Soumis au 08

Soumis au 08

Je suis soumis Claude, mais ma Domina préfère m’appeler Claudine. Ca, c’est quand elle est contente de moi, et cela me fait toujours plaisir, forcément. Dans ces cas-là, elle me traite comme une gentille petite chienne, et je lui lèche amoureusement la main, pleine de reconnaissance de s’occuper aussi bien de moi.

J’ai ma gamelle, près de Maîtresse chérie, elle m’autorise à m’y nourrir après qu’elle ait fini le repas que je lui ai préparé en bonne petite soubrette, nue sous mon tablier blanc ridicule de boniche. Je suis toujours excitée d’être ridicule et d’être humiliée, mais Maîtresse déteste lorsque sa queue bande sans son autorisation, alors je suis souvent punie comme je le mérite.

Déjà, Maîtresse d’amour m’a imposé le port de la ceinture de chasteté, et je dois dire que bien que ce soit parfois douloureux, c’est très éducatif. Sans cela, j’aurais des érections d’homme intempestives, très dégradantes pour ma condition. Là, je suis disciplinée, si la queue de Maîtresse tente de se relever, elle est calmée tout de suite !

Hier, j’ai été très vilaine. Maîtresse était sortie avec un amant, un homme viril bien membré ( j’ai le droit de lui nettoyer la queue quand il a fini de combler Maîtresse). Et moi, bêtement, comme une sotte que je suis, je me suis mise à être jalouse, à être mécontente d’être seule, bref , tout un tas d’enfantillages.

Du coup, quand Maîtresse est revenue, plus tôt que prévu, elle m’a surprise en train de regarder un porno. J’avais profité d’une petite heure sans ma cage pour me branler rageusement en regardant des femmes nues se faire prendre par des hommes virils. J’ai dû avouer honteusement à maîtresse que j’avais été excité de mater leurs gros seins nus, leurs culs bombés, leurs chattes épilées et mouillées et que j’avais même eu envie d’y mettre ma queue et de les prendre comme les hommes à grosses queues.

Maîtresse m’a giflé deux fois, et m’ jetée par terre. Elle ma trainée jusque le miroir, nue, et m’a dit « mais regarde, c’est ça, ta queue ! Ce minuscule truc ridicule ! Et toi, tu te branles cette petite nouille en croyant que tu peux  pénétrer une femme ? Tu manques de respect à Maîtresse et tu ne respectes pas ton éducation, tu me fais perdre mon temps , petite salope ! ».

Je me suis mise à pleurer et j’ai imploré le pardon de Maîtresse, très en colère. Elle ne voulait même plus m’appeler Claudine, mais « vermine », je me sentais très humiliée, surtout qu’elle avait raison.

J’ai imploré mon châtiment, reconnaissant ma condition inférieure.

Maîtresse m’a alors fouetté pendant 10 minutes, en silence, et si je pleurais ou criais, elle ajoutait 2 minutes de fouet. Je me suis alors contenue.

Puis elle m’a dit qu’elle était lasse de s’occuper de moi, que je ne m’amusais plus, et là, c’était pire que tout. J’étais très triste, je me sentais abandonnée, et je demandais pardon à genoux.

Maîtresse, déçue, m’a dit « écoute, vermine, tu m’ennuies, j’ai autre chose à faire, tu es décevante et je suis fatiguée de tes sottises, pauvre petite salope ». «  Tu vas téléphoner de ma part à une hôtesse dominatrice de téléphone rose, sur le 08 pour commencer, et je veux qu’elle te punisse très sévèrement, tu me raconteras, vermine ».

J’étais déroutée. Maîtresse est partie. j’ai composé le numéro 08 et j’ai demandé à une hôtesse  à la voix sévère de me punir. Elle m’a ordonné de lui raconter comment j’avais manqué de respect à Maîtresse. Elle m’a fait mettre nue, à genoux, tête baissée.

J’ai raconté, honteuse, l’hôtesse dominatrice se moquait de moi, me disputait, m’insultait, m’humiliait et me donnait des punitions humiliantes. Elle m’a dit qu’il était inacceptable que je méprise autant l’implication de ma maîtresse qui se donnait tant de mal pour éduquer une chose inférieure comme moi.

Je pleurais de rage, et d’humiliation, mais j’étais aussi très excité de me faire ainsi dominer et humilier devant des hommes qui écoutaient ma conversation. Heureusement, Maîtresse avait remis ma cage, car ma queue voulait gonfler, et elle coulait,  travers ses barreaux…

Quand ce fut fini, j’étais remise à ma place. Maîtresse est rentrée et m’a fait raconter tout ce qu’il s’était passé au téléphone. Elle avait l’air contente de moi, et m’a tapoté la tête en me félicitant.

Elle m’a fait l’honneur de m’ordonner de préparer son bain. Pendant que je l’aidais à se déshabiller, elle m’a dit que nous rappellerions l’hôtesse dominatrice pour la remercier.

Ma queue a voulu grandir dans sa cage, je ne sais pas ce qui l’excitait le plus, le corps nu de ma Déesse, ou la perspective de me faire à nouveau humilier.

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