Sur place ou à emporter
Je m’appelle François, j’ai 45 ans, et je suis marié à une femme formidable, Sabine, qui est aussi mon amie, ma confidente, et ma maîtresse ardente car elle a un tempérament de feu qui s ‘accorde parfaitement avec mes besoins insatiables.
Sabine n’a pas changé en 20 ans, à 42 ans, elle est toujours aussi belle, aussi désirable, et avec les années, elle a pris de l’expérience et de l’assurance, et elle est vraiment très bonne ! Petite, les cheveux châtains clairs et longs, elle a de beaux yeux verts une bouche pulpeuse, et des formes sensuelles à faire bander bien des hommes ! Elle sait être coquine et même carrément salope, c’est une petite allumeuse et j’adore voir l’effet qu’elle fait aux hommes. Elle est très excitante et me stimule au quotidien, elle est ma muse ! En plus, elle aime mes poignées d’amour, mes tempes grisonnantes, mais aussi mes muscles car je m’entretiens pour continuer à lui plaire.
Depuis quelques temps, je me lasse de mon travail d’expert-comptable, et je me suis confié à Sabine sur ce sujet. Je sais qu’elle me comprend car elle-même commence à saturer d’être secrétaire dans la même boîte depuis quinze ans sans avancement ni promotion. Nous cherchons un nouveau projet.
Ce soir, justement, un ami de lycée de Sabine vient dîner à la maison, Ricardo. Lui aussi cherche une autre voie professionnelle, sa boutique de souvenirs pour touristes ne le motive plus assez. Ricardo est un homme de 43 ans, brun, les cheveux mi-longs, italien, il n’est pas vraiment beau mais il a beaucoup de charme et il est plutôt réservé et mystérieux. Je sais qu’il a déjà eu une aventure avec Sabine avant qu’elle me rencontre mais cela ne me dérange pas, au contraire, quand nous sommes tous les trois, cela m’excite même un peu de savoir qu’il a baisé ma femme avant moi…
Nous prenons donc l’apéritif, bien calés dans le canapé et la discussion s’oriente sur notre avenir professionnel. Sabine et moi, nous aimerions ouvrir un lieu convivial, avec animations, boissons, nourriture, musique, dans lequel les gens se sentent bien, pourraient se rencontrer, échanger…
Nous expliquons notre projet à Ricardo, intéressé. Il me demande si nous sommes vraiment prêts pour cette aventure car il ignorait que nous étions libertins. Je ris, c’est un malentendu, nous ne parlions pas de sexe. « Et pourquoi pas ?» dit Sabine en me souriant d’un air étrange. Ricardo sourit aussi, je me demande si ils ont parlé ensemble de ce projet avant ce soir…Très à l’aise, Ricardo rit, et me dit « les gens pourraient consommer sur place ou emporter ».
Sabine et lui sont très à l’aise et s’échangent des regards coquins. Elle commence à me caresser la cuisse négligemment, et je bande directement bien fort, un peu gêné. Ricardo nous regarde et dit « je vois que Sabine est inspiré, et que tu n’es pas indifférent ». Je constate alors que lui non plus n’est pas indifférent et qu’une bosse déforme son pantalon, il bande fort, lui aussi. Cette soirée est très troublante, et tout ça devient très excitant.
Je pose aussi ma main sur la cuisse de Sabine et je remonte, sous sa jupe courte, elle n’a pas mis de culotte ! C’est donc ça que Ricardo regardait depuis tout à l’heure, le cochon ! Ma bite chauffe, je suis excité comme jamais, ma femme mouille sous mes doigts en gémissant et Ricardo se caresse la queue au-dessus de son pantalon. Sabine en lève son chemisier et dévoile ses beaux seins nus, les tétons gonflés, et met ma queue entre ses seins pour une belle branlette espagnole. Elle fait signe à Ricardo de nous rejoindre, ouvre son pantalon et se met à le sucer tandis qu’elle me branle entre ses gros seins tendres et fermes. Elle lui caresse les couilles, il gémit, moi aussi.
Sabine s’allonge sur le canapé et écarte les jambes en nous souriant, elle nous invite, chatte ouverte et trempée à la lécher. Je lèche ses beaux seins et Ricardo lèche sa chatte offerte, sa langue tourne autour de son clito, elle gémit plus fort, il la pénètre profondément et elle crie de plaisir. Je lui fais signe de sortir, et je prends sa place dans la chatte de ma femme pendant qu’elle le suce goulûment. Il gicle son sperme épais en elle et elle avale tout ce qu’elle peut, la salope ! Je jouis en elle, elle crie d’extase, et moi aussi.
Nous nous reposons enfin sur le canapé, ma tête sur les seins de ma femme, elle me caresse les cheveux…Ricardo se sert un verre, et nous regarde, amusé : « vous êtes doués tous les deux, il va marcher votre club échangiste ». Je lui réponds « trinquons ! Sur place ou à emporter ! », on va l’ouvrir, ce club libertin !