Ma voisine confinée

Ma voisine confinée

Dans l’immeuble où j’habite, nous sommes assez nombreux, et deux par palier. Moi, Jérôme, 39 ans, récemment divorcé, j’habite au 2ème étage, tout seul, dans un superbe deux pièces.

Les voisins sont plutôt sympas, mais le souci c’est l’isolation phonique, on entend vraiment bien ce qu’il se passe chez ses voisins. Ma voisine de palier est charmante, c’est peu dire, elle vit seule, la trentaine, brune, les cheveux longs, une taille de guêpe, une belle paire de seins,  un cul bombé, et de longues jambes. Elle s’habille toujours de façon très sexy, même aguichante, et se maquille comme une star. Il faut bien le dire, elle est super bandante, et je me la ferais bien.

Elle vit seule, mais ne passe pas ses nuits seule ! Ma voisine, Céline, a tous les soirs un homme différent pour lui tenir compagnie, et j’entends tout, le lit qui grince, les gémissements de Céline, ceux de son amant, et même les bruits de la capote.

Je suis mort de jalousie, je voudrais tant être à la place du mec et culbuter Céline comme une grosse salope. Elle me chauffe la queue ; chaque fois que je la vois, que je pense à elle, je bande comme un dingue, et quand je l’entends se faire baiser par un mec et jouir, je me branle comme un fou, et je gicle tout mon foutre en rêvant que ce soit en elle.

Mais elle préfère ne pas mélanger le sexe et le voisinage pour éviter les histoires, c’est ce qu’elle a confié à une de ses copines. Alors, je n’ai aucune chance et je me branle tristement.

Et puis, voilà, cette histoire de virus qui nous tombe dessus. Moi, j’ai un travail de bureau, je me retrouve en télétravail, et confiné avec les mesures qui ont été prises. Aie, aie, ça va être dur et très long !

Le premier jour de confinement, je me suis occupé, et puis j’avais du travail. Le soir, je me pose, je mate un peu de porno dans mon canapé, et je me fais du bien. Puis, je me couche.

J’entends des bruits qui viennent de chez Céline, comme un rasoir, et puis des gémissements ; je m’inquiète, on ne sait jamais et tant pis, je vais porter secours à ma voisine malgré le confinement, c’est un cas de force majeure.

Je sors en caleçon sur le palier. Je frappe, j’insiste, elle est un peu longue, puis elle entrouvre sa porte en peignoir de bain. Je lui explique les bruits que j’ai entendus, et elle rougit. Elle me dit de ne pas m’inquiéter, mais que avec le confinement, elle ne peut plus recevoir de mecs chez elle, et que le sexe lui manque vraiment trop, alors elle se faisait du bien avec un gode vibrant.

Rien qu’à l’imaginer, nue, jambes écartées, avec son gode vibrant dans la chatte, ma queue durcit d’un coup et fait une grosse bosse dans mon caleçon. Elle le voit et sourit, et je rougis, gêné.

Et là, l’inimaginable se produit. Céline sourit et me dit «  vu que nous sommes confinés pour un certain temps et tous les deux seuls, on pourrait peut-être se rendre service ? » et elle montre du doigt la bosse dans mon caleçon. Je m’approche et elle me fait entrer.

Aussitôt chez elle, elle me plaque contre le mur, et ouvre son peignoir, laissant apparaître ses beaux gros seins bien fermes, avec de belles aréoles sombres et larges, et des tétons excitants tout ronds et tout durs, dressés vers moi, sa chatte est toute épilée, elle a juste un ticket de métro, je bande, j’ai chaud.

Je retire mon boxer, elle se colle contre moi, je l’embrasse à pleine bouche, ma langue caresse la sienne, et ses seins se plaquent contre mon torse, je sens ses tétons tout durs, et elle colle son ventre contre le mien, je saisis ses fesses et je la serre contre moi.

Elle remonte sa jambe contre la mienne, entrouvrant sa chatte, et je caresse son clito, elle gémit, je lèche ses seins, je suce ses tétons, et j’enfonce deux doigts dans sa chatte trempée, elle hurle de plaisir.

Elle m’entraîne vers le lit, et me caresse les couilles, elle titille mon gland avec sa langue, et se met en 69, je lui lèche le clito, je bouffe sa chatte en feu, elle gémit et me tend sa chatte en me suppliant de la prendre.

Je m’allonge sur le dos, la bite dressée, et elle s’empale dessus, je vois ma queue disparaître dans sa chatte, ses seins balancent, elle se rejette en arrière et se branle le clito, je regarde, je gémis, je me redresse, je saisis ses seins, et suce ses tétons, je masse ses fesses, et elle jouit, elle hurle, renversée en arrière, et je jouis aussi, en inondant sa chatte de mon foutre épais et chaud.

Elle s’allonge à côté de moi, et me propose que l’on reste confinés ensemble… je suis le plus heureux de tous les hommes ! Je vais baiser ma superbe voisine nymphomane à volonté, je bande déjà en y pensant !

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