Etrennes inattendues
Je m’appelle Bianca, et j’ai 56 ans. Divorcée depuis quelques années, je vis seule, dans mon logement de fonction. Je suis concierge dans une résidence privée très bien fréquentée et je n’ai pas à me plaindre.
Je mène une double vie. Aux yeux de tous, je suis Bianca, une femme ordinaire, concierge bien sous tous rapports, sérieuse et rigoureuse. Mais je suis aussi une dominatrice professionnelle. Je suis une pratiquante assidue du BDSM, et je forme des soumis, je les éduque, je les élève.
Bien entendu, cela se fait dans la plus grande discrétion, je fréquente les cercles BDSM mais uniquement de manière anonyme.
Lorsque je forme de nouvelles recrues, il peut m’arriver de les recevoir dans mon logement de fonction pour une séance, mais il faut que cela soit très discret.
J’aime prendre en formation des soumis jeunes, ils ont ma préférence, leur chair fraîche, leur manque d’expérience souvent, leur petit côté sérieux ou coincé, ou timide… Je leur en impose naturellement par mon physique de femme mature, grande, brune, la taille fine, mais les seins généreux, les cuisses épaisses, les hanches larges. Je suis toujours tirée à quatre épingles et sexy, tenues moulantes, bijoux, maquillage, mise en beauté…
J’aime les prendre en main très vite, ne pas leur laisser le temps de protester, ou de tenter de dire leurs envies, de toutes façons, c’est inutile et ils doivent comprendre tout de suite qui est la patronne.
Il y a peu, j’étais chez moi, je m’étais apprêtée pour partir à une soirée, robe sexy,décolletée, chignon haut, talons aiguilles, maquillage soigné, bijoux On a sonné, et je me suis retrouvée face à un jeune homme, un grand brun plutôt mignon, tout propre sur lui, l’air timide et maladroit.
J’ai tout de suite compris que c’était un soumis. Il me contemplait d’un air béat, fixait mon décolleté, et c’est tout juste si sa langue ne pendait pas. Il a à peine parlé, et je n’ai rien compris de ce qu’il bafouillait, mais il m’a tendu une enveloppe avec des billets. Au moins, sa séance était réglée.
Comme d’habitude, j’ai pris la situation en mains, et j’ai formé cette petite lopette, je l’ai fait mettre nu et à genoux et l’ai grondé parcequ’il bandait, c’était trop drôle, je lui ai dit que j’allais le punir pour son érection, et sa belle grosse bite bandait de plus en plus fort, alors je l’ai branlé doucement, pour préparer la suite…
Autant en faire un bon sextoy. Comme j’étais excitée, je me suis assise sur son visage pour qu’il me fasse un bon cunni. Il s’est appliqué à me faire jouir, avec sa langue râpeuse, et je l’ai inondé de mouille. Je l’ai aussi félicité d’être un bon soumis et encouragé pour cette belle offrande.
Profitant de cette belle érection et de sa docilité, j’ai écarté les jambes, et je l’ai chevauché en amazone sur ma monture, lui faisant lécher mes seins et mes gros tétons bien durs, pendant que je faisais des va-et-vient bien profonds avec sa bite bien dure dans ma chatte trempée.
Je me retire une fois satisfaite, il bande encore et n’a pas éjaculé, je ris. Je lui dis qu’il ne va pas jouir maintenant, j’ai encore besoin de ses services, c’est moi qui décide !
Je sens que je tiens un bon étalon et je compte bien continuer à le former, il a l’air d’avoir de bonnes aptitudes, et il tient la route comme sextoy, je compte bien profiter de sa queue et de son obéissance encore longtemps.