Érections présidentielles : quand la politique se joue aussi sous la ceinture
Ah, les élections présidentielles… stress, débats, poignées de main et sourires forcés. Tout ça pompe une énergie folle. Mais quand les caméras s’éteignent, il reste un autre moyen de relâcher la pression : le sexe. Brutal, animal, sans compromis. Et crois-moi, ça vaut tous les meetings du monde.
Hammam, bites en feu et salopes en chaleur
Avec mon pote l’écolo, on a nos rituels. Un hammam, quelques chiennes bien chaudes, et on part en partouze comme des fous.
Lui, il adore se faire sucer jusqu’aux couilles, la tête renversée pendant qu’une cochonne lui engloutit le gland. Moi, je mate, la bite gonflée, et une autre bombe vient m’écraser ses seins énormes contre le torse. Je la saisis, je la perce. Elle s’empale en gémissant, je la pilonne comme un taré.
À côté, mon pote démonte sa salope en levrette, ses fesses claquent, ça dégouline, ça pue la baise. On jouit comme des porcs, et ces filles nous lèchent propres, dociles, soumises, parfaites putes de hammam.
Ma maîtresse candidate : ennemie en public, chienne en privé
Mais le vrai plaisir, c’est ma maîtresse. Une candidate, officiellement mon ennemie politique. Officieusement, ma soubrette personnelle. Et rien que cette hypocrisie me fait bander.
Dans un hôtel discret, elle m’attend en soubrette : bas résille, jarretelles, décolleté prêt à exploser. Ses gros seins débordent, ses lèvres pulpeuses me supplient déjà. Je la plaque, je la déchire, je la culbute comme une domestique.
Elle me pompe comme une reine du porno. Mais je veux plus. Je veux lui exploser la chatte. Je la retourne, je la prends à quatre pattes, seins ballottants, cul offert. Je l’enfonce profond, elle hurle, supplie, se fait ouvrir comme une truie en chaleur. Je graisse son trou de cul, je pousse mon gland, elle se tord, jouit, se gave de bite comme une droguée. Je la lime sans pitié jusqu’à la faire hurler.
La militante dévouée : “fais-moi jouir pour la France”
Et puis il y a les militantes. Ces chiennes dévouées, prêtes à tout pour servir “la cause”.
Une brune aux cheveux longs m’attend après un meeting. Elle me dit qu’elle rêve de servir son candidat autrement. Je la plaque sur une table pleine de tracts. Déjà à genoux, elle me suce comme une assoiffée, m’avale profond, bave sur ma queue.
Je la relève, pas de culotte : déjà trempée comme une pute. Je la pénètre d’un coup sec, elle hurle, agrippe les papiers qui volent partout. Je la prends brutalement, la table claque, ses jambes s’écartent encore. Ses seins jaillissent de son chemisier, je les mords, je les tire. Elle crie, supplie :
— “Baise-moi plus fort, fais-moi jouir, donne-moi ta crème pour la France !”
Je la pilonne comme un malade, je gicle en elle avec un râle de bête. Elle s’effondre, la chatte dégoulinante, offerte, heureuse d’avoir servi son pays autrement.
Tout se joue au niveau des parti(e)s, à ce que nous constatons…