Femme exhib

Femme exhib

Je m’appelle Maude et j’ai 32 ans, je suis une belle plante élancée d’1m72 pour 52 kilos, je suis une mince à forte poitrine, je fais du 85D naturel, mes cheveux sont longs et châtains, mes yeux sont noirs. Parmi mes récents dévergondages, je me livre avec délice à l’exhibitionnisme sous diverses formes. Ou plutôt, je me réconcilie avec des pulsions d’exhibition que j’ai (trop) longtemps refoulées. En effet, sous des dehors réservés, je crois que j’ai toujours eu un fond un peu exhib. Avant de me marier, j’aimais jouer de l’effet que je pouvais produire sur les hommes, surtout s’ils étaient plus âgés. Un cache-cœur bien échancré sur une poitrine de jeunette peut faire des ravages chez un professeur de fac, un collègue, un patron tourmenté par le retour d’âge … Je soignais donc ma tenue en toute circonstance, au travail comme en soirée, oscillant savamment entre une mise de petite bourgeoise bon teint, tailleurs strict ou robe élégante, et celle d’une petite allumeuse, maquillée dans des tons provocants et veillant à toujours ouvrir un bouton de chemisier en trop … En vacances, je minaudais dans des maillots faussement sages, soigneusement choisis pour mettre en relief un arrogant 85D. « Obligée » de remettre sans cesse en place mes seins rebelles dans des bonnets évidemment trop petits d’une taille, je défiais avec une innocence affectée les lolos raplaplas de mes aînées et concurrentes potentielles ! Après moult tentatives infructueuses de domestiquer mes imposantes mamelles, je finissais en monokini, non sans avoir copieusement enduit mon torse de monoï, tout en jaugeant au travers de mes Ray Ban l’attrait de la gent masculine pour mes appâts … Je piégeais à coup sûr ! J’ai pris un plaisir un peu malsain et décadent à salir mon image de petite bourge, en m’abandonnant à mes conquêtes du moment au vu de tous, en me laissant aller, entre les bras de garçons queutards pour avilir la petite sainte nitouche que je ne voulais plus être.

 

De sainte nitouche à garce : Métamorphose :

 

Par goût de la provoc au moins autant que par désir, je suis devenue « celle qui couche le 1er soir« , enfreignant les règles hypocrites d’un milieu où les femmes devaient se préserver jusqu’au mariage. Il était admis que les hommes « de nos familles » puissent se faire la main sur des salopes avant de convoler avec une vierge ou réputée telle en justes noces … Je choisis donc de m’offrir à des salauds. Durant ces temps de débauche, ce qui me procurait les sensations les plus fortes, c’était de me laisser caresser, lécher et parfois prendre dans une voiture au retour d’une soirée, avec la délicieuse angoisse d’être surprise sur le fait … Après quelques années de dévergondage, j’ai jugé qu’il était grand temps de me ranger. J’ai adopté à mon tour l’uniforme de la bonne épouse et ai voulu rompre avec ce passé compromettant. Je pensais y être parvenue mais avec l’usure du temps et les accidents de la vie, le masque de la femme sans désirs ni fantasmes s’est fissuré. Mon besoin de séduire, de jouer avec le feu, de m’encanailler a ressurgi avec fracas. Au début, je n’ai pas voulu l’admettre. Je me défendais contre moi-même. Mais cette lutte était destructrice.  Alors j’ai décidé de m’accepter, avec mes instincts, mes envies, mes besoins charnels, mes vices … Depuis plusieurs mois, j’explore donc mes limites. Je m’habille de façon provocante. Mes décolletés se creusent, mes jupes raccourcissent, mes talons se haussent … J’arbore des chaînes de cheville, des bagues de pied, des pendants d’oreille qui frôlent des épaules dénudées. Je vais dans des soirées mondaines habillée dans un style chic mâtiné d’un sex appeal outrancier … Et j’adore provoquer l’émoi des mâles ainsi que la jalousie de leur compagne. Là où, il y a encore un an, j’allais accoutrée d’une robe noire très stricte couvrant réglementairement mes cuisses, je vais aujourd’hui vêtue d’un chemisier transparent voilant à peine mes dentelles, d’une jupe fendue, de sandales à plate-forme. Et j’allume ainsi de manière éhontée jeunes et vieux, avec une nette préférence pour les matures. Je joue de mon regard, mi-pute, mi-soumise, je ris à gorge déployée … Ce qui a pour effet d’attirer irrésistiblement autour de moi une cour de mâles tentant de rivaliser de charme et d’humour. Lorsque mes courtisans sont à point, je profite de la 1ère occasion pour faire partir la conversation en vrille, par une remarque déplacée, une allusion ambiguë, un sous-entendu oiseux … Ça ne rate jamais! Déstabilisés par le vacillement des convenances, les plus prudes oublient leurs bonnes manières et se répandent en remarques salaces. Les ayant chauffés à blanc, je les plante là, les laissant sur leur faim, frustrés et hagards. Je les salue d’un air qui signifie « assez causé, il est l’heure que j’aille me faire sauter ailleurs … » et je devine alors dans leurs regards libidineux que c’est à moi qu’ils penseront lorsqu’ils devront s’acquitter de leur devoir conjugal. Certaines rombières jalouses devraient donc me remercier du regain d’ardeur de leur bonhomme !

A chaque occasion, je m’exhibe :

 

Au quotidien, je vis désormais en mini-jupe, en cuirs, en débardeurs, et sans culotte. Faire les courses n’est plus une corvée ! Je m’amuse à prendre ma petite chatte en photo dans tous les rayons, songeant avec jubilation que les vigiles de la vidéo-surveillance suivent sans doute mon manège. Tantôt chaudasse, tantôt naïve, je me laisse ostensiblement draguer par le boucher, le poissonnier, guettant leurs regards salaces, me délectant de leurs allusions grivoises, prenant des poses savamment étudiées pour leur offrir une perspective plongeante sur ma poitrine lorsque je farfouille dans mon Caddie … avant de leur tourner le dos et de leur procurer une vue imprenable sur un petit cul qui l’est beaucoup moins ! Depuis peu, j’ai aussi renoué avec ma passion de la baise en voiture ou en plein air. Je me suis dernièrement laissée branler en plein jour sur la plage, à 10 mètres d’une bande de jeunes qui n’en croyaient pas leurs yeux … Je me laisse caresser au cinéma, aux concerts. Les théâtres sont également des lieux d’exhibition extraordinaires. Installée au 1er rang devant la scène, j’expose ma petite chatte bien épilée au regard des acteurs ! Me laissant commander par mon sexe et mon goût pour la luxure. J’écarte les cuisses à la moindre sollicitation, au restau ou sur l’autoroute, de préférence lorsqu’on double un camion. Je baise la nuit dans les bosquets des jardins publics, en bordure de chaussée, afin de ressentir l’exaltation d’être débusquée par les phares de chaque voiture qui passe. Dans mon jardin, je me ballade à poil au moindre rayon de soleil, sachant que les haies n’arrêtent pas les regards. Je me caresse même parfois, en imaginant qu’un intrus, ou mieux plusieurs, pourraient entrer pour me cambrioler, et se paieraient d’abord sur mon corps … Mes jeux d’exhibition « dans la vraie vie » font donc écho à des fantasmes et se prolongent aussi dans la sphère virtuelle. Je m’initie en effet aux pratiques du cybersexe afin de donner encore plus d’audience à mes démonstrations ! Grâce à internet et à une simple webcam, je m’expose dans les postures les plus scabreuses à des centaines d’inconnus qui se branlent devant moi dans une sorte de gang-bang numérique.

 

Devant la webcam :

Cela a commencé il y a quelques semaines, alors que j’étais d’humeur particulièrement joueuse, ce qui n’avait pas échappé à mon compagnon. J’avais entrepris de le sucer comme très souvent quand je le retrouve dans notre lit. Alors que je le gobais profondément, il m’arrêta et me proposa de jouer devant la Webcam sur un site spécialisé dans l‘exhibition. Sur le coup, j’hésitais mais finalement me laissais convaincre assez facilement. Je demandai le temps d’enfiler une tenue sexy afin de faire honneur à nos spectateurs. Je choisissais donc dans ma garde-robe « spéciale coquine » un combi short en vinyle qui a la particularité d’avoir une fermeture éclair qui s’ouvre au-delà de l’entrejambe, ce qui est très pratique ! J’enfilais une petite cagoule en dentelle pour compléter ma tenue et j’étais prête ! Mon compagnon lui avait enfilé un tee-shirt noir ainsi qu’une cagoule noire, cela rajoutait du piment de ne pas voir son visage ! Le temps de mettre la cam en route et de nous connecter sur le site, et nous étions en piste. Mon homme a commencé à me caresser les seins, tout en faisant coulisser légèrement la fermeture éclair de mon combi pour les dégager. Mes tétons ne tardèrent pas à pointer, signe de mon excitation. Assez rapidement, il descendit un peu plus et de ses doigts agiles, il s’affaira sur ma petite chatte qui ne demandait que ça car j’étais déjà bien mouillée. Il allait et venait entre mes lèvres qui gonflaient de désir. Je sentais ma petite grotte d’amour s’ouvrir et s’humidifier de plus en plus. Il commença à rentrer ses doigts et à me malaxer de l’intérieur tout en surveillant le nombre de mateurs ainsi que leurs commentaires.

Le plaisir de se faire mater :

 

Notre petite démonstration ne laissait pas les voyeurs indifférents : un réclamait que je mette des bas, l’autre que je me tourne pour que l’on me voie mieux prendre du plaisir. Me soumettant à leurs exigences, il ne me fallut pas très longtemps pour être submergée par une vague de jouissance intense. C’était maintenant à mon tour de prodiguer du plaisir à mon compagnon. Je repris donc ma séance de pompage, caresses et succions en tout genre. Lui aussi était très excité. Il bandait comme un fou. Les léchouilles sur ses boules et le long de sa hampe le rendaient complètement dingue, j’étais littéralement déchaînée sur sa queue. J’alternais des gorges profondes et des branlettes tout en lui crachant dessus abondamment. Les internautes étaient de plus en plus nombreux.Pour les allécher un peu plus, mon homme se mit à caresser mon petit trou et à me l’enduire de lubrifiant. Je compris qu’il me préparait pour un plug anal, mais lequel allait-il m’enfiler? Je le suçai de plus belle tout en remuant mon petit cul pour l’aguicher davantage. Enfin il introduisit le jouet ! C’était un plug en métal d’une taille assez imposante. Une fois en place il me remplissait bien et c’était vraiment trop bon ! Nous étions tous les deux dans un état d’excitation terrible. Mon homme m’arrêta car il lui devenait de plus en plus difficile de résister à mes assauts répétés sur sa bite. Il me fit donc mettre de côté et plaça délicatement son gland à l’entrée de ma petite chatte, mais c’était pour mieux s’introduire en moi d’un seul coup ce qui fut fait sans aucun mal tellement j’étais trempée et lui dur.
Il me pilonna quelques minutes mais nos spectateurs n’étaient pas satisfaits car il n’avait pas une assez bonne vision de nos ébats. Je me mis donc en levrette, de biais par rapport à la caméra pour qu’ils puissent me voir comme il faut, ainsi que mon homme en train de me besogner. Ma poitrine remuait dans tous les sens, c’était terriblement sexy. Je m’empalais sur sa queue car j’en voulais toujours plus, encore et encore, et lui s’acharnait sur ma chatte tout en jouant avec le plug. Nous étions totalement déchaînés. À chaque fois que je glissais un œil sur l’écran, le nombre de spectateurs augmentait, ils étaient maintenant plus de 300 à nous regarder et certainement pour la plupart en train de se branler, comme je le voyais pour certains d’entre eux, ce qui ne faisait qu’augmenter notre excitation. Je sentais mon orgasme poindre ainsi que celui de mon compagnon. Ce fut magique et intense. Quand je le sentis se retirer pour m’éjaculer sur mon cul et mon dos, c’était l’extase totale. J’étais une coquine comblée ! Je m’écroulais sur le lit et dis au revoir d’un signe de la main à tous nos fans d’un soir ! Ils étaient quand même 350 ! Et je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin ! Ma dernière idée en date serait d’exercer mes charmes sur mes amies féminines … Je n’ai jamais eu d’expérience lesbienne, mais la vue de deux femmes se léchant la chatte dans un film X m’excite énormément … Je sais aussi que je plais aux femmes. Je me fais régulièrement draguer par d’autres dames, dans les magasins féminins notamment. Et ça me flatte, voire m’émoustille assez !

J’ai encore beaucoup à explorer en la matière …

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