Ma première expérience avec une dominatrice SM

Je m’appelle Alexandre, j’ai 35 ans, une situation financière et professionnelle confortable et je suis célibataire. Je suis un charmant garçon équilibré d’1m85 pour 80 kilos même si vous pourriez croire le contraire après avoir lu mon témoignage 😉 Je souhaiterais vous raconter ma première expérience en tant que soumis, mes premiers pas, difficiles mais addictifs chez une dominatrice privée. Je suis très curieux de nature et je souhaitais faire l’expérience d’être dominé par une femme. J’ai donc répondu à une annonce, trouvée sur un site d’annonce gratuite de ma région. Le contenu de l’annonce était à peu près le suivant. Jeune dominatrice privée, cherche un jeune homme, débutant bien venu, fouets et autres accessoires à disposition, j’apprécie particulièrement le gode ceinture. Je lui écris un petit mot, dans lequel je précise que je suis un débutant curieux de tester la domination féminine. Nous convenons d’une date et nous décidons que 2 heures seraient suffisantes pour assouvir ma curiosité. Je me dirige donc en voiture, en direction de son domicile. J’arrive chez elle. Elle est jolie, mince, un peu petite mais je suis content de mon choix. Car on ne sait jamais à quoi s’attendre avec une annonce gratuite. Mais un peu déçu quand même, car elle porte un jean très classique et un col roulé noir. Son appartement de 4 pièces est propre et bien décoré. Elle m’offre à boire dans sa cuisine on s’assoit et elle me demande quels sont mes fantasmes et quelles expériences je souhaiterais vivre. Un peu timide, je lui explique que je suis curieux de nature et que je souhaite expérimenter un maximum de pratiques, sans faire de chichis. Mais je lui dis également que je n’aime pas trop la douleur physique, que mon désir de soumission et de douleur est plutôt cérébral. Je bus et terminais mon verre d’eau. Elle me demande d’aller me laver, elle me donne un gel douche et sort de son panier de linge sale une de ses serviettes de bain. Elle me donne 5 minutes pour la rejoindre nu dans la cuisine, pas une de plus. Douché rapidement, encore humide, j’arrive dans la cuisine, elle me demande de m’asseoir sur une chaise sur laquelle elle a posé le paillasson de la porte d’entrée. Je m’asseyais. Les épines du paillasson très efficaces sur les chaussures me font mal aux fesses. Elle me dit qu’elle a bien réfléchi à ma demande et que nous allons bien nous amuser. Elle me tend 5 feuilles à carreaux, un stylo rose et me demande d’écrire en détail mes fantasmes et tabous et de signer. Je devais remplir 5 pages recto / verso, assis sur un paillasson, j’en ai eu pour une heure ! Déçu, je ne m’attendais pas à ça.  Ce n’est que plus tard que je compris que c’était mon inexpérience qui avait pu me faire penser qu’elle me faisait perdre mon temps. Après que j’eus presque fini de remplir le questionnaire elle revint et poussa ma chaise pour plaquer mon buste plus près de la table, et elle me donna un soutien-gorge et me somma de l’enfiler. Elle remplit deux ballons avec de l’eau froide et me les plaça dans les bonnets du soutien-gorge. Je ne voyais plus la feuille et je me sentais ridicule. Elle vit mon trouble, je m’étais arrêté d’écrire, elle m’ordonna de continuer. Elle revint 10 min plus tard pour me pris en photo sans mon accord, j’étais ulcéré. Après une heure, je terminais enfin cette fichue lettre et je l’appelais en criant presque car elle regardait la TV avec un volume particulièrement élevé, je n’avais pas osé me lever sans son aval.  Elle prit la lettre et commença à la lire en annotant au marqueur rouge dans la marge de la page. Après une page de correction, elle m’expliqua qu’elle décomptait mes fautes d’orthographe de conjugaison et de  grammaire et que pour chaque faute je recevrais une fessée.

-Ainsi ton côté plutôt cérébral en sera satisfait dit-elle sur un ton moqueur.

Je commençais à regretter d’être venu. Je suis dyslexique et écrire en français correct, c’est la croix et la bannière pour moi si je dois écrire sous pression et d’un seul jet, vous imaginez bien que ma lettre était truffée de fautes du coup, le nombre de fessées étant proportionnel, je vous laisse imaginer ce que je pris !Elle m’ordonna de m’allonger sur elle,  les fesses sur ses genoux, et elle commença à me fesser avec les mains. C’était étonnamment douloureux, comment une femme si frêle pouvait-elle frapper aussi fort ? Après 50 fessées bien fortes, elle prit de dessous son cousin une cuillère en bois et continua à me frapper. C’est encore plus douloureux.
Je n’en pouvais plus, et lui demandais d’arrêter. Elle me répondit qu’elle voulait bien arrêter, mais dans ce cas on stoppait tout et que je devais rentrer chez moi. Je ne souhaitais pas partir et lui dis de continuer.  L’excitation que j’éprouvais était plus mentale que physique, le début de mon addiction à ce genre de séances, je rougirais de l’avouer à mes amis, je suis tout de même un chef d’entreprise respecté qui a des responsabilités, ils ne comprendraient pas … Je n’étais pas bien sûr d’y voir clair dans mon propre jeu non plus d’ailleurs … Cette femme était inventive, incisive, elle avait un charisme fou, sans déployer l’attirail très cliché de la domina, elle avait réussi à m’humilier, à me faire perdre le contrôle. Ce n’est que bien plus tard après la séance, le choc de la découverte passé que je fus pris d’une très grosse envie de me branler en y repensant. Elle me laissa poireauter un bon quart d’heure et partit dans la salle de bain. Elle me fit me placer à côté de la télévision et m’ordonna de me mettre en face du mur. Elle déposa un peu de riz non cuit sur le sol, et me somma de m’agenouiller dessus avec le nez contre le mur. Puis elle sortit de sa poche, un string noir probablement pris dans le panier à linge de la salle de bain. Elle me montra le côté intérieur en coton du string. C’est bien un string sale, plein de mouille baveuse et crémeuse qui sentait fort la chatte et la transpiration. Elle me dit qu’elle l’a utilisé pour faire son cours de fitness. Elle m’enfila alors le string sur la tête, le côté en coton sale face contre mon nez, j’ humais à pleines narines ces odeurs féminines très musquées et je me surpris à avoir une trique d’enfer malgré mon dégoût et mon sentiment d’humiliation. Elle me mit au piquet durant une vingtaine de minutes je devais rester dans mon coin, face au mur et ne pas lui adresser la parole. Elle revint, m’enleva le string de dessus la tête et me demanda d’ouvrir la bouche, elle me fourra en entier, c’était salé et je gouttais sa mouille, le jus de son cul, j’étais encore partagé entre la nausée et l’excitation, un savant et indéfinissable mélange troublant des deux. Elle me dit ensuite qu’il était temps pour elle de me prendre par le cul, elle me somma de garder le string jusqu’à nouvel ordre, j’avalais ma salive salée et musquée sans moufter et je la suivis dans la chambre à coucher …

 

A suivre

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