Exhib et couple de voyeurs
Mon mari et moi habitons une grande maison en banlieue parisienne. J’ai 45 ans, et lui 48 ans, et nos deux enfants sont partis étudier à Paris.
Nous avons donc la grande maison pour nous seuls. Nous ne sommes pas souvent présents, nous travaillons beaucoup, Jérôme est responsable marketing d’une grande agence et je suis responsable d’agence immobilière.
Très naturellement, nous avons décidé de faire profiter d’une de nos chambres avec salle de bain à une étudiante ou un jeune travailleur.
Nous avons eu beaucoup d’appels et avons reçu une dizaine de personnes.
Nous avons retenu Katalina, une jeune femme charmante de 27 ans, travaillant à son compte, et dont le propriétaire vendait le logement qu’elle occupait, elle avait donc peu de temps pour louer, et étant à son compte, sans garants, vu le marché parisien, elle ne trouvait rien.
Elle nous a plus, très gentille, avenante, serviable, jolie, avec un petit accent roumain. Nous avons eu envie de lui donner sa chance.
Elle s’est installée très vite dans la chambre du haut à côté de la salle de bains privative et du bureau de mon mari.
Au bout de quelques semaines, nous étions toujours aussi ravis, Katia ( son diminutif) payait bien son loyer, ne causait aucun trouble, et était très serviable.
Jérôme et moi allions bientôt partir en vacances et nous nous reposions quelques jours avant le départ en Espagne.
Un matin, Jérôme n’était pas dans le lit, j’en ai profité pour m’étaler, prenant toute la place, rêvant des vacances et des moments coquins avec mon époux qui était très excité ces derniers temps… d’habitude, il était très demandeur, et tant mieux, car j’adore le sexe autant que lui, mais depuis une dizaine de jours, je le trouvais encore plus déchaîné !
Je me suis caressée les seins, puis le clitoris doucement avec les doigts, et je me suis doigtée avec plaisir en imaginant que mon mari pouvait me surprendre et continuer les réjouissances, j’ai joui en gémissant doucement.
J’avais encore envie de sexe, et je suis partie à la recherche de mon mari. Jérôme n’était pas dans le garage, je me suis souvenue que ces temps-ci, il passait beaucoup de temps dans son bureau pour finir un dossier en cours.
Ce serait amusant de le surprendre ! Je suis donc montée, Jérôme n’était pas dans son bureau mais il y avait du bruit dans le couloir.
Jérôme se tenait devant la porte de Katia qui était entrouverte ; il ne m’avait pas vue. Le comble, c’est qu’il avait la bite bien dure et gonflée et à la main, et il se masturbait lentement ! Il avait l’air de regarder quelque chose de très excitant !
J’étais très surprise et quand Jérôme m’a vue, il m’a fait signe de ne pas faire de bruit. Il avait l’ai très gêné, la queue à la main, et commençait à débander.
J’ai donc regardé par la porte même si Jérôme essayait de m’en empêcher en tenant de m’emmener ailleurs.
Et là, j’ai vu Katia, entièrement nue, assise, devant un écran d’ordinateur.
C’est vrai qu’elle était super bien foutue ! Ses cuisses musclées étaient écartées, elle caressait ses gros seins laiteux, faisant pointer ses superbes tétons bien larges et durs, son corps luisait, enduit d’une huile satinée, j’avoue que moi-même, j’en étais excitée.
Puis j’ai entendu des voix d’hommes très excités qui lui demandaient de se caresser, de se doigter, et elle s’exécutait… Katia était donc modèle de webcam érotique ! Et visiblement, son show plaisait beaucoup à mon mari…j’étais à la fois vexée qui ait matée Katia sans ma le dire tout ce temps, en se branlant généreusement et excitée aussi.
Cette fille était super sexy, et je mouillais déjà…
Katia a continué son show, à quatre pattes, ses gros seins pendaient, ses tétons pointaient, et elle ondulait du cul, en se mettant un gode vibrant dans la chatte toute épilée…
J’ai commencé à me caresser, je me suis penchée en avant et Jérôme a compris et il a fourré sa grosse queue bien dure dans ma chatte, en me caressant les seins par-derrière.
Nous avons joui tous les deux en même temps sans bruit, en matant Katia.
Depuis, nous sommes toujours aussi silencieux devant le porte de sa chambre entrouverte…se douterait-elle de quelque chose ?
Peut-être que nous lui en parlerons, un jour…pour l’instant, nous profitons !
Ah, le web, c’est ma came !!!