Rentrée bien chaude

Rentrée bien chaude

Je m’appelle Bérénice et je suis professeure à l’université. Enfin, je tourne dans plusieurs universités, je suis maîtresse de conférences en littérature comparée.

J’ai passé de bonnes vacances, la météo était au rendez-vous dans le club de vacances du sud de l’Espagne où je suis partie. Torride ! Et je ne parle pas que des températures…je parle du maître-nageur sexy et bien membré, qui m’a secouée comme une vraie salope, ma chatte brûle encore en y repensant.

Evidemment, comme je suis divorcée et libre, je me fais plaisir, et je laisse les autres me faire plaisir. Il y a eu aussi un touriste russe, un peu vicieux, avec une belle grande bite quasiment tout le temps en érection.
Il était complètement voyeur et cela m’amusait beaucoup de me dénuder derrière la fenêtre de ma chambre pendant qu’il regardait, je lui donnais rendez-vous à une heure matinale, et je lui faisais un strip-tease. Bon, il faut avouer qu’il n’était pas le seul à profiter du spectacle, et cela m’excitait beaucoup d’avoir un public de voyeurs de tous âges, en train de se caresser la bite sous le short de bain.
Tellement cela m’excitait, que,en plus du strip-tease, je me caressais le clito devant eux et je finissais par jouir. A force, j’utilisais un vibro car j’avais trop envie de jouir de l’intérieur de la chatte.

Donc,je me suis bien éclatée pendant les vacances, et voilà maintenant la rentrée scolaire. Je vais retrouver la fac, les étudiants studieux, le silence pendant mes cours, pendant qu’ils prendront des notes…

Je ne sais pas pourquoi, mais j’aime bien être un peu sadique avec eux. Ils sont en licence ou en maîtrise, la vingtaine, encore timides pour la plupart et assez impressionnables.
Le statut de professeur en impose.

J’adore mettre des tenues strictes et très sexy, coiffer mes cheveux blonds bouclés en chignon strict, porter des tailleurs moulants et décolletés, des hauts talons…et les toiser derrière mes lunettes en prenant un air sévère.

J’ai repéré un jeune homme, il a les cheveux châtains clairs, mi-longs, le teint pâle, pas très grand, pas très musclé, avec un air timide. La proie idéale.

Je l’ai interrogé sur une œuvre de Maupassant et le pauvre est devenu tout rouge et il a bafouillé. Alors, le voyant embarrassé, j’ai précisé mes questions en lui montrant bien que j’étais agacée. Evidemment, il était de plus en plus mal à l’aise et cela m’excitait, c’est fou, je mouillais mon string en dentelle, j’aurais pu l’essorer tellement j’étais trempée.

Une fois le cours fini, la classe est partie sans tarder, et moi, je rangeais mes affaires en repensant à ma victime du jour. Et il est apparu, tout rouge, demandant à s’entretenir avec moi.

J’ai accepté, sèchement, histoire de continuer à la torturer un peu. Il s’est excusé de s’être mal exprimé en cours, a dit qu’il était timide et que je l’impressionnais depuis longtemps, et qu’en plus , j’étais une très belle femme. Il m’intéressait, je l’ai regardé au-dessus de mes lunettes, avec un sourire narquois.

Et là ; il s’est littéralement transformé, et a collé son corps contre le mien en disant « au fond, je sais que tu es une grosse salope qui a envie de se faire tringler ! ». J’ai failli, par réflexe, le rembarrer sèchement, mais il a ouvert mon tailleur et a commencé à me caresser les seins à pleines mains, lécher mes tétons durs et gonflés, et coller son bas-ventre contre le mien, je sentais qu’il bandait bien dur, et j’étais trempée.

Il a ri et m’a retournée sur le bureau en disant : « tu vas avoir ce que tu mérites, grosse pute, tu vas adorer ! ».

Il a retiré mon string trempé en me traitant de chaudasse et m’a prise en levrette, en pelotant mes gros seins, je gémissais, et il a fini en baisant mon cul bien profondément, et j’ai adoré, j’ai crié de plaisir, quand il m’a traité de cochonne perverse.

Il m’a embrassée, en me laissant son numéro et m’a dit « quand tu veux pour te faire éduquer, salope ».

j’étais rouge de honte et de plaisir, je venais de découvrir par surprise mon côté soumise…et je vais l’explorer à fond !

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