Ode aux culs

Ode aux culs

ah, des culs, j’en ai connus !
Des culs vêtus, et des culs nus
des culs timides et des hardis
avec un beau vécu joliment rebondi
ou même des tendres culs timides et tous jolis.

J’aurais adoré continué en vers cet éloge sincère dédié aux belles croupes, aux fesses, aux culs, j’en suis friand, admirateur, et gros consommateur ! Je ne suis pas un grand poète, hélas, mais un homme avec son vécu, et ses goûts de gourmet.

Les culs, je les vénère, je les admire, je les mate, je les devine, je les renifle, je les lèche, je les respire, je les mange, je les effleure, je les déflore, je les pénètre.

Je les ai toujours aimés, et j’ai commencé à mieux les connaître en les pratiquant, vers l’âge de 20 ans. Avant, je les regardais à la dérobée, un peu honteux de mater ces magnifiques croupes généreuses, mes préférées, celles des femmes matures et girondes.

Un cul, quand on l’aime, il vous le rend bien. Il sait se faire souple, s’entrouvrir, vous accueillir dans sa chaleur et sa tendresse tout en vous enveloppant, bien serré en lui. Comme c’est gentil, un cul qui enserre votre verge et l’aspire en faisant de petits bruits charmants !

J’adore les culs blancs et laiteux, ceux que l’on peut prendre à pleine mains, malaxer, peloter, caresser, baiser avec gourmandise. J’aime quand ils dépassent de mes mains, quand mes doigts s’enfoncent dans des fesses charnues, et que je découvre un petit trésor tout rose en les écartant doucement.
Ah, ces culs de jolies cochonnes, que j’aime les entrouvrir et les lécher, leur faire une feuille de rose, les caresser de ma bite tendue et chaude, et les pénétrer, provoquant un cri de plaisir étonné, qui devient de plus en plus puissant tandis que je l’enfonce dans les chairs, et le mystère de ma compagne de luxure.

Puis, sans délaisser mes beaux culs de lait, je me suis pris de passion pour les culs exotiques, ceux des femmes à la peau très foncée, dont les culs ondulent avec nonchalance et onctuosité à chaque pas.
J’aime ces culs noirs, ronds, fermes, entourés de hanches larges, ces culs merveilleux contre lequel mon ventre rebondit, sur lesquels mes couilles claquent en faisant du bruit, ces culs accueillants de femelles animales dans lesquels se love ma queue de mâle en rut. Ces magnifiques culs brillants ne cessent de me fasciner et mon excitation n’a d’égal que mon admiration.

Seigneur, que je jouis d’un foutre heureux dans ces culs qui appellent l’abondance de la semence !

Je les lime avec amour, je les encule avec dévotion, je baise ces culs avec une ferveur proche du divin. Je suis au paradis quand je suis dans un cul. Je donne alors à l’aimable femme dont le fessier abrite ma bite, le meilleur de moi-même, je prends mon temps, je l’écoute, je guette ses gémissements, ses cris, je suis prêt à faire tout ce qu’elle me demande, pourvu que son cul se referme longtemps sur mon chibre heureux.

Avez-vous déjà éjaculé dans une raie de cul ? Avez-vous pu vous délecter de la vision de ce sperme coulant doucement du sacrum, jusque le joli trou rose ou brun à peine entrouvert d’un cul offert ? Avez-vous déjà joui dans un cul moelleux bien serré ?

Elles m’appellent le prince de la sodomie, je rêve d’ en être le roi, que dis-je, l’empereur !

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