Les treize coups de minuit

Les treize coups de minuit

Je suis Maîtresse Irina, 42 ans, petite, blonde, yeux verts, seins volumineux et corps de sportive. J’en impose à mes soumis, de manière naturelle. Ils sont attirés par mon côté sadique assumé et ma motivation à les éduquer avec sévérité et justice.

J’ai un côté exploratrice du corps et j’aime aussi que mes soumis me servent de cobayes pour des expériences, tester leur résistance à l’humiliation et  la souffrance, à la frustration mais aussi leurs résistances corporelles, à la dilatation, ou aux pratiques plus techniques comme l’électrostimulation.

J’ai un soumis depuis six ans, Frida, qui est maintenant littéralement transformé. Mais pour cela, il a fallu le dresser, lui apprendre beaucoup de choses, et il ne faut pas croire qu’être dominatrice s’improvise, c’est une relation entre deux personnes dont l’une prend l’ascendant sur l’autre qui est sa « victime » consentante.

Un soumis bien éduqué sera épanoui et heureux de servir sa Maîtresse et il comprendra que toutes les manœuvres d’éducation sont destinées à le faire progresser, car finalement, l’apprentissage est permanent…

Dès le début, j’impose le port constant de la cage de chasteté. Soumis peut toujours solliciter une entrevue pour discuter de la manière dont il vit les choses, et nous pouvons remettre en cause ou aménager des décisions que je prends si je le juge opportun.

Le port de la cage est très éducatif et permet à soumis de se souvenir en permanence de sa condition.

La pratique de la confession et de la punition sont aussi pour moi indispensables. Soumis, vient à jour et heures régulières, s’asseoir à genoux, nu, tête baissé en signe d’obéissance et de respect, confesser ses manquements, ses bêtises, ses erreurs, ses provocations, ses trahisons, ses lâchetés…et à la fin, il réclame lui-même sa punition qui peut être immédiate ou différée.

Je préfère, pour un côté éducatif, consacrer une séance entière à chaque volet de l’éducation. En général, le volet de la punition prend environ une heure.

Il y a quelques jours, Frida m’a avoué en confession, littéralement honteuse, qu’elle avait osé pratiquer la masturbation solitaire devant un film pornographique. Elle a profité des deux heures sans sa cage de chasteté pour se branler comme un mec, en souvenir, sans doute, de sa virilité passée…Sévèrement, je lui ai dit que j’étais très mécontente de son comportement grossier, et en plus dissimulateur. Le pire étant qu’elle ruinait tous nos efforts avec la cage de chasteté et semblait ne pas comprendre l’intérêt de laisser au repos cette misérable queue au lieu de se laisser aller comme une pauvre sous-merde à des activités lubriques sans demander l’autorisation de Sa Maîtresse.

Les affronts étaient donc multiples en un seul.

J’ordonnai à Frida, de se présenter à 23h45 le dimanche, à mon donjon, vêtue de sa tenue de soubrette, et sans sous-vêtements. En attendant, j’ordonnai à Frida le port désormais constant de la cage de chasteté et des actes de contrition immédiats consistant  en tâches ménagères diverses pendant 6 heures de suite à effet immédiat. Frida enfila sa tenue de souillon et se mit à frotter le sol vigoureusement, à balayer le sol en enfonçant le manche du balai dans son anus dilaté, laver les sanitaires, frotter les sols avec sa langue râpeuse jusqu’à ce qu’ils soient immaculés.

Le jour venu et à l’heure dite, Frida se présenta au donjon en tenue de soubrette, et l’air vaguement inquiet. Je ne dis pas un mot, je l’attrapai vigoureusement par les cheveux et la jetai au sol sans ménagement.

«  A genoux, salope, qu’as-tu à dire ? »

«  Pardon, Maîtresse adorée ».

Je lui mis un masque où seule la bouche dépassait.

«  Tu sais que tu as fauté, espèce d’ordure, tu vas subir ton châtiment, soulève ta jupe ! »

Frida s’exécuta et avec le paddle, je lui frappai les sacs à jus, 6 coups au total bien forts. Puis je déverrouillai sa cage de chasteté, et frappai sa lamentable queue inutile avec le fouet, 7 fois. Elle gémissait comme une pauvre lopette.

Je lui remis sa cage de chasteté.

«  Merci Maîtresse ».

Voilà, Frida avait reçu les treize coups de minuit, et elle allait pouvoir continuer son apprentissage…

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