Mon petit mari soumis partie 2

Mon petit mari soumis partie 2

Voilà, mon petit mari soumis, Eric, a bien intégré sa condition. Il est heureux comme jamais et affiche un air béat. Je suis, moi aussi, très heureuse de la situation. Tout se passe très naturellement, et c’est très excitant !

Aujourd’hui, j’ai ordonné à Eric de faire la lessive à la main, habillé en soubrette, avec une culotte ouverte derrière et devant, il porte sa cage de chasteté. Cela fait maintenant un mois que je lui ai posé sur la queue pour la première fois, et même si il a souffert un peu au début, il s’y est très bien habitué.

Au début, cela a été difficile. Je lui ai posé la cage moi-même, et il bandait dur, ce qui rendait la chose impossible. J’ai été obligée de me fâcher contre lui, et même de frapper ses sacs à jus de petite salope pour réussir à le faire débander ! Une fois la cage mise, je l’ai fermée à clé, et bien sûr, je suis la seule à avoir la clé et savoir où elle se trouve…

Mon plaisir, au tout début, était de me promener à poil devant Eric qui portait sa cage, il avait ordre de regarder, bien entendu. Je me déhanchais lascivement devant lui, me caressant les seins, faisant pointer mes tétons, et pauvre chéri, il était au supplice, ma queue voulait grandir mais la cage l’en empêchait et il souffrait beaucoup et était très frustré !

Mais la frustration fait partie de l’éducation…je l’effleurais, nue, mes tétons dressés contre son torse, sur son visage, sur sa bouche, ma chatte mouillée se frottant sur son corps, mais interdiction pour lui de me toucher, il était d’ailleurs attaché bien solidement avec des menottes à la chaise !

La pauvre lopette suppliait d’être détachée, me suppliait d’ôter sa cage de chasteté. Et moi, je riais, je me moquais de lui en le narguant, et lui disant «  non, tu ne peux pas toucher, tu dois apprendre, allez, regarde comme mes seins sont fermes, comme mes tétons sont durs, comme ma chatte est mouillée ». Et je mouillais mes doigts en les passants sur mes tétons. Comme cette lopette suppliait encore de retirer la cage pour ma sauter comme il disait, j’ai mis des pinces sur ses tétons pour le calmer et aussi sur ses testicules pleines. Il a crié de douleur, mais la douleur aussi fait partie de l’éducation….

J’ai alors inventé un jeu pour lui faire accepter sa cage de chasteté. Il devait apprendre la patience, quelle que soit la situation. Je l’ai installé par terre bien confortablement, juste à côté de sa gamelle à repas, et je lui ai préparé des distractions spéciales.

Pendant une demi-heure, je lui ai fait regarder des shows webcams avec des hôtesses plus sexy les unes que les autres, nues, se caressant les seins, se godant la chatte, et tout ça en gros plan. J’ai bien sûr choisi les animatrices en fonction des goûts de mon petit pervers de mari…il a tenu le coup, en suant, sa pauvre queue tentait de grossir, mais la cage l’arrêtait, il ne s’est pas plaint et j’ai été très fière de lui. Il a eu le droit de me lécher le cul deux minutes, pas plus.

Puis, pour son bien, je suis ensuite passé le lendemain à la vitesse supérieure. Je l’ai attaché, et obligé à regarder des vidéos pornos pendant une heure. Pendant une heure, il a dû mater de belles lesbiennes nues qui se léchaient les seins, le minou en 69, le cul, et je sais à quel point c’est difficile pour lui de résister car d’habitude, voir des lesbiennes le fait éjaculer très vite tellement cela l’excite ! Sa misérable queue gonflait, il était tout rouge, il suait, il suppliait de retirer la cage et pouvoir se branler enfin.

J’ai frappé ses sacs à jus et pour le punir, j’ai ajouté une heure de supplice, avec des vidéos de plus en plus chaudes, de femmes nues, avec de beaux gros seins, des grosses chattes épilées et serrées se léchant, se godant….et une autre heure de vidéos pornos avec des couples hétéros, dont les femmes étaient super bandantes et les mecs canons et bien membrés.

Je me suis assise , nue, à côté de lui, attaché et encagé, en lui disant, « ah mon pauvre chéri, dire que tu ne peux pas faire tout ça, avec ta cage, regarde les vrais mâles, les queues bien dures, et regarde-toi pauvre lopette que tu es, tu es ridicule à côté d’eux ! Et eux, regarde comme ils baisent bien ces superbes femmes, elles sont excitantes n’est-ce pas ? Regarde comme leurs seins balancent, comme elles jouissent, comme elles sucent bien les grosses queues bien dures hum, ça t’excite, hein, ma chose ? ». « Oh oui Maîtresse, je mouille » dit-il d’une voix plaintive. J’ai ri et coupé les vidéos, «  Va faire tes corvées, maintenant, lopette ! »

Et lopette partit chercher le linge, jambes écartées, en gémissant….

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *