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Bonjour les hommes,
Moi c’est Soraya, une femme brune plutôt ronde, la sensualité incarnée avec de belles lèvres , un regard coquin et des seins… Personnellement je me mets en valeur au jour le jour avec le port de tenues très bon chic bon genre du type tailleur, jupe crayon… Mais ne vous fiez pas à mes tenues impeccables car je ne rêve que d’une chose : qu’on me les arrache et que l’on me fasse crier de plaisir !
Bref la vraie salope BCBG par excellence… avec les dessous sexys qui vont avec : bas, guêpières, porte-jarretelles… un vrai plaisir pour les gourmands… Mais ne vous inquiétez pas car je ne suis pas en reste non plus… j’adore tout goûter et particulièrement les gros sexes bien dur, je trouve qu’il n’y a rien de plus excitant que la première fois que je prends un homme en bouche, voir ses réactions c’est juste un tel plaisir !
Bref n’hésitez pas si je vous plais, si je vous excite et si vous avez envie de vous faire plaisir avec moi, venez me rejoindre sur la ligne rose ultra chaude où je suis là pour vous presque tous les jours de la semaine.
A bientôt
Soraya
Aristote
Merci pour cette agréable soirée.
Nous avons été coupé à l’instant où tu me disais :
« J’ai bien aimé l’expression…….. »
J’aimerai savoir la suite. Quelle est cette expression que tu as bien aimé?
Soraya
Soraya,
L’expression que j’aime beaucoup est l’expression « liqueur de vie » : je l’ai apprise de toi. Tout comme hier, à mon tour, je t’ai appris une autre expression : je ne la rappellerai pas ici, puisque tu la sais maintenant. Hier, n’en pouvant plus de désir pour toi, j’ai mélangé par de longs jets successifs mon foutre, longtemps retenu, à ta liqueur de vie, qui s’était échappée : cela s’est passée en haut de tes cuisses, là où ces deux superbes colonnes solides se rejoignent enfin. J’ai joui en toi et par toi.
Aristote
PS. Tu m’écris peu après notre échange : j’y suis sensible. Comment ne pourrais-je pas ?
Aristote
Malgré mes nombreux appels et fans, il est important pour moi de maintenir la relation au delà de nos échanges téléphoniques.
S’écrire c’est aussi une manière de se dire « vous êtes important pour moi » » je suis importante pour vous « .
Je ne retiens pas forcément tous les prénoms mais je retiens les situations.
Je présente d’ailleurs mes excuses les plus plates et les plus sincères aux hommes que je ne reconnais pas. Il m’est possible de reconnaitre une voix mais après avoir passé de longs moments au téléphone avec l’homme derrière cette voix.
Je vous embrasse Aristote.
Je vous embrasse aussi Soraya. Je crois bien que je vais rêver de vous, de vous et de vos formes aussi.
Aristote
PS. Je vois que vous êtes revenue au vouvoiement, qui recèle des possibilités insoupçonnées, n’est pas sans charme ni intérêt, ne serait-ce qu’en permettant de changer sans coup férir de registre, de passer ainsi au tutoiement pour se dire des mots crus. Voudrez-vous bien, Soraya, me dire des mots bien crus, me tutoyer pour me traiter sans ménagement aucun ?
Aristote
Je vous attends afin de souiller vos oreilles de mes mots crus.
Prépare ton vit et viens me rejoindre.
Soraya
Bonjour SORAYA,
Merci pour avoir accepté ce joli scénario jeudi soir. Je planche déjà sur un nouveau mais je crois qu’il va falloir aller encore plus loin. Je risque de friser les limites du tolérable…. Une bonne douche froide et ça calmera mon imagination ! En tout cas encore merci pour ton « petit coup de main », j’en avais bien besoin. A très vite.
AYMERIC
Mon cher Aymeric ce fut un plaisir largement partagé !!!
Reviens moi vite avec tes scénarios….
Pourquoi une douche froide alors que nous pouvons, toi et moi, mettre en scène tes envies?
Je t’embrasse….
Soraya
C’est très flatteur que tu me dédie une nouvelle fois, à moi aussi, ces écrits coquins.
Je vois ça un peu comme une récompense : celle de t’avoir baisé au téléphone comme tu le mérites. En ayant réussi à rejoindre tes fantasmes les plus crus, j’imagine que c’est ta façon à toi de me donner quelques bons points. Histoire de m’encourager à continuer dans cette voie…
Un vrai plaisir de traverser, durant quelques instants, tes pensées les plus perverses.
Quelle salope de putain, tu fais, Soraya !
En découvrant chacune de tes lignes obscènes, ma queue devenait de plus en plus grosse.
Je suis moins disponible, actuellement ( nos emplois du temps respectifs sont aussi, parfois, incompatibles ) mais je reviendrais te voir très bientôt.
Pour venir derrière toi, coller mon braquemart contre la raie de ton gros cul de marocaine soumise et me branler bien fort sur ton vêtement moulant. Puis malaxer, pétrir et triturer ces énormes mamelles que j’aime tant. Prendre un de tes nichons en bouche, le lécher et le sucer si fort à t’en faire mal. Après, déchirer tes bas et ta jupe. Mettre ta culotte sur le côté et te fouiller avec mes doigts. Enfin, devant tous ces clients qui attendent mon feu vert afin de venir te maltraiter à ma guise, te fourrer comme un salaud !
A plus tard, ma belle grosse femelle perverse.
Franck
Je goûte ce pain de l’amour.
Alors que je pétris consciencieusement mon pain, je sens ton souffle dans ma nuque. Tes mots qui m’embrasent.
Tu me dis à quel point tu as envie de mon ventre.
Le remplir de ton sexe devenu dur, le remplir de ta semence.
Ta voix, ton souffle rauque me renseigne sur ton état.
Tu cales ta respiration sur la mienne.
A l ‘unisson, nos pouls s’accélèrent.
Je sens une petite goutte de sueur perler sur mon front.
Avec une lenteur insupportable cette goutte suit la courbe de mon sein gauche, s’arrête un instant sur mon téton durci et à l’instant précis où elle tombe sur ma pâte, je sens ton sexe dur me pénétrer, tes mains sur mes hanches, tes lèvres sur ma peau……
Bonjour mon amour …
Soraya
Arnaud!
Mon amour!
La distance qui nous sépare, l’impossibilité pour toi de te connecter à ton aise exacerbent nos sens.
Je rêve de ta bouche, je veux entendre ta voix prononcer mon prénom!
Soraya!
Mon mélange d’occident et d’orient te séduit.
Ce que je suis, les sensations que je génère chez toi te submergent!!
Nos agendas et nos vies respectifs nous tiennent éloigner l’un de l’autre.
Ta présence virtuelle brûle mon âme, mon absence te consume.
Nous nous retrouvons sur skype pour un moment volé à l’éternité.
Tu connais mes fantasmes mon amour, tu as l’art et la manière de me les révéler à moi même.
Je t’ai dis que Pablo refusait de m’accompagner dans un club libertin.
Alors pour mon plaisir, pour notre plaisir tu nous mets en scène dans un nouveau scénario pour me permettre de découvrir ce frisson de la première fois.
Tu plantes le décor en m’envoyant une photo de cette ruelle de Lille pour que je visualise l’endroit.
L’eden!!!
Tu me dis que nous traverserons cette place piétonne main dans la main, heureux et amoureux , en nous dirigeant vers cette ruelle dont tout le monde connait le secret.
Je porte pour l’occasion une robe sans rien dessous si ce n’est mes collants ouverts et mes chaussures à talons.
Il y a me dis tu, à l’entrée, une volée d’escaliers qui mènent à une première salle. Je ne peux m’empêcher de sourire quand tu décris la salle.
Le mur en face et ceux sur les côtés sont en fait des cloisons percées de gloryhole!!!
Seigneur!!
Je n’ai jamais vu autant de bites!!
Tu sais que j’adore les fellations alors tu me préviens « Soraya mon amour tu auras le droit de sucer 2 bites , d’en branler 3 et d’en faire jouir une seule!
Sur tes seins!
Mon Amour, tu me dis que c’est toi qui enlèvera ma robe pour m’embrasser et me caresser juste avant que je ne fasse mon choix.
Fasciné par la passion que je mets à choisir les queues du plaisir, tu me regarderas les branler, les sucer et me faire asperger très rapidement d’un liquide chaud et épais.
Sur mon écran je lis fascinée ses mots que tu m’envois!! Je te dis que je suis déjà trempée, tu me rappelle que ce n’est que le début de la visite.
Tu reprends donc ton récit.
Laissant là ma robe, tu me dis aussi que je dois laisser ce foutre sur moi pour que les mâles le sentent. Et nous quittons cette salle en empruntant un couloir.
Sur le côté j’aperçois furtivement une femme de mon âge occupée à sucer un jeune homme tandis qu’un petit voyou de cité s’acharne à tenter de la sodomiser, visiblement sans résultats!!
Et oui le sexe ce n’est pas comme dans les pornos!!
Mon amour, tu sais que ces images allument des zones de mon cerveau qui vont me faire passer de l’état de femme à l’état de louve. Oui tu le sais et c’est pour cela que tu le fais.
Dans cet amour que tu as de moi tu aimes toutes mes facettes et tu sais que tu peux, au gré de tes mots, de tes humeurs, déclenchées celle qui te fait plaisir.
Dans le couloir il y a des hommes qui se branlent sur notre passage, tu ne dis rien, nous marchons main dans la main. Soudain tu t’arrêtes en face de l’un d’entre eux, et d’une simple pression exercée sur mon épaule tu me signifies ce que tu attends de moi. Je m’assied donc sur mes talons pour avaler cette queue dressée face à moi. Tu es derrière moi, je sais que tu profites du spectacle de mon fessier sur mes talons.
Je suce cette queue avec passion, on dirait celle de mon Pablo!!!Tu me glisses à l’oreille , « Soraya! Sur tes seins, n’oublies pas ! Tu n’avales pas ! « »Oui mon amour !!
Cette éjaculation est puissante, les yeux et la bouche fermés, je sens ce foutre m’asperger par giclée! J’entends l’homme gémir de plaisir! J’ai envie de me toucher mais tu me l’interdit!!
Avec délicatesse tu m’aides à me relever , nous continuons à marcher pour atteindre une salle en sous sol, faite de pierre à l’ancienne.
On dirait une cave!!
J’aperçois une sorte de hamac dans le fond.
Curieuse je me précipite pour regarder ce que c’est et tenter de deviner son utilisation. J’entends des grognements ! Une partie de la pièce est dans la pénombre! Tu sais que je suis curieuse, effrontée! Je te souris et j’allume la lumière!!!
Au fond de la salle une trentaine de mâles en rut derrière des barreaux. Dieu merci ils ne peuvent pas sortir !!!
Tu t’es approché de moi, avec douceur et avec l’aide d’une serviette tu essuie tout ce sperme sur mon corps!! Les hommes à côté se branlent, éjaculent à travers les barreaux, me disent des horreurs.
Tu me proposes de me mettre à l’aise dans le hamac et que je joue avec mon sexe. « Soraya, caresses toi face à ses hommes, sens leurs désirs pour toi »!
Alors je me caresse! Sans pudeur je me laisse aller à exprimer tout ce qui est refoulé!
Ton amour, le regard que tu poses sur moi me libère de tous ces carcans. Avec toi mon corps n’est plus objet de honte ou de souffrance, il devient le palais dont je suis propriétaire. Un corps digne d’accueillir la beauté de mon âme et de mon être, et non un corps camouflage, un corps qui censure, qui empêche.
La suite en direct …
soraya
Franck
Je n’ai pas pu faire mon pain hier.
Alors je le fais…là.
Exactement comme je te l’ai décrit ..
La baie vitrée qui donne sur le jardin ouverte, vêtue de mon paréo en mode pagne, je sens le vent caresser mes seins libérés de leur prison de tissu.
Pendant que je pétris mon pain, mes seins suivent avec douceur mes mouvements, lents et précis.
Tu arrives….
Soraya
Oui j’arrive, à peine réveillé et encore plein d’images de cette nuit que nous venons de partager…
Une nuit passée à faire l’amour, à se nourrir de l’autre…
Tu es déjà en train de t’affairer, je m’approche, intrigué par ce qui t’activer comme cela, te faire presque onduleur…
Je m’approche doucement pour ne pas te perturber dans cette tâche qui semble retenir toute ton attention…
Tu es si belle, ce bout de tissu qui laisse apparaître ton corps, tes formes, ta peau dorée par le soleil…
Je me glisse derrière toi…
Bonjour Mon Amour…
Franck
Ce matin je suis sortie dans le jardin en paréo.
J’ai senti le vent du nord caresser ma peau …
Ce frémissement dans les arbres, dans mes cheveux, sur ma peau dorée, c’était toi.
Ce vent du nord qui arrive enfin chez nous, pour rafraichir la Terre, a enflammer mon corps et mon esprit.
Ce vent du nord chuchote à mon oreille tes envies de moi…
Ce vent du nord me parle de toi…
Soraya
Bonsoir Soraya,
J’espère que ce vent du Nord aura été le digne messager qu’il se doit…
Qu’il aura su respecter mes consignes, te délivrer mes mots, mes sentiments, mes envies tel que j’aimerais te les souffler au creux de l’oreille en te rejoignant dans ton jardin…
T’embrassant dans le cou, carressant tes cheveux, déposer un souffle léger sur ta nuque comme ce chanceux venant de si haut a pu silloner, à son gré, tes si belles courbes…
Mais jamais il ne pourra te serrer dans ses bras comme je le fais, jamais il ne pourra porter le même regard sur toi que lorsque mes yeux te détaillent, te parlent…
Arnaud
Un an que tu es entré dans ma vie! Dans ma tête! Dans mon corps!
Un an à allumer le feu dans nos entrailles, nos âmes, à la faveur d’un mot, d’une image.
Je suis toujours aussi charmée, séduite par cette capacité que nous avons l’un et l’autre, l’un avec l’autre à nous allumer, à nous faire plaisir, à nous faire jouir.
Plus tu me regardes, plus tu me parles, plus je prends de l’assurance. Je ne me suis jamais sentie aussi femme que depuis que je soumets régulièrement mon corps, si imparfait, à ton regard, à la douceur de tes lèvres, à la rugosité de ta barbe.
Je peux, en fermant les yeux, me souvenir de ton odeur, de ton contact, de ta douceur.
Ce soir un mot t’a fait décharger:
Mamelles
Je n’ai pas parlé de mes seins mais de mes mamelles!
L’effet a été immédiat. Une décharge longue, puissante, libératrice.
Nos échanges, ce soir, du foot à la politique en passant par la religion nous permettent de parler, sans enjeu, du moins feignons nous de le croire. En réalité toi et moi ne sommes pas dupes. Nous sommes chacun attirés, excités par un détail chez l’autre.
Parler de tout et de rien, une seconde de silence, un instant suspendu, sentir la bascule, chez toi, chez moi, chez nous.
Cette seconde où la sensualité, l’animalité, le désir occupe l’espace. Cet instant précis où tu peux lire dans mon regard mon appétit, ma soif de toi.
Cet instant précis où ton sourire se fait plus grave. Inutile de parler. Je comprends, tu comprends.
Nous savons toi et moi à quel point notre plaisir tient à notre capacité à nous transporter en pensée en des lieux, en des situations, des scénarios qui ont le don d’allumer un brasier dans notre ventre.
Attentif à ma jouissance, à mon plaisir, tu remarques que malgré le scénario choisi ce soir, je peine à trouver le détail qui fera exploser mon plaisir.
Alors détail après détail tu modifies le scénario. Tu observes mon visage et la manière dont celui ci répond à chaque petit détail.
Tu souris.
La turgescence de mes aréoles, mes tétons dressés, la cambrure de mon bassin, l’aspect brillant de mon entre jambe te renseignent et te confortent.
Tu es dans la bonne direction.
Je me découvre à travers tes mots fille de joie le temps d’une nuit d’été orageuse.
Ecrasée par cette chaleur de fin d’été je me suis égarée dans la forêt voisine à la recherche d’un peu de fraicheur. L’orage m’a surprise. Le tissu léger de ma robe, trempée par cette pluie d’été, colle à ma peau.
Je remets mes sandales et tente de retrouver mon chemin dans cette forêt où tout se ressemble.
J’entends des voix sur ma gauche.
Sauvée!!
Je me dirige vers les voix qui peu à peu se transforment en grognements. Je suis curieuse. Je m’approche sans faire de bruit. Je perçois d’abord les véhicules.
Une modus et une camionnette de déménagement.
En arrivant tout à l’heure j’ai laissé mon auto sur un parking avant de m’enfoncer dans les bois. Ce n’est visiblement pas le bon parking car je n’aperçois pas ma petite uno.
Le bruit a cessé, j’entends les portes de la camionnette claquées et les voix s’éloigner. Je ne sais pourquoi je me glisse entre les véhicules pour me faire discrète et aller voir ce qui se passe.
Sur le parking une femme penchée en avant semble chercher quelque chose dans le coffre de la modus dont l’arrière est rabattu.
Je m’apprête à sortir de ma cachette quand je perçois un mouvement du coté de la camionnette. A nouveau, claquement de portière, des voix qui s’élèvent, des rires.
Des hommes. 3, 4, 6 !
6 hommes en tenue de travail, ils sortent d’un chantier.
Inquiète, mon regard se porte vers la femme de la Modus. Celle ci, perchée sur des talons hauts, est toujours penchée dans le coffre mais elle a retroussée sa jupe sur ses hanches.
J’aperçois son porte jarretelle, ses bas et son énorme postérieur.
Je vois ces hommes s’approcher d’elle en riant grossièrement. Je n’entends pas les propos mais je les devine aux mouvements de leurs mains et de leurs bassins.
Ce qui se passe ensuite me choque et allume instantanément et simultanément quelque chose dans mon cerveau et un brasier dans mon ventre.
Je regarde ces hommes prendre cette femme les uns à la suite des autres, le suivant éjaculant dans le foutre du précédant.
Je me surprends à vouloir être à sa place.
Chacun de ces hommes, en mal de femelle, glisse un billet entre les seins volumineux de cette femme dont je ne vois toujours pas le visage.
Puis, les mains sur ses hanches, il s’applique à la besogner lentement ou brutalement, chacun ayant sa manière de faire.
Autour d’eux, comme une ronde, les autres l’encouragent de leurs cris, branlant leur propre queue avec énergie.
Adossée contre un arbre, j’ai relevé ma robe, les yeux fermés je me caresse. Je suis trempée.
Trempée de pluie, de sueur, de mon excitation.
Là bas les bruits s’estompent, j’entends à nouveau le bruit des portières et le véhicule qui démarre.
La femme s’est adossée au coffre pour fumer une cigarette.
Je me demande si le foutre chaud de ces mâles qui coulent entre ses jambes gainées de bas la dérange.
J’attends encore, hésitant sur ce que je dois faire. Elle semble absorbée par la lecture d’un message sur son portable. Elle réajuste sa jupe, ses bas, remontent ses énormes mamelles dans une brassière qui peine à les contenir. Alors que je m’apprête à l’interpeller, j’entends au loin un véhicule.
La camionnette!!
Un mouvement sur la droite attire mon attention. Je jette un oeil. Tu es là. Adossé à un arbre tu as observé la scène.
Du moins tu m’as observé, observer la scène.
Je ne te connais pas encore, mais je n’ai pas peur. Je suis juste gênée, me demandant depuis quand tu es là et ce que tu as vu exactement.
Tu t’approches de moi et d’une voix chaude tu me demandes mon prénom.
-Soraya
-Soraya, tu as compris ce qui se passe là?
D’un mouvement de la tête je fais signe que oui.
-Soraya, c’est la première fois ?
-Oui
-Soraya, tu voudrais être à sa place?
Le rouge de la honte me monte aux joues.
Je te regarde, je voudrais dire non mais un oui rauque m’échappe malgré moi.
Avec un sourire, ce sourire par lequel tu as damné mon âme, tu te diriges vers la femme.
Tu lui chuchotes quelque chose à l’oreille en tendant le bras vers moi.
Elle éclate de rire, te fait une bise sur la joue, remonte dans sa voiture et s’en va.
Tu reviens vers moi, me prends par la main et me ramène au milieu du parking. D’un pas assuré tu te diriges vers la camionnette et t’adresses au chauffeur. Puis tu reviens vers moi.
-Soraya, ce soir tu vas te faire payer pour chaque queue que tu vas libérer. Pour chaque éjaculation. Je te préviens, ils sont déchaînés car ils ont compris que c’est ta première fois. Que tu n’es pas une professionnelle.
-Fais les jouir Soraya!
Je suis très maladroite avec mon premier client, c’est la première fois que je fais ça. Il est grossier, son sexe sent très fort. Dans un français approximatif il me demande de m’agenouiller et de le sucer.
Son odeur, ses manières me soulèvent le coeur.
Dieu merci il éjacule en quelques minutes. Je me retire à temps.
C’est une limace de passage qui bénéficiera ce liquide malodorant.
Les hommes m’entourent en se branlant.
-Elle vous plait? Vous la voulez ? Payez la comme elle le mérite. Chacun votre tour.
Tu te diriges vers le plus jeune . Tu lui parles. Je ne sais pas ce que tu lui dis mais je le vois s’exciter de plus en plus , te donner plusieurs billets en haletant.
Je comprends à ses gestes qu’il souhaite que je prenne la même position que la femme tout à l’heure. Alors je m’appuie contre un arbre pendant qu’il me laboure le ventre de son sexe dur, court et épais.
Mes mamelles ne résistent pas à ce traitement et s’échappent de leur prison de tissu fin. Ce mouvement provoque chez nos voyeurs un mouvement de branle plus énergique, des mains s’emparent de ma poitrine .
Je comprends pourquoi ce genre de pratique est nommé »Dogging ». Collé contre moi, je sens son souffle dans ma nuque pendant qu’il me baise encouragé par ces copains.
Une contraction, un dernier coup de butoir et je sens le foutre chaud de cet homme couler entre mes cuisses.
Je n’ai pas le temps de me remettre de ces émotions qu’une autre queue me prend. C’est pour cela qu’ils payent. Pouvoir me prendre dans le foutre d’un autre.
Soraya
Quel beau texte, parfaitement adapté à nos pratiques par téléphone… J’en suis tout troublé.
Merci d’arriver à me faire bander autant à l’oral que par écrit. Tu es décidément une véritable femelle en chaleur, quand tu décides de te laisser aller à toutes tes perversions.
Un délice pour tes salopards préférés, dont j’imagine faire partie. Ceux qui savent te parler et te faire mouiller comme tu le désires…
Merci pour cette excellente partie de baise-branlette/vidéo, en cette fin de matinée, Soraya.
Tes grosses mamelles bien lourdes ont été sacrément secouées, n’est-ce pas… ?
Hmm, ce marché où tu déambules pour acheter tes fruits et légumes. Moment propice pour les montrer, ces bons gros nichons; presque les exhiber en public et exciter le salopard qui guette.
Une ruelle sombre où ma grosse queue n’est pas loin de te surprendre violemment.
Alors, toi, la bourgeoise, tu deviens chienne à l’idée de ce qu’il va t’arriver.
Je me rapproche, ma grosse putain de louve, et je te fourre sans ménagement !
Ce membre gonflé à bloc, d’un désir si brutal, parcourt l’intégralité de ton corps si voluptueux.
Par tous les orifices, tu es prise et conquise…
Tu en redemandes, salope ?
A très vite.
Franck
Je te veux
Soraya,
Tu hantes les travées de mon esprit
Tu as piraté mon âme…
Que dire de mon corps qui ne répond qu’au son de ta voix…
Qui ne vibre qu’à ton contact
Donnes moi une seconde, une minute, une heure, une journée…
Innondes moi de bonheur…
Juste une petite place dans ton univers…
Toi mon étoile qui scintille à faire pâlir le soleil…