Le privé si chaud

Le privé si chaud

Depuis que je suis hôtesse sur le telrose, j’ai découvert des sensations intenses sur le numéro privé. Le fait que personne ne puisse nous écouter, le fait que nous puissions nous lâcher plus sur nos dialogues chauds, sur notre vocabulaire cru, sur nos scénarios érotiques. Je me lâche totalement ! Je deviens autant une salope soumise (qui aime être traitée de salope, de chienne, de pute) qu’une dominatrice sévère (qui aime rabaisser, humilier, fesser les soumis), au gré de nos humeurs.

A chaque appel, je me demande à quelle sauce je vais être mangée. Moi, qui attend un appel sur mon canapé ou sur mon lit, toujours légèrement vêtue, avec cette excitation en moi. Mais surtout, je suis toujours accompagnée de mes godes pour m’amuser à 100%.

Ce soir-là, mon téléphone sonne, je reconnais sa voix, il adore appeler sur le telrose, et surtout il aime m’appeler, car il sait que nous allons loin dans nos jouissances respectives.

Je sens dans son souffle son envie, son excitation. Il est direct, il a juste envie que je sois sa salope ce soir, son vide-couille (comme il aime me le dire.). Il me demande dans quelle position je veux être prise. Je ne réfléchis pas et lui dis direct : “En levrette”. Son souffle est de plus en plus rapide, je ressens encore plus son excitation au téléphone. Il ne veut pas m’entendre parler, il veut juste ressentir mes gémissements, mon envie d’être prise comme sa salope.

Je me mets à quatre pattes à sa demande et pour vivre ce moment. Je mets ma main dans mon tanga en dentelle. Je commence à me toucher, je suis déjà mouillée, il me rend folle dans ses propos salaces. Oui ! Je suis sa pute à ce moment-là. Je gémis, mes doigts jonglent entre mon clito et ma chatte. Il me fait entendre sa queue au téléphone, elle est tellement dure. Je vis le moment comme si ma main était la sienne.

Il me demande de prendre mon gode, de le positionner sur mon clito toujours en levrette, de bien le frotter, que je fasse durcir mon bouton rose. Ça m’excite, je lui dis : “défonce-moi ! Viens me baiser !”. Je ferme les yeux, je rentre le gode en moi, c’est sa bite que je ressens. Je l’imagine en moi, bien au fond, en me donnant de grands coups de bite.

“T’aimes ça, salope !”, me dit-il. Et oui, je l’avoue j’aime cela, d’être prise comme une bonne chienne. Je suis sa pute, lui mon gros cochon. Nous nous excitons au téléphone. Il me dit : “T’es ma salope, t’aime le cul, cela se sent !”. Il me demande de me mettre des fessées comme si c’était lui qui me tambourinait mon cul. Je le fais, j’ai les fesses rouges de plaisir. Je rentre et je sors mon gode de ma chatte. Je mouille tellement que le gode n’a aucune difficulté à faire des va-et-vient.

Cela va très vite, il a envie de jouir, il crie, je gémis comme jamais. J’ai tellement envie de me faire du bien également, il ne peut plus se retenir et gicle en me disant “Prends ça ma pute !”. Cela m’excite et me fait jouir à mon tour en donnant des coups dans ma chatte avec mon gode. Que c’est bon !! Je pense que son sperme est au fond de moi, j’adore !!!

Nos souffles sont au même rythme, c’était rapide et intense. Il bande encore, il veut imaginer que je nettoie sa queue pleine de sperme. Je m’exécute ! Je sors mon gode de ma chatte et le pose sur ma bouche. Je pense que c’est sa bite, je lèche mon gode, fais des gorges profondes (il bande encore plus en m’entendant cracher de la salive sur mon gode). Je fais des va-et-vient dans ma bouche, je n’en peux plus. Il me dit : “ça monte, je vais gicler ! ”. Il hurle de plaisir en imaginant m’envoyer tout son sperme au fond de ma gorge, et tout avaler. Nous n’en pouvons plus, nous sommes épuisés de plaisir.

Il me raccroche au nez. Ce n’est pas grave ! Je sais qu’il me rappellera pour de nouvelles jouissances. J’ai si hâte….

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