Je jouis en payant

Je jouis en payant

Je suis soumis Machin, ou Machin tout simplement, selon les désirs de ma maîtresse, Sophie. C’est d’ailleurs son idée que de me faire écrire ici mon témoignage de chose ringarde et futile.

Voici mon histoire. J’ai 53 ans et je suis insignifiant, 1m72, le crâne dégarni, avec juste des cheveux châtain sur le côté, une figure ronde et pale, les yeux marrons, j’ai un embonpoint certain. Je suis chef d’une très grande entreprise d’immobiliser qui est absolument florissante. Ma fortune a d’ailleurs rapporté gros à mon ex-femme au moment du divorce.

Et voilà que tout commence ; au moment du divorce, mon ex-femme réclamait beaucoup d’argent que son avocat justifiait par toutes sortes de raisons. D’abord en colère, en fait, je me suis vite aperçu qu’en fait, cela m’excitait ; plus les sommes augmentaient car mon ex-moitié voulait se venger de mon infidélité, et plus j’éprouvais des envies frénétiques de me masturber ; je me suis copieusement branlé chez mon avocat, lorsqu’il m’annonçait les sommes réclamées, puis au tribunal aussi, dans les wc après l’annonce de la somme colossale que j’allais devoir payer…une jouissance vraiment toute nouvelle !

Je suis allé voir des prostituées pour la première fois. Ce qui m’excitait, c’était de payer, alors, je les baisais maladroitement, mais elles ne se plaignaient pas et faisaient leur maximum pour me faire bander, et me faire plaisir ; mais ce que je préférais, c’étaient celles qui montraient combien je les dégoûtais, celles qui me méprisaient ouvertement, et même qui m’insultaient, ça m’excitait tellement que je spermais avant même de les toucher.
Ca les arrangeait bien, et moi, je découvrais un nouveau monde ; le plaisir de payer pour me faire humilier.

J’ai appelé le téléphone rose aussi, j’ai discuté avec des hôtesses en audiotel, et ma facture me faisait jouir encore plus. J’ai essayé le privé, je mettais le maximum en carte bleue, parlant pendant des heures avec des hôtesse en ayant le plaisir de savoir que je payais à fond. L’une d’elle m’a dit qu’elle connaissait mon fantasme et que j’étais un moneyslave. Elle me faisait rappeler pendant des heures et je me branlais sur sa voix chaude qui se moquait de moi, m’insultait en riant et me rappelait combien je payais pour ça, hum….

Alors, j’ai regardé sur internet, j’ai parcouru des sites de psycho, des sites de cul aussi, et je me suis rendu compte que j’étais une sorte d’esclave financier, un type qui aime raquer.

La bonne nouvelle, c’est qu’il y avait des femmes supérieures qui avaient compris cette fantaisie, et qui étaient prêtes à satisfaire des minables comme moi.

J’ai alors contacté maîtresse Sophie, une superbe femme rousse, à la peau laiteuse, les yeux verts, et de charmantes tâches de rousseur, une bouche fine et une moue dédaigneuse. Sa silhouette élégante m’impressionnait et me faisait me sentir encore plus ridicule. Elle n’a pas accepté tout de suite de devenir ma maîtresse.

Nous nous sommes d’abord parlé en visio. Elle disait que je lui paraissais insipide, qu’elle avait peur de s’ennuyer avec moi et qu’elle avait beaucoup de demandes, alors me consacrer du temps, cela la dérangeait quand même. Sa bouche fine formait une moue méprisante, et ses grimaces de dégoût m’excitaient au plus haut point.
Il me fallait le convaincre. J’ai insisté, j’ai promis de ne pas la déranger, d’être à son service, et je lui ai fait l’inventaire de ma fortune et de mes biens.

Elle m’a dit qu’elle ne se contenterait pas de peu, qu’elle voulait tout ou alors rien. J’ai accepté tout, et avec bonheur, excité comme jamais, la queue dressée comme un porc tout gai.

Nous nous sommes rencontrés le jour de mes 50 ans, le plus beau jour de ma vie. Elle m’a vite mis à son service, au ménage, lessive, chauffeur aussi, et témoin de ses ébats avec de beaux et jeunes étalons bien montés avec lesquels je n’osais pas rivaliser, J’adorais ça, j’avais parfois le droit de lécher sa chatte pleine de sperme.

Et surtout, depuis 3 ans, j’ai le plaisir de payer pour ça, je paye des hôtels de luxe, des vêtements, des bijoux, des restaurants, j’entretiens ma charmante maîtresse qui m’humilie quotidiennement et me rappelle ma condition.

Je lui ai acheté un appartement à Paris, et un à Londres, car elle adore voyager entre ces deux villes, et je travaille comme un forcené pour maintenir son train de vie et rester son esclave financier préféré. Hum,cet argent que je dépense pour elle, il me fait tellement jouir, que je m’en contente, du moment que je reste sa pauvre loque comme elle m’appelle affectueusement, sa serpillère de compétition, son minable coffre-fort, son assurance de pacotille.

Voilà mon témoignage, exigé par maîtresse Sophie, que j’exécute avec bonheur. Il m’a coûté 5000 euros pour son plaisir. Ce n’est rien pour un plaisir si intense, ma queue en coule encore de joie.

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