Mon amour de jeunesse
Nous avons tous eu un amour de jeunesse, celui qui nous laisse plein de bons souvenirs ou de nostalgie. Celui qui nous a donné de l’expérience pour la suite.
Et puis, certains d’entre nous ont eu des amours de jeunesse contrariés.
Moi, j’étais au lycée quand j’ai connu Anthony. On avait 16 ans et on s’est tournés autour timidement longtemps pour des raisons toutes bêtes, sans passer à l’acte.
Finalement, il avait 20 ans, et moi presque autant lorsque nous nous sommes enfin embrassés dans une voiture. C’était très émouvant, mais très chaud aussi, à cet âge, les hormones sont en pleine ébullition et Anthony avait visiblement décidé de lever toutes les barrières et d’aller plus loin.
Je sens encore le goût de ses lèvres fines mais chaudes appuyant fermement sur les miennes, sa langue toute douce…ses mains sur moi, tout ce dont je rêvais depuis si longtemps !
J’ai paniqué, et l’ai repoussé, il n’a pas trop compris, moi non plus, et puis, on s’est perdus de vue, il y avait le service militaire à l’époque et plein d’autres obligations.
J’ai retrouvé d’autres bras accueillants, d’autres lits, et j’ai eu pas mal d’expériences car je suis une femme qui aime la vie, qui aime les hommes, le sexe et sans honte. J’aime les nouvelles expériences, les plans à trois parfois, le bdsm aussi, dans le rôle de la maîtresse …
J’ai eu des sexfriend, avec qui je suis encore amie, et des aventures en tous genres. J’assume ce côté « salope qui aime le cul », parce que c’est moi.
J’avais 35 ans quand j’ai reçu un mail d’Anthony qui avait réussi à me retrouver sur un site de vieux copains. J’étais étonnée, un peu dérangée, mais j’ai répondu.
Il voulait que l’on reparle du passé, me dire qu’il m’avait aimée et dissiper les malentendus. Bonne idée, puis nous avons pris rendez-vous. Il était en couple et moi aussi, nous voulions juste parler amicalement.
Mais quand il est arrivé, il n’avait pas changé, à part ses longs cheveux noirs qui avaient disparu et ses muscles qui avaient pris de la largeur ! Il était encore plus beau, il avait pris de l’assurance et avait un sourire carnassier qui semblait dire « je vais te manger toute crue ! ». J’étais toute émoustillée déjà.
Il me regardait du pied à la tête. De mon côté, j’ai pris un bonnet de soutien-gorge, et beaucoup d’assurance aussi. Je crois qu’il a compris que moi aussi, je le mangerais bien tout cru…
Le café faisait hôtel aussi. Nous avons pris une chambre, pour rattraper le temps perdu. Juste pour une fois.
A peine la porte ouverte, il m’a poussée contre le mur, et m’a embrassée comme avant, caressant mes lèvres, les entrouvrant avec sa langue, caressant ma bouche entière. Je le caressais partout, appuyant fermement mes mains contre son corps ferme et musclé.
Il malaxait mes gros seins, mes fesses généreuses, mes hanches, et je mouillais comme jamais.
Il m’a poussé sur le lit, et m’a léché les seins, m’a doigtée la chatte, je criais de plaisir. J’ai sucé sa belle grosse bite bien longue et dure, en malaxant ses couilles, il était rouge, en sueur, super excité, très dur de la queue.
Nous avons fait un superbe 69, sa langue explorait le moindre recoin de mon clito et de ma chatte, c’était magique, et je gobais ses couilles en branlant sa queue, en massant ses fesses musclées.
Il m’a retournée sur le lit, et m’a pris en levrette, en tirant doucement mes cheveux longs en arrière. Il a pris mes seins qui balançaient et les a tenus pendant qu’il enfonçait son membre dans ma chatte offerte toute brûlante.
Il m’a baissée comme une vraie salope, glissant dans ma chatte, très profondément, et nous avons joui.
Ce n’était pas assez et il restait encore du temps…je l’ai chevauché en amazone, il était ma monture, et moi le cavalier. J’ai fait disparaître sa bite dans ma chatte. Il regardait en gémissant de plaisir, offert, sans pudeur. J’ai pris mon temps pour des va-et-vient très lents, mais efficaces, c’était trop bon de le sentir profondément en moi. Il a joui, j’ai senti son sperme tout chaud en moi.
Puis, nous sommes repartis vers nos vies respectives, sans regrets.
Mais pendant quelques heures encore, son sperme coulait entre mes jambes et j’ai du me masturber pour éteindre le feu qu’il y avait encore en moi, mélangeant ce foutre adoré avec ma cyprine pour atteindre l’orgasme seule, cette fois.