Divines insultes partie 2

Divines insultes partie 2

Maîtresse Divine m’a ordonné de faire les tâches ménagères, et de préparer le repas. Elle m’a détaché les mains, et m’a mis un baillon-boule. Elle a introduit dans mon anus une sorte de plug anal qu’elle pouvait commander avec une télécommande.

Je me sentais très humiliée et en plein accomplissement de moi-même, quel bonheur !

Maîtresse avait placé des caméras et des micros pour me surveiller et elle me rappelait à l’ordre, me reprochant au micro un travail négligé, m’insultant de salope, de grosse fainéante, de sale pouffiasse, de vilaine dégueulasse, de souillon, d’idiote, de grosse pute, de déchet, de sous-merde…

Maîtresse m’a même puni en m’imposant 10 minutes à genoux, tête baissée, au coin et cul nu. Elle a dit qu’elle me filmait et diffuserait sans doute ce film pour montrer à quel point j’étais ridicule. Mon excitation était terrible.

Puis Maîtresse est revenue me chercher, me jetant mes vêtements pour la soirée, une jolie tenue de soubrette, très courte, robe noire avec tablier blanc à dentelle blanche, une coiffe à dentelle blanches, et un masque de bouche en forme de grouin de cochon !
J’étais étonnée, et Maîtresse a ri en disant « puisque tu es une grosse cochonne, autant que tous mes invités les voient, tu seras parfaitement toi-même ! ». J’étais rouge de honte mais j’ai remercié Maîtresse humblement comme elle m’avait si bien appris à le faire.

Maîtresse a mis mon collier et ma laisse et m’a présentée à ses invités, déjà attablés : « mes amis, voici la souillon qui va vous servir, appelez-la comme vous le désirez, pour ma part, c’est un sac à puces, un cloporte, une raclure de bidet, et j’en passe ! ». Les invités ont ri et applaudi.

Un curieux est venu m’examiner, relever ma jupe devant tout le monde, et montra ma cage de chasteté, les autres invités ont applaudi, et il a ensuite écarté mes fesses devant tout le monde en montrant mon plug anal, il m’ ensuite donné une fessée, en disant « allez, dispose, espèce de fécalome puant !’. tout le monde riait de moi.

J’ai commencé à servir le repas et Maîtresse m’envoyait parfois de petites décharges dans mon plug anal avec sa télécommande. Parfois, une secousse plus forte me faisait sursauter, et Maîtresse me grondait : « alors, bonne à rien, tu te dandines encore, fond de benne ? ». J’étais rouge de honte et je demandais pardon, tout en coulant d’excitation à travers ma cage.

Le repas terminé, je débarrassais la table, heureuse. En revenant dans le salon, Maîtresse m’a désignée du doigt : « regardez les amis, cette sale chienne est tellement en chaleur qu’elle a coulé dans sa cage ! ».

L’un des invités a proposé de calmer un peu mes chaleurs, et Maîtresse lui a dit « mais bien sûr, c’est un sextoy, profites-en bien ! ».

L’homme m’a mise en position de levrette et a relevé ma robe en disant qu’il avait toujours rêvé de trousser une domestique. Il a claqué mes fesses, retiré mon plug, et a enfoncé sa grosse queue bien dure jusqu’à la garde, me faisant gueuler de plaisir comme une cochonne que je suis.

Tout en m’enculant, il criait : « tu es bonne à baiser, grosse salope, tu veux de la bite ! » et moi, je donnais des coups de rein pour que sa bite entre plus profondément en moi. Les invités nous encourageaient : « c’est bien, la pute, ta chatte va devenir un hall de gare, mais c’est qu’elle en veut, la truie ! ». Plus ils m’insultaient et plus je jouissais.
Les autres invités mâles ont défilé dans mon cul , me traitant de garage à bites, de pute à sperme, de lopette, de fiotte, et moi, je jouissais, esclave heureux et soumis.

Les femmes m’ont ensuite allongé par terre, retirant mon masque : » nous aurons besoin de la bouche du sextoy ». Une par une, elles ont posé sur ma gueule leurs chattes, et j’ai léché leurs clitos, pendant qu’elles m’ordonnaient de les faire jouir. J’ai adoré ce face-sitting, tous ces clitos à lécher, à sucer, tous ces culs sur ma « face de rat » comme disait l’une d’elles.

Pendant que je faisais le sextoy, Maîtresse avait remis mon plug vibrant et m’envoyait des décharges, et se moquait de moi. J’étais au comble du bonheur ! Puis ce fut une bite qui se mit dans ma bouche, j’ai sucé et l’homme a déchargé en moi, j’ai avalé tout son sperme chaud, puis j’ai fait jouir une chatte, puis une autre, et j’ai fini par couler du jus de salope, j’étais vraiment trop heureuse.

Maîtresse m’a sévèrement puni pour avoir osé jouir devant ses invités, j’ai pris de gros coups de trique, et de fouet et elle m’a copieusement insulté, ô divines insultes de ma divine Maîtresse !

Je crois que je ne vais pas être sage…

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