L’auto-stoppeuse

L’auto-stoppeuse

Je suis chauffeur-routier depuis une dizaine d’années. Célibataire, je ne manque à personne lorsque j’effectue mes livraisons au loin partant régulièrement plusieurs jours de suite. Autant dire que j’en profite pour voir du pays et que malgré un travail sérieux, je profite de mes voyages !

Le mois dernier, sous une chaleur caniculaire, la société pour laquelle je travaille m’a envoyé dans le sud, du côté des Pyrénées, pendant plusieurs jours. Après un bref passage en Espagne pour les besoins d’un client, je suis passé par Andorre pour une livraison, et j’ai repris la route pour me rendre à Saint-Jean de Luz.

J’étais d’ailleurs impatient d’y faire une petite escale d’une journée, d’une part parce que la fatigue commence à se faire sentir, mais aussi, parce que avec cette chaleur, mais aussi pour profiter des joies de la station balnéaire et des jolis corps bronzés et dénudés que j’allais pouvoir mater à volonté, et cette perspective me redonnait du courage !

J’arrivais à une trentaine de kilomètres de ma destination, sur une route nationale pas trop fréquentée lorsque je vis une forme au loin qui s’agitait, ça alors, une auto-stoppeuse ! Grande, blonde, les cheveux très longs et bouclés, le teint buriné, 25 ans peut-être, elle portait un chapeau de paille, une jupe courte, un tee-shirt échancré, des sandales et un sac à dos. Une vraie bourlingueuse qui n’avait pas l’air d’avoir froid aux yeux en tout cas.

Je décidai de m’arrêter, après tout, cela ne me ferait pas de mal d’avoir un peu de compagnie. Je lui tendis la main, elle la saisit fermement, et grimpa à bord. Elle allait aussi à Saint-Jean de Luz, apparemment, c’était mon jour de chance ! Elle prit place à mes côtés dans le camion, et j’allumai la radio pour avoir un peu de musique ; je crois que je voulais aussi avoir l’air plus cool, car en fait, elle m’impressionnait, et je suis d’habitude plutôt timide avec les femmes.

Elle se présenta brièvement, Sandra, 25 ans, elle s’était disputée avec son mec sur la route et avait préféré descendre de la voiture et faire du stop que de continuer la route avec ce pauvre type. C’était vraiment mon jour de chance. Elle sortit une canette de coca de son sac et m’en offrit une, que je vidai instantanément. Elle, elle prit le temps de déguster la boisson avec sa paille, quelle suçait longuement de haut en bas nerveusement avec ses superbes lèvres charnues. Elle faisait pas attention à moi, et ne s’aperçut pas que sa façon de sucer commençait à me donner la gaule.

Elle commença à se détendre tout en continuant de sucer sa paille, et tout en conduisant, je l’observai. Sous son tee-shirt échancré et un peu transparent, elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses petits seins fermes pointaient, et je pouvais deviner la forme de ses tétons gonflés, je sentais une chaleur envahir mon bas-ventre.

Lorsqu’elle décroisa ses longues et magnifiques jambes musclées, sa jupe remonta bien haut ses ses cuisses, et grâce au miroir posé sur le tableau de bord, je vis qu’elle ne portait pas non plus de culotte, sa chatte entrouverte mouillait d’ailleurs le haut de ses cuisses bronzées.

Cette fille à côté de moi était entièrement nue sous le peu de vêtements qu’elle portait, mon sexe se dressa immédiatement, complètement dur, chaud, mes couilles pleines me faisaient presque mal tellement j’avais envie de la baiser, là, tout de suite, cette belle allumeuse.

Nous nous sommes arrêtés à la station-service, elle resta dans le camion pendant que je faisais le plein. En rentrant dans la cabine, je vis qu’elle avait remonté sa jupe plus haut et je commençai à penser que cette jolie salope l’avait fait exprès.

Elle me sourit et me demanda si nous pouvions nous arrêter à l’aire de repos. Si près de notre destination, j’étais étonné et lui dis, mais elle me sourit en passant la langue sur ses lèvres. Je bandai directement et j’arrêtai le camion.

Je fermai mon rideau, et quand je me retournai, elle avait enlevé son tee-shirt, ses seins nus pointaient vers moi, elle avait de gros tétons bien gonflés et durs que je pris en bouche immédiatement, elle gémit, je lui mordillai les seins, la langue lui léchant les pointes.

Ma bite allait exploser, elle la sortit de mon pantalon et se mit à me faire une pipe incroyable, ma queue était raide  et chaude, elle s’assit alors sur moi, jambes écartées, dos contre moi, je caressai ses seins par-derrière, son cul rebondi faisait des va-et-vient et claquait sur mes cuisses, elle criait de plaisir.

Sous ses va-et-vient diaboliques, ma queue finit par décharger, et elle jouit en même temps que moi, en criant son plaisir, comme moi. Je continuai de la caresser longuement et elle aussi, nus l’un contre l’autre.

Nous avons bien le temps, et d’ici Saint-Jean de Luz, je pourrai la baiser encore deux ou trois fois, au moins…

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