Soumise et sans complexes

Soumise et sans complexes

Je m’appelle Britney, j’ai 26 ans et je suis la bienheureuse soumise de Maître Victor.

Il y avait beaucoup de prétendantes à ce titre honorifique, et j’ai eu la chance d’être l’élue. J’aimerais vous raconter comment ce bonheur m’est arrivé.

Je dois avouer que j’avais eu quelques maîtres par-ci par-là, en soirée libertine BDSM, mais rien de suivi, je sais maintenant que le sexe ne suffit pas et j’avais besoin de trouver le bon maître qui saurait me dompter.

J’avais un tempérament déjà très salope et de bonnes aptitudes. Etant très exhib, j’adorais être fièrement promenée nue en laisse par mon maître.

Je mesure 1m60, j’ai les cheveux mi-longs noirs, coupés au carré, un teint de porcelaine et des yeux verts, une bouche mutine, un corps svelte, des seins moyens ( je porte du 90B ) et un petit cul bombé.

J’adore le sexe, par tous les orifices, ainsi, mes maîtres successifs n’ont eu aucun mal à faire de moi une vraie pute, dont ils étaient les maquereaux. Toujours chaude et dilatée, humide et excitée, je dandinais du cul quand on me promenait, les mamelles pendantes, offertes aux regards et aux caresses.

Hélas, je devais garder les yeux baissés en signe de soumission, et je ne pouvais pas allumer les mâles du regard. Alors, je frétillais, j’ondulais, je les appelais avec mon corps.

Quand mon maître donnait son autorisation, je me laissais caresser les seins avec délice, mouillant à fond, je bougeais le bassin pour inviter l’homme à toucher mon clito, à baiser ma chatte, et mon cul. J’adorais me faire baiser comme ça en public, par un ou plusieurs hommes comme une vraie chienne en chaleur.

En revanche, mes relations avec le maître restaient décevantes, et je recherchais davantage. Mon plus profond désir était d’appartenir à un maître, devenir son esclave, l’aimer, le vénérer, l’adorer, en faire mon tout, mon Dieu vivant.
Je voulais m’offrir corps et âme, me surpasser pour l’amour d’un vrai Maître.

Je suis alors tombée sur cette annonce, lors d’une soirée libertine, elle était affichée sur la porte des toilettes pour femmes.

Maître Victor cherchait sa soumise, pour l’éduquer, la chérir et l’asservir. Déjà, je me sentais frissonner, rien qu’au ton de l’annonce.

Alors, j’ai téléphoné, toute tremblante. Maître Victor avait une voix très grave, presque d’outre-tombe. Il m’a ordonné de me présenter le lendemain, vêtue d’une tenue d’écolière, jupe à carreaux, bas blancs, souliers vernis noirs, et petit chemisier blanc.

J’ai sonné le lendemain à la porte de son imposante demeure de maître. Maître Victor était notaire et exigeait de la discrétion, comme tous les notables. Il m’a félicitée pour ma tenue d’écolière, vu qu’il recherchait une soumise à éduquer.

Il parlait bas, avec sa voix grave, et il m’hypnotisait, j’étais sous le charme. C’était un homme grand, d’une cinquantaine d’années, aux lèvres minces, le visage émacié, le corps mince et sec. Il était habillé avec élégance et j’étais impressionnée. Il me plaisait beaucoup et je me sentais déjà sous son emprise, je buvais ses paroles.

Il m’a ordonné de baisser la tête, et j’ai obéi. Lui, il est venu derrière moi et a relevé ma jupe, a baissé ma culotte avec autorité, et a fourré sa bite profondément dans ma chatte en me tenant par les cheveux.

Plus il m’insultait, plus je jouissais, et je criais mon plaisir très fort. Maître Victor a giclé son sperme chaud en moi et s’est rhabillé.

Calmement, il m’a dit qu’il me prenait à l’essai, et que je devrais nouer avec lui une relation profonde et sincère, en totale appartenance. Je devrais être sa chose. J’en tremblais de bonheur en le remerciant humblement.

Depuis, chaque jour, je m’attache à être obéissante pour être formée selon les désirs de Maître Victor à satisfaire tous ses fantasmes.

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