Glory Hole

L’année dernière, je suis partie passer quelques jours à Londres avec ma bande de copines. Nous venions de fêter notre diplôme d’infirmière, et nous avions bien l’intention de profiter de tous les plaisirs de la vie (si vous voyez ce que je veux dire). Nous avions suffisamment été sérieuses comme ça, alors à nous la fiesta, le shopping et la baise ! En école de médecine, nous sommes bien connues pour être de vraies chaudasses, alors pourquoi déroger à la règle ? On avait l’intention de se taper le plus de mecs possible.

Donc, nous avons réservé une chambre dans une auberge de jeunesse, en plein cœur de Londres. Le quartier avait l’air sympa… mais la chambre l’était un peu moins, car nous avions des lits superposés. Ça allait dépanner, et puis de toute façon, nous n’avions pas l’intention de beaucoup dormir ! C’est ainsi que dès le premier soir, nous déambulions dans le quartier de Soho, bien connu pour ses nombreux sex-shops ouverts H24. La curiosité nous a poussées à pénétrer dans l’un d’entre eux. Nous poussions les grosses chaines métalliques, pour nous retrouver aux pays de godes, fuck machine et autres plugs. Je farfouillais dans les rayons, ayant bien l’intention de m’acheter un nouveau vibromasseur, même si j’en ai déjà une dizaine chez moi. Il y en avait de toutes les tailles et de toutes les formes : de la bonne grosse bite, au gentil petit canard, en passant par des avant-bras en silicone. J’avoue que je n’avais jamais essayé le fist jusqu’à maintenant, mais je dois dire que c’était quelque chose qui m’excitait assez.

Il y avait différents étages, et plus on descendait, plus ça devenait hard. Des cravaches, des menottes, des fouets, des muselières… il y avait tout le nécessaire pour assouvir ses fantasmes les plus profonds. Nous avons acheté quelques babioles, puis nous sommes parties manger au restaurant. Pendant le repas, j’avais de nombreux scénarios coquins en tête, si bien que je n’arrêtais pas de me dandiner discrètement sur ma chaise, de manière à faire vaciller mon string entre mes lèvres toutes douces. J’étais déjà complètement trempée. Je dois dire que j’avais très envie de me faire prendre sauvagement, par une ou plusieurs belles queues. Plus il y en aurait, et plus je prendrai mon pied ! J’avais envie de me faire recouvrir de foutre, qu’on me sodomise de manière brutale.

Alors ce soir-là, j’ai attendu que les filles soient endormies, puis je suis sortie discrètement de la chambre, pour retourner au sex-shop. J’ai voulu me faire un petit « kiff » et je suis entrée dans une cabine de Glory Hole. Je n’avais jamais essayé ce truc auparavant, mais l’idée de sucer des queues d’inconnus et de pouvoir m’empaler dessus sans pouvoir voir leur visage, rendant déjà mon clito bien dur. J’ai baissé mon string, et je me suis caressé les seins en attendant qu’une première queue sorte par l’un des trous du mur. Je suis directement allée la pomper goulument. Il n’avait pas de capote et j’ai adoré ça !

Sa queue était vraiment énorme, et je savais que ses couilles bien pleines allaient m’envoyer un maximum de jus ! C’était une bonne bite de black qui devait faire au moins 23cm. Je l’ai sucé jusqu’à en attraper mal à la mâchoire, alors je me suis retournée et je me suis empalée dessus, en prenant appui sur le mur, afin de faire de bons vas-et-viens. C’était moi qui faisais tout le travail, et j’ai vraiment pris mon pied ! Le mec a fini par jouir bien tout au fond de ma chatte, et je suis restée cinq bonnes minutes, avec ma chatte qui dégoulinait de sperme, avant que deux autres queues ne sortent des trous. Je les ai sucé et branlé tous les deux, puis ils ont chacun eu le droit de prendre mon petit cul. Je crois que je n’ai jamais autant eu d’orgasmes que ce soir-là. Le pire c’est que je suis retournée me coucher, comme-ci de rien était, avec mes orifices souillés de sperme crémeux. Si c’était à refaire, je le referai sans hésiter.

 

Sylvia, l’affamée

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *