Mon amant du couvre-feu

Je connais Julien depuis plus d’une décennie, nous sommes sortis ensembles mais cela n’a pas fonctionné, nous étions attachés l’un à l’autre mais nous n’avions rien en commun sur d’autres plans.
Sexuellement, cela n’était pas non plus l’extase. A 25 ans, mon jeune amant débordait d’énergie et il s’exténuait à coups de reins vigoureux, oubliant de me caresser, je ne jouissais quasiment jamais, seulement quand il prenait le temps d’être sensuel, de me lécher les seins, les lèvres et le clitoris.
Un bel homme, certes, bien membré, mais immature sexuellement, la tête farcie de pornographie mal digérée.
Nous nous étions séparés sans regrets, j’avais eu d’autres amants, d’autres histoires, lui a fait sa vie, eu un enfant, il s’est marié. Nous recouchions de temps à autre sans passion, quand j’avais besoin d‘une présence, d’un corps chaud, je faisais appel à lui. C’est ce qui s’est passé après le confinement, nous nous sommes envoyés des messages sans équivoque.
Lui toujours un peu immature, mais charmant, sensuel, avec un petit ventre en sus qui n’était pas déplaisant. Il a le profil « dad bod », un peu gras mais sexy avec des épaules développées, j’adore ! J’ai osé lui dire ce qui ne me convenait pas au lit, que je voulais impérativement jouir avant lui. Il a compris et s’est adapté à mes envies au-delà de mes espérances.
Toujours en couple, il doit trouver des stratagèmes pour s’évader du cocon familial sans éveiller les soupçons. Il se débrouille, même pendant le couvre-feu, il pu découcher, prétextant je ne sais quelle excuse, personnellement, je ne souhaite pas en savoir davantage, culpabilisant quelque peu de ce rôle de « maîtresse », l’assumant à demi.
Je suis brune, élancée avec un beau fessier large et une poitrine généreuse, j’ai de grands yeux noirs et la peau légèrement hâlée. Lui est grand, blond, son sexe bien rose, perlant abondamment lorsqu’il est excité. Nous avons tous les deux la petite trentaine.
Ma chatte est bien serrée, je n’ai jamais eu d’enfants et je pratique régulièrement des exercices pour raffermir mon périnée, cela me donne des sensations particulières pendant l’acte.
Quand il arrive, je le reçois en tenue décontractée mais sexy, il aime que je ne sois pas totalement épilée. La dernière fois, je portais un pantalon en satin noir sans culotte avec un petit crop top noir également. Pas maquillée, les cheveux attachés en queue de cheval. Il s’était fait tester il y a quelques jours pour son travail et était négatif au covid ainsi qu’aux MST, on est jamais trop prudents !
Moi, je ne risque quasiment pas de l’attraper. Je bosse de chez moi, je suis secrétaire et j’écris de temps à autre des rubriques modes pour un site. Je me fais livrer mes courses, le top quoi ! On a donc pu se lâcher, il m’a embrassée à pleine bouche goulûment, passant ses mains chaudes sous mon crop top, cherchant le bout de mes seins, déjà durcis par l’excitation, il les malaxa, puis les pris en bouche, il les téta  vigoureusement, les titillant avec la pointe de sa langue chaude.
Nous n’avons pas perdus de temps. Je me suis mise complément nue, à quatre pattes, instinctivement, quand je fais l’amour, je ne pense plus à rien, je suis mes envies, il a commencé à me manger le cul, fourrant sa langue dans mon petit anus rose, la faisant onduler tout autour, léchant ma raie et aspirant la cyprine coulant entre mes lèvres roses et charnues.
Il me bascula sur le dos, puis commença à me manger la chatte, je sentais sa langue s’enfoncer profondément en moi, à ce moment là, je repris les commandes, lui demandant de faire exactement ce que je désirais afin d’arriver à l’orgasme c’était la seule chose qui comptait, il serait l’instrument de ma jouissance.
Il savait que je ferais de même pour lui par la suite, c’était implicite. « lèche-moi plus vite, insiste bien sur les lèvres, branle-moi la chatte pendant que tu suçotes mon clito », j’étais tellement excitée, frustrée depuis des mois, que je ne fus pas longue à venir, j’explosais dans sa bouche, c’était libérateur, délicieux, brûlant, un pur bonheur.
Après ce bel orgasme, j’eus envie de sentir sa bite dans ma chatte, il me pris sur le côté, en caressant mes seins, me donnant de bons coups de reins bien profonds, je contractais ma chatte étroite, je moulais parfaitement son membre raide et épais. Il le ressortit et j’eus envie de le sucer longuement, allongée, je passais de son cul à ses couilles, remontant sur sa queue raide qui avait la goût de ma chatte, m’enivrant de son odeur de mâle en rut, bien musquée, piquante, mais si excitante.
Il pris les choses en main à son tour « lèche-moi les couilles et le cul, suce mon gland, je vais jouir », je réclamais tout dans ma bouche, comme il le souhaitait. Je reçus les giclées de sperme sur la langue, les joues, le goût douceâtre, légèrement écœurant.
Nous nous reposâmes quelques minutes, ça sentait le cul dans mes draps, je me suis endormie après son départ, me réveillant avec le feu au creux des reins, je me suis masturbée, suçant mes doigts.

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