Fantasmes masculins et leurs confidences les plus secrètes (suite)

Deuxième histoire :

 » Chose défendue, chose désirée »

Proverbe français

-L’ homme qui a sucé pour la première fois une queue sur une aire d’autoroute

L’homme qui m’appelle ce jour-là, m’annonce d’ d’emblée qu’il souhaite me faire une confidence. Sa voix est douce, posée, il s’exprime bien avec retenue mais il n’omet aucun détail dans son récit. En rentrant chez lui, il s’arrêta sur une aire d’autoroute quand un homme l’aborda pour lui demander une fellation. Il refusa, remonta dans sa voiture, puis, après un bref moment de réflexion, il fit demi-tour, retourna dans le bois, retrouva le mec et le suça. Il en éprouva une excitation indescriptible. Il se fit jouir avant de rentrer. Il ne tarda pas à retourner sur l’aire d’autoroute, pris goût à la chose te se mit à sucer plusieurs bites.. A la chaîne, ou en groupe.. Mais jamais, il ne se fit sucer. Il ne veut ni enculer, ni se faire enculer. Tout son plaisir, il le prend en en donnant… Il n’est pas exclu qu’il aille un jour plus loin, qui sait ?

Troisième histoire :

« La pratique masturbatoire est une véritable usine à fantasmes, un puissant surgénérateur de particules mentales érotiques .

Henri Barte

L’artisan qui se branle sur le lit de sa cliente une belle femme de 40 ans avec des lunettes

Sa description donne envie, j’ai toujours fantasmé sur les ouvriers en bleu de travail;) Quand il m’a appelée, il a tout de suite posé le cadre. Il était dans la chambre de sa cliente en train de se masturber sur son lit. J’étais là, comme c’est souvent le cas pour l’aider à bien gicler, à augmenter son plaisir, en faisant vivre son fantasme. Il a bien joui. J’ai le souci du réalisme, je lui ai demandé des détails précis à propos de cette femme, brune, sexy, bien habillée. Cela lui a libéré l’esprit. Croyez-moi;)

Quatrième histoire :

« Le sexe, c’est toujours une relation de pouvoir, qu’on le veuille ou non. Il faut une lutte, une domination de l’un sur l’autre! Sinon, ça ne marche pas »

Monique Larue

L’homme qui a fini par devenir soumis après avoir été brimé durant des années par des femmes qu’il encadre dans son boulot

Il appelle toujours pour le même scénario. Il veut être dominé, humilié, sa sexualité a évolué, a changé  à cause de son travail. Ou grâce, peut-être s’est-il tout simplement révélé ! Désormais, ce qui l’excite c’est d’être humilié par des femmes à son bureau, d’être moqué à propose de sa timidité; de sa gaucherie. Il n’en souffre pas, il en joui. Je joue une collègue bien perverse qui fait tout ^pour le mettre mal à l’aise, puis, cela finit généralement en humiliation dans les toilettes ou bien dans la salle de réunion. Il aime être moqué à propos de ses tétons qui pointent aussi, être pris au gode ceinture par le cul. Souvent, le lieu de travail est le théâtre idéal des fantasmes de ces messieurs.

Les hommes qui aiment entendre que l’on crie leur prénom

Cela arrive souvent;)

Le travesti qui se prostitue, souvent, ce sont des hommes mariés qui n’osent pas demander des pratiques hard à leur femme.

« Il est très doux de scandaliser : Il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner »

La philosophie dans le boudoir-Le Marquis de Sad

C’est un grand type longiligne, d’ 1m88 pour environ 70 kilos. Il aime être dominé par les femmes, faire leurs corvées en tenue de soubrette, juché sur des talons gigantesques .Il se prostitue aussi. Dans un célèbre bois parisien. Il racole. Et bien souvent, m’ a t-il dit, ce sont des hommes mariés. Qui lui sautent dessus, fous de désir, une fois qu’il soit entré dans la voiture. Leur excuse, le plus souvent, car ils doivent bien s’en trouver car peu assument, c’ est que leur femme est une mère, une épouse digne a qui ils ne pourraient pas demander certaines choses.. bien crues.. Une frustration de convention que l’on évacue comme l’ on peut, dans le secret..

Conclusion :

Le téléphone rose est une réelle soupape de sécurité pour beaucoup.

« Fantasmes (…) constituent pour leur créateur-comme ensuite ceux qui en jouissent-une sorte de soupape de sûreté à la pression trop forte des instincts refoulés »

Edgar Poe

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