Coups fourrés entre soumis

Coups fourrés entre soumis

Je suis Emmanuel, le soumis de Maîtresse Simone la très chaude, ou plutôt Manuella, sa petite soubrette attitrée.

Je ne suis pas que la soubrette de Maîtresse adorée, je suis tout pour elle, enfin, j’exagère, je veux dire plutôt que je lui sers à tout. Je suis ce qu’elle exige que je sois, car elle sait bien mieux que moi à quoi je peux bien être utile ou comment divertir.

Je me plie à toutes les corvées, la plonge, l’épluchure de légumes, la cuisine, la lessive, le ménage, les vitres, j’enlève les bas de Maîtresse, je l’habille, la déshabille, lui fait couler son bain, je reçois les invités, et vraiment je sers à tout.

Parfois, Maîtresse me dit de me transformer en serpillière, et je dois laver le sol, allongée sur le ventre en rampant, Maîtresse dit que cela brille plus de cette façon, elle a raison, naturellement.

J’adore que Maîtresse fasse attention à moi, qu’elle me trouve utile, qu’elle me donne des tâches humiliantes à faire, qu’elle m’ordonne de relever des défis.

La semaine dernière, Sa grandeur m’a ordonné d’aller dans un magasin pour femmes afin d’acheter des vêtements de bourgeoise salope pour moi et des dessous de pute. Je ne devais aps tricher et prétendre que j’achetais cela pour une dame, non, je devais bien dire à la vendeuse que tous les articles étaient pour moi, et je devais les essayer en cabine.
C’est très humiliant, mais très excitant ! Surtout qu’afin de ma surveiller, Maîtresse a exigé que je mette ma webcam en conversation avec elle et que j’essaie chaque article sous son regard critique.
J’étais en transes, super excitée, et très honteuse et humiliée, quelles délicieuses sensations !

Mon éducation est faite avec bonheur aux côtés de Maîtresse. Je suis parfois sa pute, et e sers de divertissement dans les parties fines quelle organise, quel honneur ! Je dois satisfaire ses invités, hommes ou femmes, et me plier à leurs caprices sexuels, à leurs fantaisies, leurs jeux, subir leurs moqueries.

Dans ces soirées, je porte une tenue de soubrette très courte, et une culotte ouverte, en dentelle blanche, afin que mon trou soit toujours disponible pour les doigts, les pouces, les mains, les langues, les bites…hum, je me fais trousser en couinant comme une bonne salope, sous le regard approbateur de Maîtresse chérie, je fais couler le sperme dans mon cul et dans ma bouche, sur mes seins, et je suis aux anges.

Il y a une semaine, Maîtresse a amené un nouveau soumis à la maison, Bernard, enfin, Brigitte, maintenant. Elle ne m’a pas prévenue, et j’étais très en colère, mais je ne pouvais rien montrer à Maîtresse qui m’aurait châtié, ce que j’aurais mérité et adoré, mais je ne voulais pas risquer d’être chassée et remplacée par la nouvelle petite chose de Maîtresse.

J’étais très jalouse de voir ma Maîtresse chérie éduquer la nouvelle, et je rêvais d’éliminer cette gêneuse pour retrouver ma Maîtresse à moi toute seule.

Alors, j’ai invité cette cruche de Brigitte à jouer avec moi, je lui ai menti en disant que c’était un ordre de Maîtresse.
Je lui ai dit de se mettre toute nue dans la cave, et je l’ai attachée, assise par terre à même le sol, contre un poteau.

Et j’ai jeté la clé. Je dirais à Maîtresse chérie que cette salope de Brigitte s’est sauvée. Brigitte a commencé à crier en réclamant que je la détache. Je me suis moquée d’elle en chantant « soumis, soumis, passe ton chemin, j’ai perdu la clé ! » ! « cherche après ! « a crié la voix furieuse de Maîtresse. J’ai alors chanté « je l’ai retrouvée ! », tant mieux pour toi ! » a hurlé Maîtresse.

Elle a détaché Brigitte, et lui a ordonné de me fouetter devant elle, toute nue, penchée en avant, c’ »tait très humiliant et très excitant à la fin, puis Maîtresse a prise Brigitte au gode-ceinture devant moi, impuissante, et Brigitte a joui très fort sous les coups de gode de Maîtresse. J’étais très jalouse, et ma queue minuscule bandait, toute honteuse, et coulait lamentablement…

Maîtresse s’est fort moquée de ma jalousie, et de mon mauvais esprit, et j’ai été punie très longtemps, reléguée aux pires tâches, pendant que devant moi, Brigitte me narguait en massant la peau parfaite de Maîtresse et en lui léchant ses pieds délicats….

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