Les soldes d’hiver

Maîtresse adorée va m’envoyer faire les boutiques afin de me trouver des vêtements, chaussures et accessoires en soldes.
Comme elle le dit si justement, autant profiter des soldes d’hiver, l’on ne va tout de même pas payer les choses au prix fort alors qu’on peut les avoir au rabais. « Au rabais comme toi ! », a t-elle ajouté de sa voix sévère, douce et enjôleuse qui me procure des frissons partout.

Je suis soumis Georges, enfin, c’était mon nom avant de rencontrer ma vénérée Maîtresse Julia. En effet, grâce à son bon goût habituel et son esprit d’à propos, elle m’a rebaptisée Georgette, ce qui me va à ravir.

J’ai un physique banal en tant qu’homme, je suis de taille moyenne, les yeux bruns, le crâne dégarni, un peu enrobé, pas très gracieux. Maîtresse Julia a eu l’idée de génie de me faire porter une perruque en toute occasion, et cela change tout !

J’avais honte, et j’ai encore un peu honte de mon physique car Maîtresse Julia est une femme magnifique. Grande, rousse, les cheveux longs bouclés, flamboyants, elle a un teint très clair avec de superbes taches de rousseur, des lèvres fines ourlées, un corps de liane, des seins moyens et fermes, un cul bombé et une taille très fine.
Elle est l’élégance même, toujours habillée avec classe, corsets, guêpière, jupes amples, porte-jarretelles, bas fins…escarpins, bottines lacées, bottes cavalières, cuissardes, mules d’intérieur à talons avec des plumes…je suis au paradis !

Bien entendu, je porte une cage de chasteté, il le fallait, pour me rappeler à ma condition, et pour empêcher les érections intempestives qui ne sont pas souhaitables pour un bon soumis. J’ai aussi un carnet dans lequel je note les tâches domestiques de soubrette que j’effectue avec joie pour le plaisir de Maîtresse, et dans lequel je note aussi mes bêtises à confesser afin de réclamer honteusement ma punition. Maîtresse utilise aussi ce carnet pour m’humilier, me noter lorsque je fais quelquechose.

Maîtresse me fait noter aussi mes jours d’abstinence, et les jours où elle me permet de couler mon jus de salope sous son contrôle attentif, sévère et bienveillant. Ces jours-là, elle me gode avec puissance, et je peux jouir du cul, toujours encagé, et ma micro-bite encagée pleure son jus de moins en moins abondant. C’est un pur délice. Et quand Maîtresse chérie me fiste profondément, je me sens moi-même, et j’oublie tout dans un immense orgasme soumis et reconnaissant.

Il est si bon d’être humilié par ma merveilleuse domina qui me guide si bien ! Je suis son esclave consentant, sa chose soumise, et obéissante, quel bonheur !

Aujourd’hui, c’est le premier jour des soldes, et Maîtresse adorée est d’humeur joueuse, je le vois bien. Elle fait tinter sa clochette et j’accours auprès d’elle, comme une petite chienne.

Elle m’ordonne d’aller faire les soldes et me remet une liste de boutiques dans lesquelles nous irons acheter exactement ce qu’elle a prévu pour moi.

Elle baisse ma culotte de souillon et m’introduis dans l’anus, un œuf vibrant télécommandé sans fil dont elle conserve la télécommande afin de me faire vibrer lorsqu’elle le désire. Je dois aussi porter mon collier d’esclave dont je suis si fier, ma cage de chasteté, et Maîtresse garde ma laisse dans son sac à main.

Nous entrons dans la première boutique, il s’agit d’acheter une robe style années 50, vichy, cintrée à la taille, et décolletée. Avec cette tenue, il faut naturellement des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge pigeonnant et une grande culotte gainante car j’ai un petit ventre et des bourrelets disgracieux que Maîtresse me reproche souvent.

La vendeuse demande à Maîtresse chérie quelle est sa taille, et je baisse les yeux. Maîtresse lui sourit largement et dit que cette tenue est pour moi, et que je vais l’essayer en sa compagnie. Je rougis, la vendeuse se retient de rire en me regardant, et là, Maîtresse appuie sur la télécommande de l’oeuf vibrant.
Je sens en moi une intense vibration très excitante, et ma cage comprime ma micro-bite qui veut gonfler. L’humiliation est si excitante, le plaisir d’être avec Maîtresse et sous son contrôle, les moqueries de la vendeuse, qui rit de moi avec Maîtresse maintenant…je n’en peux plus, ma misérable queue coule à flot, ma culotte va être mouillée et Maîtresse va me punir…

J’entre dans la grande cabine, maîtresse s’asseoit, et j’essaie les tenues, Maîtresse rit très fort de moi, godiche et empruntée, tout le monde peut entendre ses moqueries et ses insultes et la boutique est pleine. Je suis honteuse et humiliée, c’est terriblement excitant et bon de se sentir à sa place…
Je remercie Maîtresse à genoux et lui baise la main en baissant les yeux. Maîtresse éclate de rire, et me fait sortir de la cabine d’essayage avec mes nouveaux vêtements et tout le monde éclate de rire.

Je suis rouge de honte, et Maîtresse appuie sur la télécommande, l’oeuf vibre dans mon cul, ma queue me fait mal dans ma cage, elle coule de bonheur…et maîtresse me dit à l’oreille, qu’en rentrant, elle va me faire une longue séance de godage mais aussi me punir d’avoir mouillé ma culotte…je suis au paradis. Vive les soldes d’hiver !

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