Confession torride : le fantasme d’une femme mariée

Confession torride : le fantasme d’une femme mariée

Travailler au téléphone rose, c’est plonger chaque jour dans l’intimité des gens. Des hommes, des femmes, des jeunes, des plus âgés… Tous avec leurs désirs brûlants, leurs fantasmes inavoués, leurs pulsions qu’ils ne partagent nulle part ailleurs. Parfois, une voix me marque plus que les autres. Celle-ci, je ne l’oublierai pas.

C’était un soir, en fin de service. J’avais déjà décroché pas mal d’appels, mais j’ai eu cette intuition… celle qui vous pousse à répondre encore une fois. Une voix féminine, douce, posée, presque timide. Elle me confie que son mari dort à côté, qu’elle a mis des écouteurs pour ne pas se faire entendre. Puis, sans détour, elle me dit qu’elle a besoin de vider son sac… ou plutôt de se vider autrement.

Elle a la cinquantaine, mariée depuis plus de vingt ans, mère de deux grands enfants. Une vie banale, rangée. Mais sous les draps, c’est le désert. Une sexualité routinière, sans surprise, sans feu. Alors, elle s’évade autrement. Elle me parle de ses sextoys, de ses longues sessions de masturbation dans la salle de bain, pendant que monsieur regarde la télé. Elle me dit qu’elle pense souvent à un homme… un collègue de bureau. Un bel étalon musclé, toujours prêt à la faire sourire, à lui glisser une remarque ambigüe. Elle sent son regard sur ses fesses, sur sa poitrine. Et chaque jour, son envie monte, encore un peu plus.

Elle rêve de lui, souvent. Elle me l’avoue d’une voix tremblante d’excitation : « Je voudrais tellement lui tailler une pipe, une vraie. Lui sucer la queue jusqu’à ne plus pouvoir respirer. » Elle adore ça, me dit-elle. Sucer, lécher, se faire remplir la bouche, sentir la peau tendue d’une grosse bite cogner son palais, glisser jusqu’à sa gorge. Mais son mari, lui, n’a jamais su lui offrir ça. Une petite queue, sans énergie, sans passion.

Elle fantasme sur un gros sexe. Long, épais, dur. De ceux qui te pilonnent la bouche, qui font couler ta salive jusqu’au menton. Elle veut qu’il lui prenne la tête entre les mains et qu’il la baise comme une salope. Mais ce n’est pas tout… cette cochonne a des envies bien plus sales.

Elle s’imagine, un soir tard au bureau. Elle reste seule avec lui. Il referme la porte, s’approche d’elle, l’attrape par la taille, la soulève, et la pose sur le bureau en balayant tous les dossiers d’un geste brutal. Elle écarte les cuisses. Il plonge entre ses jambes. Il l’embrasse, il la lèche, il glisse ses doigts dans sa chatte trempée. Il fait glisser sa langue sur son clito, puis plus bas, jusqu’à son petit trou frémissant. Elle gémit, elle mouille, elle tremble.

Puis il la pénètre. Sans attendre. Il la remplit. Son sexe entre en elle avec force, avec brutalité, avec envie. Elle se sent enfin vivante. Il la baise fort, sans retenue, comme une chienne en chaleur. Il fait claquer ses couilles contre son cul, la traite comme une salope, une poupée de chair juste bonne à recevoir du foutre.

Elle me dit qu’elle adore le sperme. Mais chez elle, c’est rare. Son mari ne bande presque plus, et quand il éjacule, c’est à peine un filet tiède. Elle veut un torrent. Une décharge puissante, chaude, salée, gluante. Elle veut s’en prendre plein la gueule, qu’il l’inonde comme une cochonne soumise. Et c’est ce qui arrive dans son fantasme. Il jouit. Il la couvre. Elle ferme les yeux et reçoit la semence avec bonheur. Puis, elle lèche le gland encore tremblant, ramasse la dernière goutte, et l’avale avec un sourire repu.

Cette confession, je ne suis pas près de l’oublier. C’était brut, viscéral, sincère. Cette femme m’a parlé avec ses tripes. Elle m’a confié ce qu’elle n’ose même pas murmurer à son miroir. J’ai senti tout le manque, toute la frustration, mais aussi toute l’intensité de ses désirs refoulés. Ce jour-là, elle ne s’est pas contentée de fantasmer. Elle a vécu, à travers ses mots, une scène qui l’a probablement fait jouir aussi fort qu’un vrai amant aurait pu le faire.

Et moi, j’espère qu’elle rappellera. Peut-être un jour, elle osera franchir le pas. Peut-être qu’elle viendra me raconter, d’une voix essoufflée, qu’elle s’est offerte à ce collègue qui l’obsède tant. Et ce jour-là, je l’écouterai encore, et je vibrerai avec elle.

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