Au bal masqué

 

Au bal masqué

 

Février ô joie et allégresse, c’est carnaval par chez moi. Le carnaval, par ici, c’est une institution, tout le monde s’en réjouit, tous âges compris, et même les élus, maires, adjoints, conseillers municipaux font la fête !

Ici, dans la région, carnaval, c’est de janvier à avril. Défilés, chapelles, pec-pec, on brûle les géants, et surtout on sort les costumes !

Les copains me le disent toujours, Véronique, on ne va pas la voir pendant un moment, ou alors, on ne va pas la reconnaître.

Ca fait 40 ans que je fais carnaval, et je change de costume chaque année.

Cette année, je suis déguisée en prostituée cochonne, donc sexy, bas résille, hauts talons vernis, mini-jupe moule-fesses, corset redresse-nichons, on s’exhibe, c’est la fête. Mais avec un masque, très important. J’ai donc affiché la couleur avec un masque de cochonne, une vraie truie bien rose.

Je danse dans les rues en chantant, et en balançant mon petit sac à main verni, en faisant la pute, je m’amuse.

Je me fais draguer aussi, et il y a des mains baladeuses sur  les fesses, et même sur les seins…ça ne me gêne pas, j’adore ça, je vais même dans les endroits réputés les plus chauds.

Là, il y a quelques mecs bien allumés autour de moi, on chante, ils me pelotent le cul, les nichons, et ça m’excite même, je sens qu’on ne va pas en rester là, quand ma chatte commence à bien mouiller, j’aime qu’elle se régale. Il lui faut au moins une bite bien dure, et elle en aura au moins une ce soir.

On entre dans une taverne, un pub bien obscur, on se met dans un coin au fond, on commande, on est bien, et personne ne peut nous voir, il y a un rideau, c’est un coin privé.

Je me colle aux mecs, et ils ne se font pas prier, ils sont trois, bien chauds, et il y en a un qui é déjà plongé une main dans mon décolleté, je sens un peu ses doigts sur mon téton qui grossit, ça m’excite et lui aussi.

Autant en faire profiter les deux autres, j’ouvre mon corset, et mes seins nus jaillissent, les tétons durs et gonflés. Ils s’y mettent à trois sans problème. Je caresse leurs bites gonflées, et eux, ils caressent, ils massent mes nichons, ils sucent mes tétons, et il fait chaud dans ma culotte ; je leur dis, et hop, ils me l’enlèvent, et au passage, il y en a un qui me met deux doigts, hum, c’est bon.

Je m’allonge sur la banquette, et j’écarte les cuisses, comme ça, on me pénètre la chatte mouillée avec les doigts, on me léche le clito qui gonfle, prêt à exploser. Il y en a un qui sait très bien tourner le clitoris avec la langue, il me fait jouir plusieurs fois, je crie de plaisir, personne ne m’entend tellement il y a du bruit .

Je réclame les bites, on m’en met une sur les lèvres, je la gobe en entier avec ma bouche, je la suce, je la branle, c’est trop bon.

Je reçois enfin une bite dans la chatte en même temps, qui glisse à merveille, bien profond, et fait des allers-retours de plus en plus rapides, je la sens au fond, et c’est génial. Et là, une bite s’enfonce dans mon cul, tout doucement, mais profondément, je me sens pleine de partout, je gueule, comme un vraie truie. J’ai du sperme dans la bouche, dans la chatte, dans le cul, et je kiffe, c’est la jouissance totale. Je ne me contrôle plus, je doigte les culs des mecs, ils crient de joie, c’est la grosse partouze de carnaval, c’est géant.

On a bien joui, et il faut qu’ils récupèrent un peu, quand même, mes inconnus bien montés. On commande des bières et ils chantent : «  Chantal, t’as mis ton doigt dans mon trou d’balles, tu me dois 100 balles ! ». J’adore les chansons de carnaval, mais ils n’auront pas 100 balles….mais mon cul, ça c’est autre chose, allez c’est reparti, on suce…

«  Wiche, wiche, wiche, wiche, viens jouer avec mon wiche Cinq minutes c’est pas longtemps et puis mon wiche, mon wiche i s’ra content. »

 

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