Voyeur au camping

Moi, c’est Jacky, 52 ans, divorcé depuis 5 ans.
A part mon boulot de livreur, je suis libre de toute attache. Alors, pendant les week-end, les ponts et les vacances, c’est direction camping, tout seul, ou avec mon copain, Francis.
Francis, il a 54 ans, c’est mon collègue et un de mes meilleurs copains, et parfois, il m’accompagne, on délire bien ensemble.

Et puis, on partage un super passe-temps, nous sommes deux voyeurs. Des gros cochons, des mateurs de porno, de nanas en tous genres, pourvu qu’elles soient bonnes et qu’elles baisent bien à l’écran ! Et on se branle, ensemble ou séparément, pas de tabous, on aime bien comparer les bombasses qu’on mate, et à force, la température monte, la bêbête aussi, et puis la sauce…

Là, on vient de passer un week-end super. Un long week-end avec un pont, hop, avec Francis, on attache la caravane, on charge le nécessaire et c’est parti, go to camping !

On s’installe, évidemment, on ne recherche pas l’endroit tranquille et isolé. Non, ce qui est vraiment top, c’est d’installer la caravane sur une place avec plein de voisins autour, enfin, de voisines surtout…

Alors, on place bien la caravane pour que les fenêtres nous permettent de reluquer discrètement les femmes qui passent ou qui campent près de nous.

Il y a une piscine dans le camping. Une piscine extérieure et une piscine intérieure. De quoi mater pour des honnêtes hommes ! Blondes, brunes, grandes, petites, charnues, peu nous importe le format tant qu’il y a des fesses, des seins et de la chatte !
Il y en a tout plein, partout, sur les transats en train de bronzer, avec un maillot triangle, qui cache tout juste les tétons qui pointent quand même sous le tissu.

Pour bien mater, nous mettons des chapeaux, et des lunettes de soleil. Insoupçonnables. Et des shorts de bain plutôt larges, si jamais la queue décide de remuer. C’est difficile de contrôler ces choses-là, avec tous ces corps quasi dénudés.

Le pire, ce n’est pas trop quand les dames sont allongées sur les transats, c’est plutôt quand elle bouge ; alors, là, c’est le supplice. Tous ces culs qui ondulent à peine recouverts d’un petit slip, les fesses qui dépassent, les hanches qui bougent, les seins qui balancent, surtout les gros…hum, je rêve que la ficelle qui retient le maillot se détache et enfin voir les jolis mamelons que j’imagine masser et téter langoureusement.

Parfois, je fais une petite halte dans les toilettes pour me soulager un peu, je repense à tous ces corps et je bande, je me branle, je vide mon sperme et je repas, un peu plus tranquille, jusqu’à ce que je recharge les batteries.

Francis aime bien me taquiner, il sait quel genre de femmes me fait craquer, et il prend un malin plaisir à me les montrer. Ou alors, il raconte celles qu’il a matées quand je n’étais pas là, que j’ai ratées.

Vers le soir, Francis va faire un tour et je rentre à la caravane, et je me mets à la fenêtre, je sais que je ne serai pas déçu.

Voilà ma voisine, son mari est déjà endormi. Toute la journée, elle s’est promenée en bikini en pleine chaleur. Elle est brune, bronzée, avec des hanches larges, des gros seins, des belles cuisses charnues, j’adore !

Elle marche, ses seins bougent beaucoup, elle porte juste un bikini avec des ficelles pour le soutien-gorge, et aussi pour la culotte. A force de frotter sur le tissu, ses tétons pointent et je les devine, je commence à bander…elle se penche, ses gros seins pendent et bougent, on dirait qu’ils vont sortir, j’ai trop envie, je prends ma queue à pleines mains.

Elle s’allonge à moitié sur son transat. Et là, surprise, elle se croit seule, elle détache le haut de son maillot pour bronzer. Enfin, je vois ses superbes nichons, bien gros, encore blancs, avec des aréoles bien larges et des tétons gros, longs, dressés. Elle se met de la crème solaire, ses mains caressent ses seins, ses tétons pointent encore plus, et moi, je suis super excité.

Je crois qu’elle aussi. Elle écarte sa culotte et glisse une main, génial, je vois bien ses doigts qui bougent sous sa culotte, son corps qui tremble, ses tétons qui rougissent et gonflent, et ma queue super dure n me trompe pas. Cette femme se masturbe, et le plaisir ne va pas tarder, elle se tortille, j’aperçois sa chatte de temps en temps, et son maillot est mouillé, ses doigts glissent bien.

Ma queue va exploser, elle jouit, elle a un spasme, deux, et ses bras retombent le long de son corps, mon sperme a jailli, et j’ai joui comme un malade.

Elle reste là, offerte à mon regard et mes fantasmes, hum…je sens que la pression remonte…surtout que je la soupçonne de faire exprès de s’exhiber comme ça, alors que ma caravane est juste en face d’elle ! Ma chère petite salope exhibitionniste…

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