La Chambre Hot

La Chambre Hot

Je m’appelle Daniel, j’ai 45 ans et je suis divorcé depuis deux ans.

Depuis un an, je retape une chambre à l’étage, dans ma grande maison, bien trop grande pour moi tout seul.
Mon idée, c’était d’en faire une chambre d’hôtes, alors, j’ai bricolé, décoré, et voilà, elle est toute belle, attenante à une petite salle de douche simple et toute jolie.

Il y a toutes sortes de gens de passage, des couples en week-end ou en petites vacances, des personnes âgées, des étudiants, et aussi des gens en déplacement pour leur travail.

Je commence à bien connaître ma clientèle, étant un peu méfiant, je monte de temps en temps à l’étage sous prétexte de faire des travaux, ou d’aller au grenier, ce qui me permet de surveiller un peu mes locataires afin de ne pas avoir de dégâts. C’est indiscret, mais j’assume.

La première fois que j’ai accueilli une femme seule, elle venait pour le travail. La quarantaine, grande, brune, chignon serré, la taille marquée dans son tailleur gris, maquillée discrètement, des petites lunettes et des escarpins à hauts talons, elle était très sexy, mais froide et distante.

Je l’ai aidée à s’installer avec sa valise pour deux jours et lui ai fait visiter les lieux. Nous avons discuté, elle était mariée mais son mari était très souvent absent pour ses affaires et elle voyageait seule la plupart du temps.

Sous son tailleur un peu décolleté, je voyais la dentelle blanche de son soutien-gorge sur la naissance de ses seins, et cela commençait à me faire bander, d’autant plus que la jupe moulait pas mal son joli petit cul.

Le soir, j’ai fait comme d’habitude, ma petite tournée de l’étage pour surveiller.

J’ai entendu le bruit de la douche, et suis resté dans le couloir. J’imaginais l’eau couler sur son corps nu, et cela m’excitait au plus haut point. Je me caressais doucement, et soudain j’ai entendu la porte qui s’ouvrait.
Je me suis caché dans un recoin, et je l’ai vu sortir, entièrement nue et ruisselante, pour regagner sa chambre.

A chacun de ses pas, son cul parfait ondulait, j’étais hypnotisé par ses fesses moyennes, qui bougeaient, ses gros seins nus balançant sensuellement. Ses tétons pointaient bien fort au milieu de ses aréoles larges et sombres.

Ma bite était dure comme du bois et coulait même un peu. Elle est entrée dans sa chambre et a refermé la porte.

Je n’ai pas pu tenir, et j’ai regardé par le trou de la serrure. Elle se séchait avec une grande serviette, délicatement, son corps apparaissait, puis disparaissait et moi, je bandais.

Elle s’est ensuite allongée sur le lit, nue, et a commencé à se caresser. D’abord, les seins, elle faisait passer ses mains aux longs ongles sur sa peu, ses aréoles, ses tétons tout durs, sur son ventre, puis ses cuisses, et elle a écarté ses longues jambes.

J’ai vu sa belle chatte un peu poilue, ses grandes lèvres bien ouvertes et luisantes de mouille, j’étais fou d’excitation, je haletais.
Elle a caressé son clito, faisant mouiller sa belle chatte, ses poils étaient humides, et elle a joui une première fois, la bouche entrouverte, avec de petites secousses qui faisaient bouger ses gros seins. Je caressais ma queue mouillée.

Elle s’est tournée sur le côté, et je pouvais admirer ses belles fesses, qu’elle caressait négligemment en se passant de la crème.

Puis elle s’est tournée, face à moi sans le savoir, allongée sur le côté, et je voyais ses seins nus, l’un contre l’autre, ses cuisses posées l’une sur l’autre, et sa toison encore humide…

Et là, elle a dit bien fort : « le spectacle vous a plu ? ».

J’étais très gêné, et j’ai voulu partir, mais elle a ouvert la porte, nue, je bandais bien dur, et j’avais une bosse dans le pantalon. Elle a souri, et a mis sa main sur mon sexe, et s’est collée à moi. Ma queue grossissait dans ses mains, et je rêvais de la baiser.

Je l’ai caressée partout, et nous avons profité du lit, j’ai léché ses tétons, sa toison, son clito, sa chatte et elle a léché ma queue, et nous avons baisé pendant des heures. Elle adore le sexe, le 69, le missionnaire, la levrette, la sodomie, et moi, j’adore faire claquer mes couilles sur son cul, en tenant ses seins.

Depuis, elle réserve de temps en temps ce que nous appelons la « chambre hot », et je ne me lasse pas de son corps de déesse.

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