Femme de ménage d’un nouveau genre 

Femme de ménage d’un nouveau genre 

 

Je me présente je suis Lili du moins c’est comme ça que tout le monde m’appelle, une petite étudiante de 22 ans. Comme vous devez le savoir la vie d’étudiante n’est pas facile pour tout le monde surtout si vos parents sont fauchés donc histoire de ne pas être une charge pour eux je me prends en mains en cumulant plusieurs petits boulots dont celui de femme de ménage depuis mon retour de vacances et ça tombe bien j’ai passé un entretien hier que je vous raconte de suite et vous allez en baver.
Je suis arrivée sur les lieux, une immense maison qui sent bon le fric je dois dire et j’adore ça.
Un très bel homme, la cinquantaine, m’ouvre la porte, m’invite à entrer et m’annonce que je passe l’entretien avec lui.

Seulement après m’avoir proposé un verre, il s’absente et revient devinez comment ? Complètement nu. J’étais d’abord choquée et prise de panique mais très vite mon regard s’est concentré sur son outil de virilité si vous voyez ce que je veux dire. J’apprends que l’entretien se passera à poil. Je deviens sceptique face à cette annonce mais j’écoute la suite. Il explique que sa femme ne le fait plus bander et que pour des raisons pratiques il reste avec elle mais qu’il a besoin de vibrer (dans ma tête c’est mon vibro que j’entends vibrer dans ma chatte personnellement). Après plusieurs semaines de réflexion, il s’est souvenu de la femme de ménage de son père qui le faisait bander et que du coup il lui en fallait une lui-même … pas pour astiquer les sols ou récurer la sdb non non mais bel et bien pour l’astiquer lui en chair et en os ou plutôt astiquer sa bite et en contrepartie une très belle compensation financière sera offerte. Sa phrase à peine finie que j’ai écarté mes jambes, relevé ma robe afin de laisser apparaître ma petite chatte et me caresser devant lui. J’ai ensuite fait mine de sortir le plumeau pour passer la poussière sur le petit meuble juste en face (et oui en professionnelle consciencieuse j’ai mon matériel sur moi bien que ce soit son matos à lui qui m’intéressait). Si vous imaginiez sa queue hum, je ne vous raconte pas, Rocco Siffredi n’a qu’à bien se tenir. Un gland déjà bien juteux qui me donne envie de le manger mais restons politiquement corrects ou du moins pour l’instant car dans ma tête je suis déjà à quatre pattes devant lui en train de me faire astiquer le vagin par son gros plumeau enfin sa grosse queue évidemment.

Tenant donc le plumeau en mains (le vrai outil ménager), il me demande de m’approcher de lui et de me mettre à genoux, je m’exécute pendant qu’il malaxe mes seins lors de ma descente.

Ça y est je suis devant sa queue, je crois que je n’en ai jamais vu une aussi longue, on pourrait presque respecter la distance sanitaire actuelle s’il venait à être à poil dans un lieu public. Il tapote sa bite bien dure sur mon visage et me demande de jouer avec mon propre clitoris, j’obéis.

Très vite il bascule son engin sur mes lèvres et s’enfonce dans ma bouche. Il me demande de passer un coup de lingettes, oups pardon de langue sur son gland qui perle à flot. Je ferme les yeux et me conforme à ses instructions. Je me laisse aller, le goût et l’odeur de sa queue me plaisent. Je lèche, gobe ses couilles et me mets à pomper tout doucement sans même attendre ses consignes. Il fait mine d’apprécier ma prise d’initiative puis il bloque ma tête pour aller fouiller dans ma gorge. Quelques petits coups à l’intérieur semblent lui faire de l’effet, il fût surpris du fait que je puisse encaisser malgré mon corps menu. Il s’arrête, sort sa queue pour que je suce rapidement et me demande d’aspirer le jus qui s’en sera extrait. Ma bouche activée en mode aspirateur arrive à extraire tout le jus assez vite.

Monsieur semble satisfait, me demande de me relever, de baisser ma jupe et de m’installer pour discuter des conditions tarifaires car j’ai réussi mon entretien, vous deviez vous en douter non?

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