Dans le métro

Dans le métro

Je m’appelle Samuel, j’ai 33 ans, et je suis cadre dans une agence bancaire à Paris. Célibataire endurci, grand, baraqué, je prends soin de moi à la salle de sports, brun, les yeux noirs, j’adore draguer dans les bars et finir la nuit chez mes conquêtes. Parfois, quand la nuit a été torride et la fille arrangeant, je la rappelle pour remettre ça, et tenter de nouvelles positions.

Brunes, blondes, petites, grandes, fines ou dodues, gros seins en pommes ou petits seins en poire, petits ou gros culs, chattes poilues ou non, tout me va, je suis un gros queutard et j’assume. J’adore baiser et faire plein d’expériences. Ma bite ne tient pas en place, mes potes disent de moi que je ne sais pas garder ma braguette fermée.

Hier soir, après le travail, je suis sorti avec un collègue, dans un nouveau bar, là où paraît-il, les filles ne sont pas compliquées. Mon collègue a très vite fait une touche. Une grand blonde décolorée, la trentaine, les yeux bleus ornés de longs cils maquillés de mascara noir très épais, une bouche pulpeuse très rouge et brillante, un sourire carnassier, des seins prêts à faire exploser son décolleté et un superbe cul rond moulé dans une mini-jupe moulante.

Cette magnifique créature habillée et maquillée comme une pute semblait en plus très chaude, elle se collait à mon copain Pierre avec insistance, et le caressait sans se gêner. Je voyais que Pierre avait une belle bosse dans son pantalon, mon cochon, il allait passer une nuit inoubliable avec elle ! Dommage pour moi qu’elle n’ait pas une copine pour me tenir compagnie.

Je les laissais sur une banquette se rouler des pelles, et j’abordais une fille, une grande brune, perchée sur des hauts talons, mini-jupe, bas résille et petit top décolleté laissant voir son ventre, un cul de déesse, et bien chaudasse aussi ! Décidément, ici, les collègues ne nous ont pas menti, il y a vraiment de sacrées bonnes femmes. Cette salope assise à côté de moi, me léchait l’oreille en me caressant la cuisse, et ma bite était en feu, j’apercevais ses seins qui pointaient sous son top, et je rêvais de lui bouffer avant de m’attaquer à son petit cul de bombasse.

Peu après 23h, nous avons pris le métro pour rentrer, car, dans le bar, on ne peut pas consommer sur place. Sur les sièges, nous avons continué de nous chauffer, et j’avais hâte de rentrer pour culbuter cette superbe nana, ou pourquoi pas, faire un plan à quatre avec Pierre et sa bombasse. Je m’imaginais déjà les prendre l’une après l’autre, par la chatte, par le cul, hum…

Une super nana vint aborder nos nouvelles amies. Une grande rousse, superbement carrossée, très maquillée, encore une bombe. Elles se connaissaient bien et nous avons sympathisé, elle aussi, je l’imaginais déjà chevauchant ma queue, ses gros seins balançant devant moi…le rêve !

La grande rousse, Katia, était restée debout, se tenant à une barre. Il y avait du monde, et pas mal de mecs derrière elle, pas étonnant, ils devaient bien la mater, cette cochonne.

Puis, un détail attira mon attention. Katia se tenait d’une main seulement à la barre, et son autre bras semblait coincé derrière elle. Elle tenait quelque chose fermement et bougeait le bras. Curieux, je me penchais un peu vers le côté pour voir ce que c’était. Pendant ce temps, ma future conquête me caressait les cuisses, et j’étais chaud comme la braise…

Une bite ! Katia était en fait en train de branler une grosse et longue bite, celle du mec qui se tenait derrière elle, bien collé. Il avait la tête collée contre le dos de Katia pour ne pas qu’on l’entende gémir. Quelle belle salope, j’étais encore plus excité ! Puis Katia demanda un mouchoir à ma copine   Nadège, la cochonne. Elle s’essuya les mains en riant. Puis elle jeta le mouchoir plein de sperme dans une poubelle, pendant que le mec tout rouge remontait sa braguette discrètement.

Katia m’excitait vraiment beaucoup et je me levai et m’approchai d’elle pour lui parler. Je la collai de plus en plus, mes yeux hypnotisés par son décolleté, et Nadège se rapprocha de Pierre et de sa conquête. Je nous voyais déjà dans une superbe partouze avec ces trois femmes bien chaudes.

Je caressai discrètement le cul de Katia qui caressa ma queue bien dure prête à exploser/ Katia et la situation me faisaient bander comme un dingue.

J’effleurai ses superbes seins aux tétons dressés, je passai ma main sous son top, sa peau était douce et chaude, ses seins très fermes, ses tétons très durs, comme ma queue. Je collai ma queue contre son gros cul de salope et commençai à me frotter. Puis je descendis ma main sous sa jupe, dans son string, ver sa chatte, et là, je trouvais une bite, dure, bien cachée et déjà mouillée. Katia se retourna pour me sourire …et je continuai de la peloter, après tout, je n’avais jamais baisé avec des travestis, encore une expérience de plus !

4 réactions sur “ Dans le métro ”

  1. Christian Réponse

    Ah les métros…On parle beaucoup des types qui profitent des situations ou tout le mode est comme dans un boite de sardines…pourtant avec moi c’est le contraire qui est arrivé. J’étais debout main appuyé sur le haut d’un siège quand je sens tout à coût une masse sur ma main…C’étaient les gros seins d’une matrone qui n’avait rien de glamour et qui regardait en l’air….j’avais donc la main coincée…Ça aurait été une belle femme je n’aurais pas hésité à l’aborder avec une pointe d’humour …mais là …vraiment je ne pouvais pas….L’avait elle fait exprès ou planait elle à 15000 …Bref j’étais assez gêné, fallait bien qu’un moment ou l’autre je retire ma main…Heureusement elle s’est enlevée avant … Plus bandant à mon niveau …J’étais dans le métro avec une de mes dominas …C’était l’été j’étais en short, le métro bondé elle m’a mis sa main dans mon short pour voir si j’avais suivi sa consigne de ne pas porter de slip et m’a doigté l’anus …l’extase hummmm personne ne pouvait se rendre compte de quoi que ce soit…Pour ne pas que je gémisse elle m’a mis son autre main sur ma bouche …Un trop bon moment…

    • Fauve Réponse

      Hey coucou mon Christian !

      Ravie de te lire 🙂

      Il m’est aussi arrivé des histoires coquines dans le métro…parfois non voulues, parfois que j’ai moi même provoquées.

      J’ai aussi vu tes interventions sur d’autres billets, tu me fascines 🙂

      Je t’embrasse très fort.

      Prends soin de toi.

      • Christian Réponse

        Coucou ma jolie Fauve. Oh oui j’imagine …Le métro parisien lorsqu’il est rempli…Je vois un peu …Surtout si il y a une panne de courant ah ah Ravi aussi de te lire. Vivement un nouveau dial avec toi.
        Je t’embrasse bien fort. ❤️ ❤️ ❤️

  2. Thibault Réponse

    Si c’est ton délire tant mieux pour toi mais bon les histoires n’ont vraiment plus rien avoir avec avant pffff dégouté

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