Sans limites avec le voisin

Sans limites avec le voisin

Je venais d’emménager dans mon appartement du 10eme arrondissement. Le voisinage était assez calme et sympathique, une majorité de retraités. Je me demandais si j’allais enfin m’amuser, j’avais une envie de sexe.
Un jour en attendant l’ascenseur, un bel homme métis, rentre dans l’immeuble. Nos regards se croisent. Nous nous disons mutuellement “bonjour”. L’attente est longue, il pose son regard sur mon corps. L’ascenseur arrive, il m’ouvre la porte. Je rentre la première, lui me suit. L’espace est étroit. La porte se referme et je sens que nous montons. Je suis dos à lui. Il presse son corps contre le mien, je sens son souffle sur ma nuque et sa queue durcir sur mes fesses. Il y a une grande excitation entre ce bel inconnu et moi. Je frotte mon cul sur sa bite, qui durcit dans son pantalon. Sa bouche se pose sur mon cou, il me donne des coups de langue sur ma nuque. Nous sommes comme dans notre bulle. C’est si soudain entre nous. L’ascenseur s’arrête au 4éme étage. Il descend au même étage que moi. Nos mains se frôlent en sortant de l’ascenseur, j’ai des frissons, je me mords la lèvre inferieur en le regardant. Nous sommes face à face sur le seuil de notre étage. Je sens comme une attraction entre nous. Nous n’avons pas le temps de se dire quoi que ce soit, que la porte de son appartement s’ouvre, sa femme l’attendait. Il change de suite d’attitude, il se dépêche de rentrer, elle me regarde de haut en bas, et ferme sa porte.
Je savais qu’à ce moment-là, j’allais vivre une belle aventure avec lui, même s’il était marié, ce n’était pas un obstacle pour moi.
Le lendemain vers 7h du matin, je suis encore dans mon lit, toute nue, je repense à la veille, cette rencontre improbable, j’en étais excitée.
On sonne à ma porte. J’enfile mon peignoir noir satin. J’ouvre sans regarder par le judas. Il est là, mon beau métis. Il me demande d’une voix basse “puis-je rentrer ?”. Je le laisse rentrer, il ferme la porte. Et là, il m’attrape par la taille et me serre fort contre lui, en me susurrant à l’oreille “Désolé pour hier, j’ai eu très envie de toi, mais je suis marié. Mais j’ai envie d’une aventure avec toi. Dis-moi ce que tu en penses ?”. Je lui réponds juste avec un long baiser langoureux. Nos langues se mélangent, je me colle encore plus à lui. Je lui susurre à l’oreille : “Baises-moi !!!!”. Il me retire mon peignoir, m’attrape par cheveux, me met à genoux, baisse son pantalon et caleçon, prend sa bite et me tapote son gland sur la bouche. Je me sens chienne. Je sors ma langue pour sentir le goût de sa belle queue. Je le prends en pleine bouche, en le regardant droit dans les yeux, il a ses mains sur ma tête, “Tu suces mieux que ma femme ! Continue tu me fais du bien”. Je lui fais des gorges profondes, sa bite est énorme, les larmes coulent le long de mes joues, je crache sur sa queue. Il prend beaucoup de plaisir, je le ressens dans ma bouche.

Il m’attrape par les épaules, me soulève et me plaque contre le mur. J’entoure sa taille de mes jambes et là, il me met directement son sexe dans ma chatte. Je crie de plaisir. “ Ah oui, c’est bon !!!”. Il enfonce sa queue jusqu’au fond de moi. Me donne des grands coups de queue, il gémit, je gémis.
On ne m’avait jamais baisé de cette manière si intense et bestial. Je sens son gland énorme dans ma chatte. Je crie de plaisir, je suis en train de jouir. “T’aimes ça salope !!”, me dit-il. Et là dans un dernier coup de reins, il me jouit au fond de moi “Prends ça ma pute, aaaaaaahhhh!!”.
Il me dépose délicatement sur mon tapis dans l’entrée, s’allonge sur moi, et doucement retire sa bite de mon sexe. Je sens son sperme coulé. Nous nous embrassons, nous caressons.
“Je reviendrai te voir souvent ma belle, tu m’excites tant !”, me susurre-t-il.
“Reviens vite, ton corps me manque déjà”, lui dis-je…..

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