous avons reçu le mâle chez moi. Ambiance jazzy, canapé convertible. À ma demande, il s’est déshabillé sous nos yeux, sa bite déjà gonflée, qu’il a caressée pour bander dur.

Marion, rouge de honte et d’excitation, mouillait déjà dans sa culotte. Il l’a déshabillée lentement, suivant mes directives : robe d’abord, puis soutien-gorge, ses grosses mamelles offertes à ses mains. Enfin, il fit glisser sa culotte, découvrant sa chatte trempée.

Marion a tenté de se couvrir. J’ai dû la réprimander : une soumise s’exhibe nue devant l’étalon.


La levrette obligatoire

Je lui ai ordonné de branler la queue du mâle. Marion s’exécuta, caressant la bite raide entre ses doigts tremblants.

Puis j’ai donné l’ordre : “Levrette, et branle-lui le clito.”

L’étalon savait s’y prendre. Ses doigts faisaient gémir Marion comme une truie en chaleur. Alors j’ai autorisé la pénétration : sa queue dure dans la chatte serrée de Marion.

Il peinait un peu, elle couinait que ce n’était “pas sa faute”, qu’elle mouillait beaucoup. Je l’ai fait taire d’une voix sèche. Une soumise ne parle pas sans permission.

À mes ordres, il a glissé un doigt, puis deux. Marion gémissait, son gros cul offert, ondulant pour en prendre plus. Et enfin, il a planté sa queue en elle, labourant sa chatte à grands coups de reins, jusqu’à l’inonder de foutre chaud. Marion criait, jouissait, remerciait humblement, rouge de plaisir et de honte.


Débriefing et discipline

L’étalon, nu et encore bandant, m’a remerciée. Il m’a même proposé ses services directement, mais j’ai décliné. Un maître et son esclave ne mangent pas dans la même écuelle.

Nous avons plutôt discuté de “l’assouplissement” de la chatte de Marion. Une bonne soumise doit s’entraîner, se dilater, s’ouvrir.

Ce fut la première étape de son éducation sexuelle. Depuis ce jour, Soumise Marion est beaucoup moins serrée… et beaucoup plus docile.

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