Augmentation bien méritée

Je m’appelle Nina, j’ai 28 ans, célibataire, je vis dans une petite résidence sympathique où les voisins sont charmants. Je suis quasiment toujours partie, car les journées de travail sont longues, d’autant plus que j’ai des responsabilités dans l’agence de publicité où je travaille. Je suis responsable du département marketing et je ne compte pas mes heures pour faire marcher la boîte !

Le reste du temps, comme je rentre tard, je mange sur le pouce, un bon bain et dodo. Le week-end, je suis de sortie avec mes deux voisines qui sont devenues des amies au fil du temps. Et comme ce sont deux coquines, je ne m’ennuie jamais avec Roxane et Samantha, et nous rentrons souvent accompagnées…et quand nous en rentrons pas, c’est que de beaux mâles sexy nous ont offert l’hospitalité pour la nuit !

Je plais aux hommes et j’en profite, non seulement pour aguicher conquêtes du week-end, mais aussi au bureau, car non seulement j’aime plaire mais cela rend les hommes serviables avec moi.

Je suis une petite rousse bien gaulée, avec des yeux gris, des cheveux courts bouclés, une petite bouche sexy, des taches de rousseur sur ma peau laiteuse et de gros seins en forme de poire dont les tétons roses pointent vers le haut. J’aime mettre des décolletés vertigineux pour attirer l’attention et des jupes moulantes et courtes pour laisser admirer mes jolies jambes et mon cul bombé.

Tous les jours, je m’habille ainsi à l’agence, maquillage soigné, et mes collègues mâles sont aux petits soins, me rendant service à volonté en étant tout aimables.

Mon souci est que j’aimerais obtenir une augmentation, j’ai beaucoup travaillé, les résultats sont excellents, et j’ai rendu service à la boîte, il serait juste que le patron en tienne compte. j’en ai parlé à mes copines et Roxane m’a raconté comment elle obtenait tout ce qu’elle voulait de son patron dont elle était aussi la maîtresse.

Aujourd’hui, je suis bien décidée à mettre ses conseils à exécution.

J’ai mis un tailleur sexy, moulant décolleté, pas de soutien-gorge, des bas résille, des talons vertigineux, et un rouge à lèvres bien vif, des bijoux et un parfum capiteux…

Je frappe à la porte de mon boss. Il me crie d’entrer. Il est assis derrière son bureau, élégant et distingué. C’est un très bel homme, très grand, brun, les cheveux bouclés, courts, il a une large carrure, des jambes minces et musclés, et un cul bien ferme et rebondi d’après ce que j’ai pu déjà apercevoir dans les couloirs…

Je prends une grande inspiration. «  Bonjour, Monsieur, je suis Nina, du service marketing et … ». «  oui, je vous reconnais » dit-il en souriant. Je rougis un peu et lui expose ma situation, mais il a un air très sûr de lui, et je commence à perdre mes moyens et mon assurance. Il s’en aperçoit et me dit «  vous savez, Nina, lorsque quelqu’un vous impressionne, il faut l’imaginer nu, et cela va mieux ». Je rougis encore plus et il rit.

Il me propose un arrangement, «  Nina, je suis d’accord avec vous, vous avez bien travaillé, mais vu que je vous sens un peu timide , j’ai besoin d’être certain que vous êtes convaincante à la tête de ce service, j’ai besoin de vous connaître mieux et savoir si vous êtes audacieuse et prête à tout… ».

Je n’hésite plus, je veux cette augmentation et cet homme me plaît, je commence un strip-tease aguichant, je retire mon haut, j’ai les seins nus, je m’assois sur son bureau, j’écarte les jambes, je n’ai pas de culotte. Il a le souffle coupé et une grosse bosse déforme son pantalon. Je me penche vers lui, mes seins caressent son visage, il essaie d’attraper mes tétons gonflés avec sa bouche, je lui échappe, je reviens, je joue avec ses nerfs.

Là, il n’en peut plus, et m’allonge sur le bureau en m’écartant les jambes, il est très excité, et moi aussi, il baisse son pantalon et je vois sa grosse queue longue et dure et ses couilles pleines.

Il me mange les seins, me suce les tétons, j’ai chaud à la chatte, je mouille, il caresse mon clito qui gonfle et durcit, et introduit deux doigts dans ma chatte. Je gémis de plaisir.

Il me dit qu’il a envie de moi, alors, je lui demande si il va me donner mon augmentation. Il me répond que oui, que je lui ai prouvé mon audace ». Nous fixons le chiffre et j’écarte les jambes, il me bouffe la chatte et met mes genoux sur ses épaules, sa grosse bite me pénètre profondément, je gémis, je jouis, et lui aussi, il gicle abondamment. Gentiment, je lui nettoie la bite avec ma langue et nous nous rhabillons en nous roulant des pelles.

En refermant la porte du bureau, je lui dis :«  je suis contente de vous connaître mieux… »