Le trophée 3

Le trophée 3

Nous arrivons C. et moi peu de temps avant la fermeture du magasin. En nous voyant, je devine que ma jolie vendeuse est surprise et désappointée ! Elle ne s’attendait certes pas à me voir avec quelqu’un ! Et comme elle ignore si mon accompagnatrice est dans la confidence, elle redevient très professionnelle. C. et moi, nous jouons le jeu.
• Ma compagne a remarqué un bel ensemble sur votre site web et elle voudrait l’essayer
• Bien sûr, vous avez noté les références du modèle ?
Je laisse un moment les deux jeunes femmes choisir la lingerie alors que le magasin s’est vidé de ses derniers clients. C. a choisi un ensemble composé d’un soutien-gorge noir semi transparent et d’un shorty noir orné de ravissants petits motifs en dentelle. Elle va en cabine, tandis que la vendeuse retourne à la caisse et actionne le bouton abaissant la grille qui ferme le magasin. Elle m’explique que nous sortirons par la porte arrière et bien entendu, cela ravive le souvenir de ce qui s’est passé hier ! D’ailleurs, sa voix un peu éraillée, traduit bien son émoi. Je souris, mais je ne dis rien, alors qu’’elle attend sans doute une réflexion de ma part, mais je préfère la laisser dans l’incertitude, c’est tellement plus amusant et excitant et je me contente de l’admirer. Elle porte un ravissant bermuda qui met en valeur ses longues jambes effilées et j’imagine qu’elle a joué le jeu et qu’elle ne porte rien en-dessous depuis ce matin ! A moins que… je vais bientôt en avoir le cœur net, mais la balle est dans le camps de C. qui joue à merveille sa partition. Elle nous appelle :
• Vous pouvez venir ? Je voudrais avoir votre avis… à tous les deux

Sacré C. elle sait comment s’y prendre pour convaincre son monde ! Impossible de lui résister ! Elle module sa voix si douce et craquante pour lui donner un ton autoritaire qui la rend irrésistible et nous voilà donc réunis tous les trois dans la cabine d’essayage qui est, heureusement, assez spacieuse. Le soutien-gorge lui va merveilleusement bien. Il laisse entrevoir par transparence sa poitrine superbe et généreuse (90 D) aux larges aréoles qui se confondent presque avec la blancheur de sa peau. Elle a gardé sa jupe et ses talons et les mains sur les hanches, elle nous toise, le sourire aux lèvres, du haut de sa splendeur

• Alors, qu’en pensez-vous, superbe, non ?

Elle est tellement belle que je ne peux m’empêcher de l’embrasser tendrement dans le cou tout en pressant ses seins

• Tu es magnifique, mais je peux voir le bas aussi ?
• Bien-sur

Et elle se retourne pour retirer sa jupe, mais il ne s’agit pas d’un geste de pudeur pour cacher sa nudité, bien au contraire ! Salope et impudique comme elle peut l’être, C. a omis, bien entendu à dessein, d’enfiler le string et lorsqu’elle se penche afin de prendre le vêtement qui se trouve au sol, nous découvrons, planté dans son joli cul, un adorable plug orné d’un diamant. C’est du plus bel effet ! J’observe du coin de l’œil les réactions de ma vendeuse qui semble avoir de plus en plus de mal à garder son calme. C. s’adresse à elle

• Excusez-moi si je vous ai choquée, mais j’aime bien de temps en temps ne rien porter sous ma jupe, j’aime me sentir en liberté, je suis sûr que vous connaissez ce sentiment, n’est-ce pas ?
Clin d’œil un rien appuyé de C. qui me fait sourire et qui est un signe, c’est à moi de jouer
• Ne vous inquiétez pas, elle est au courant, je lui ai tout raconté à propos de notre jeu et de ma demande de ce matin !
• Oui, je me suis moi-même caressé en écoutant son histoire et je voulais absolument vous rencontrer. Je comprends pourquoi il a craqué pour vous ! Vous êtes ravissante !

C. a prononcé cette phrase en arborant son sourire le plus coquin et en regardant la jeune femme droit dans les yeux. Sous le coup de l’émotion, cette dernière a baissé la tête et a rougit. J’adore sa sensibilité, cela lui donne un côté touchant et c’est à la fois excitant et émouvant. Avec l’assurance qui est la sienne, C. a pris l’ascendant et elle pose un doigt sous le menton de la jeune femme pour lui faire relever la tête et l’interroger du regard
• Alors, est-ce que vous avez été bien obéissante ? Voyons voir….
Et tout en la regardant dans les yeux, elle déboutonne le bermuda de la jeune femme et glisse ses doigts sous le vêtement. Ma jolie vendeuse ferme les yeux et commence à se trémousser. C. arbore un large sourire
• Je confirme, elle ne porte rien, quelle coquine ! J’ai l’impression que tu t’es trouvée une belle petite soumise ! Je vais la préparer pour toi, elle est déjà toute mouillée, regarde comme elle remue. Tu te rends compte ? Depuis ce matin, elle ne porte rien et elle a dû penser à toi pendant tout ce temps, n’est-ce pas ma jolie ?
• Oui……
Mon adorable vendeuse à prononcé ce petit « oui », dans un soupir, mêlé de gémissements. Elle tremble et vient se blottir dans les bras de C. qui la branle maintenant avec autorité toute en lui caressant la tête avec douceur.
• Je crois qu’elle est prête. Vas-y, baise la pour moi ! Je ne vais pas la faire jouir comme ça, j’ai fait ma part du travail !
Petit rire coquin de C. qui s’amuse de la situation.
J’ai sorti ma queue et enfilé un préservatif, placé derrière la vendeuse, je baisse son bermuda qui glisse au sol. C. retire, presque à regret, ses doigts pour me céder le passage. Je frotte mon gland le long de sa fente trempée et très rapidement, je m’enfonce en elle et je commence à la baiser, accélérant le rythme petit à petit. Quel bonheur ! C. et moi nous échangeons un sourire complice et nous nous embrassons par-dessus l’épaule de notre soumise qui tremble et gémit de plaisir dans les bras de C. Cette dernière dégrafe son soutien-gorge et dirige doucement la tête de la jeune femme entre ses seins. Elle ne se fait pas prier et commence à lécher et caresser cette magnifique poitrine. La voilà prise en sandwiche et elle ne boude pas son plaisir. Pouvait-elle imaginer un tel scénario dans ses rêves les plus fous ?
Mais nous sommes dans une position un peu inconfortable et très vite, nous nous retrouvons au sol. Je suis à présent à genoux et je prends en levrette ma jolie vendeuse dont je ne connais toujours pas le prénom, il faudra que je le lui demande à l’occasion ! Ses gémissements sont un peu étouffés car elle a toujours le visage enfoui dans la poitrine généreuse de C. qui est allongée sur le dos, la jupe relevée sur ses hanches, les cuisses largement ouvertes, elle se caresse la chatte. C. prend le visage de la jeune femme entre ses mains pour l’embrasser tendrement avant de lui dire d’un ton autoritaire
• Lèche-moi !
La petite vendeuse, qui découvre avec bonheur les joies de la domination, accepte sans broncher et se retrouve très vite entre les jambes de C. qui commence à gémir de plaisir sous les coups de langue qui passent sur son clitoris gonflé et le long de son sexe détrempé, tandis que ses gros seins balancent au rythme de ses déhanchements qui annoncent le plaisir qui va bientôt l’achever. Les yeux mi-clos, C. est au bord de l’orgasme
• Putain, putain, oh putain !
Je la connais bien pour savoir qu’elle va bientôt jouir, ce qui est le plus merveilleux des spectacles ! La voir ainsi prendre son plaisir est pour moi le coup de grâce et j’ai tout juste le temps de me retirer et d’ôter mon préservatif avant d’exploser et de souiller le cul de ma jolie vendeuse en l’arrosant de foutre qui va bientôt couler le long de sa croupe. C a joui également. Et notre petite vendeuse alors ? La « pauvre », elle n’a été au bout du compte que l’objet de notre perversion à C. et moi !
Je garde un moment les yeux mi-clos afin de reprendre mon souffle et lorsque je les ouvre à nouveau… mes deux compagnes ont disparues ! Putain mais qu’est-ce qu’il se passe, pourquoi sont-elles parties ? Je ne comprends pas. Je vais sortir de la cabine pour les retrouver. Mes gestes sont comme au ralenti et…. je ne trouve pas la sortie ! Il n’y a plus de rideau mais quatre cloisons qui m’entourent. Je tourne sur moi en panique, je suis enfermé !! ne comprends pas ce qui se passe. Suis-je en train de devenir fou ?
Je me sens las et je m’allonge afin de reprendre mes esprits, les yeux fermés. Lorsque j’ouvre les yeux, je vois… ma table de chevet et mon réveil qui indique 7h du matin. Je suis allongé dans mon lit, les draps sont trempés de sueur et de foutre et je comprends soudain que…
Tout cela n’était qu’un rêve, je n’ai jamais été dans ce magasin, je n’ai jamais vu cette vendeuse et C. n’existe pas ! Tout cela n’est que le fruit de mon imagination débridée ! Ce retour à la réalité est tellement dur que j’écrase une larme de dépit. Il est temps de se lever et de reprendre ma petite vie médiocre, lorsque je me rends compte que j’ai le poing fermé et que je serre quelque chose fermement entre mes doigts. J’ouvre la main et je découvre… un petit string blanc, tout à fait identique à celui de ma « vendeuse » !
Mon… « trophée » ???!!!…

FIN ?

1 réaction sur “ Le trophée 3 ”

  1. Clarisse Réponse

    OHHHH c’était qu’un rêve …..tellement réaliste waouwwwwww j’ai adoré , Vraiment
    ca avait l’air tellement vivant….
    D’ou vins ce string?

    MYSTERE…….

    Trophée N°4 ?

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