Confidences privées

Confidences privées

C’est une catastrophe, je ne bande plus. Ou alors, lorsqu’il m’arrive de bander, si j’ose dire, à l’occasion, je bande mou. C’est encore pire, après des années de gloire et de majestueuses érections fières, dures et bien dressées, d’assister, impuissant à ce lent déclin.

Le mot est lâché : impuissant. Michel est impuissant. Je suis impuissant. Au début, ma chère et tendre épouse, Louisa essayait de me rassurait en me disant que ce n’était rien et que cela arrivait à tous les hommes de mon âge ( j’ai 57 ans ) mais l’effet était pire et ma queue rétrécissait à vue d’oeil.

J’ai refusé de me résigner, j’ai caressé ma femme, que je désire toujours autant, elle m’a caressé, sucé, mais tout au plus, ma bite se redressait que quelques centimètres, à moitié molle.

Je me suis branlé copieusement, en matant des show en webcams, avec de belles salopes à poil qui jouissait avec leur vibro, jambes écartées, comme j’aime, mais pas mieux. J’ai essayé tous les pornos possibles, hétéros, lesbiennes, BDSM…rien.

Ma femme voulait que je consulte un médecin. Mais rien qu’à l’idée de déballer mon anatomie et reconnaître mon impuissance me rendait fou de rage. J’ai refusé.

J’avoue que j’avais envisagé d’aller voir une prostituée, mais je n’avais pas envie de tromper ma femme, et en plus, j’aurais eu l’air de quoi si je n’avais pas réussi à bander ?

Finalement, plus j’angoissais et moins ma queue bandait.

Ma femme a pensé à un psy, mais je n’imaginais pas soutenir le regard de quelqu’un à qui j’aurais parlé des défaillances de mon pénis.

Pour les mêmes raisons, je ne voulais pas en parler à mes amis hommes. Ils avaient l’air si sûrs d’eux, je ne pouvais pas imaginer qu’ils aient aussi des problèmes, et j’avais peur de leur jugement.

Je n’avais donc personne à qui parler et mon mariage était en péril, ma vie sexuelle aussi.

J’ai donc appelé le téléphone rose. J’ai choisi une hôtesse à la voix douce, elle était gentille, patiente, nous avons fait connaissance en audiotel, c’était très agréable. Elle m’a vraiment mise en confiance.

Je lui ai dit que j’avais envie de lui confier des choses secrètes et embarrassantes et que cela me gênait de savoir que même anonyme, j’étais écouté par la file d’attente.

Très compréhensive, l’hôtesse m’a proposé de passer en privé par carte bleue, comme ça, nous aurions tout le temps dont nous avions besoin et en plus, personne ne pouvait écouter.

J’ai accepté et me suis senti beaucoup plus décontracté. Je lui ai donc confié mon problème, et elle s’est montré très à l’écoute, sans jugement, et m’a rassuré. Nous avons parlé de ma femme, de ma vie, et tout doucement, elle m’a parlé de ses fantasmes, et je lui ai confié les miens.

C’était agréable de ne pas avoir de pression, et je me suis laissé aller, j’ai raconté combien j’aimais que me femme me mette un petit doigt dans le cul en me suçant, comment j’aimais lécher son clito et lécher sa mouille abondante.

Mon hôtesse m’a alors proposé un jeu : elle jouerait le rôle de ma femme, et moi, ej lui dirais tout ce que j’avais envie de lui faire et elle répondrait.

Je me suis pris au jeu, lui disait que j’avais envie de dîner avec elle au restaurant, et qu’elle n’ait pas de culotte sous sa jupe, qu’elle joue les allumeuses avec les mecs autour, qu’elle me rende fou, et elle disait qu’elle me ferait du pied sous la table en caressant ma bite avec son pied, en se penchant pour que je mate ses seins dans son décolleté.

Le scénario finissait dans une rue reculée, ou je caressais le clito de ma femme en remontant sa jupe et en bouffant ses seins, mon hôtesse gémissait, j’ai dit que j’introduisais un doigt, deux, puis ma bite, et mon hôtesse/ ma femme, gémissait de plus en plus en se godant.

Et moi, je bandais ! Ma bite était très dur, mon gland tout gonflé était mouillé, j’étais aux anges, tout chaud, excité comme jamais, fier et heureux !

Je me suis branlé en me lâchant avec mon hôtesse, encouragé par ses cris de plaisir, imaginant baiser ma femme comme une chienne, et la faire jouir, et j’ai lâché tout mon sperme, en jouissant avec puissance.
J’ai remercié mon hôtesse, heureux et reconnaissant, j’ai pris une douche, et quand ma femme est rentrée, je l’ai plaquée contre le mur de l’entrée, j’ai relevé sa jupe et je l’ai baisée, comme jamais.

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