Sa formation de pute soumise

Sa formation de pute soumise

Peggy est mon soumis savamment féminisé, une pute en devenir, avec un gros potentiel, car elle ne rêve que de queues viriles. Dans le but de la former à être une bonne pute qui me rapportera l’argent de ses passes, elle suit un entraînement drastique et sévère.

Peggy est obligée au port de la cage quotidiennement et surtout la nuit entière, hors de question qu’elle se réveille avec une érection de mâle !

Elle doit aussi se comporter chaque jour comme si elle allait être appelée à faire la pute, c’est-à-dire qu’elle doit avoir une hygiène irréprochable, et être entièrement épilée de partout.

Je l’envoie parfois faire les magasins sans moi. Je repère ses tenues de grosse salope à foutre et elle doit demander sa taille à la vendeuse et passer en cabine d’essayage. Là, elle m’envoie des textos avec photos, et je valide ou non sa tenue. Ensuite, elle passe en caisse et doit bien dire qu’elle va être très contente de porter ces tenues de pute.
C’est très humiliant et Peggy en a besoin, sinon elle devient vite insupportable. Alors, la semaine dernière, je l’ai emmenée dans un magasin de lingerie, encagée, avec un œuf vibrant dans son garage à bites, et je lui ai choisi sa lingerie. Sous ma surveillance, elle a demandé sa taille à la vendeuse, elle était rouge de honte. J’en ai profité pour appuyer sur la télécommande de l’oeuf et Peggy a rougi encore plus en se tortillant. Tout bas, elle m’a murmuré, « Merci, Maîtresse ».
J’ai surveillé ses essayages et validé ou non ses dessous. A la caisse, elle a remercié la vendeuse et lui a dit combien elle se sentirait elle-même dans ces sous-vêtements bien salope. J’ai encore appuyé sur la télécommande, Peggy a rougi et m’a remerciée à voix basse.

Dans le magasin de parfumerie, il y a avait des hommes et j’ai ordonné à Peggy de se déhancher et de marcher comme une pute . Puis je l’ai obligée à s’asseoir et je lui ai choisi un parfum capiteux de cocotte, et du maquillage. Je lui ai appliquée sur la figure, tandis que tout le monde la regardait. Peggy était très honteuse et reconnaissante. J’ai appuyé sur la télécommande, augmentant progressivement la vitesse jusqu’au maximum, et Peggy se tortillait, c’était très drôle. Les vendeuses semblaient amusées, elles riaient en regardant Peggy. J’ai obligé Peggy à leur demander conseil pour un maquillage bien pute en leur disant qu’elle ferait bientôt le trottoir et qu’il lui fallait être prête pour tapiner. Les vendeuses riaient bien fort, et Peggy était toute rouge de honte, mais très docile.

En rentrant, quand je l’ai autorisé à parler, Peggy m’a confié qu’elle s’était sentie de plus en plus elle-même et que cela lui faisait du bien de voir qu’on la reconnaissait comme femelle et comme pute, et que se sentir mon objet en appartenance la rendait très fière et heureuse.

Pour la récompenser de ses efforts et de sa docilité, je l’ai godée très fort tandis qu’elle se tenait en levrette, le cul bien offert. Je l’ai ensuite prise au gode-ceinture, Peggy gueulait « encore, oh oui, merci Maîtresse ! ». Je lui ai dit que ce n’était rien à côté des queues viriles qu’elle allait bientôt se prendre puisqu’elle était prête.

Le samedi suivant, j’ai préparé Peggy pour aller tapiner en réel. J’ai coiffé ses longs cheveux châtains épais avec des couettes, je l’ai maquillée soigneusement, rouge à lèvres bien vif, mascara, blush, fard à paupières, on aurait dit une voiture volée. Je l’ai vêtue d’une mini-jupe rouge vif moulante et élastiquée, d’un haut cintré bleu roi, décolleté sur ses faux seins recouverts d’un soutien-gorge en dentelle noir. Dessous, je lui ai fait porter une culotte en dentelle noire, fendue derrière afin d’être facilement accessible aux clients et un rosebud rouge vif brillant dans sa chatte de salope à sperme.

Puis, je lui ai mis son collier, sa laisse, et je l’ai promenée en laisse dans une cité, j’avais accroché des étiquettes « pute » et les tarifs sur les vêtements de Peggy la cochonne.

Peggy remuait du cul en marchant, elle ondulait outrancièrement comme une vraie catin, et les mecs se sont rapidement mis à nous suivre, demandant « c’est combien ? ». Peggy rougissait, mais je répondais simplement que c’était gratuit aujourd’hui, offre découverte !

Les mecs nous ont invité dans une cave, et là, chacun leur tour, ils ont sorti leurs bites, Peggy suçait comme une pro, gorge profonde, elle branlait des queues, et d’autres la bourrinaient comme une truie, en faisant un réservoir à foutre chaud.

Les mecs, une fois soulagés, prenaient des photos avec leurs téléphones portables et envoyaient à leurs copains de la cité. Des dizaines de gars se sont ramenés, et se sont assis sur des chaises les uns à côté des autres, pantalon baissé, bite à l’air. Peggy s’est assise sur eux, tour à tour, en faisant des va-et-vient tout en suçant ceux qui étaient debout ou les branlant entre ses faux nichons.

La prochaine fois, ce sera payant pour baiser Peggy la cochonne, mais là, elle va remercier tout le monde pour avoir contribué à sa formation de pute…

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