Mon prof de fac

Mon prof de fac

Je m’appelle Lisa, j’ai 21 ans et je suis étudiante en deuxième année de licence de Lettres Modernes  Je suis une élève studieuse et régulière et j’ai des matières fétiches. J’aime particulièrement la linguistique, la poésie et la littérature comparée.

Comme les autres étudiants, je sors le week-end, fêtes, boîtes de nuit, soirées étudiantes…Je n’ai pas de petit ami, car mes études passent avant tout, mais comme je n’ai pas fait vœu de chasteté, de temps en temps, je ne suis pas contre une petite aventure sans lendemain car, comme le dit une chanson connue « il faut bien que le corps exulte » !

Le week-end dernier, mon corps a donc exulté plusieurs fois, avec un étudiant rencontré lors d’une soirée en centre-ville. Grand, brun, les yeux noirs, les cheveux longs, il m’avait tout de suite tapé dans l’œil.

Il me regardait avec insistance, dans les yeux, puis regardait ma bouche maquillée légèrement et surtout mes jambes nues sous ma mini-jupe en soie noire. Je portais un haut moulant en velours rouge, décolleté qui montrait mes seins généreux et annonçait ma volonté d’attirer l’attention. J’avais relevé mes longs cheveux blonds en une queue de cheval haute, et mis quelques bijoux.

Toute la soirée, il m’a effleurée, puis nous nous sommes embrassés à pleine bouche, ses mains plus précises sous ma jupe et sous mon petit haut. Mes seins pointaient et cela se voyait. Très excités, nous sommes allés dans sa chambre d’étudiant et nous avons fait l’amour tout le week-end, explorant tout le kamasutra .

Pendant un cunni long et merveilleux, une image me vint en tête, celle de mon prof de littérature comparée, un homme d’une quarantaine d’années, grand, brun, habillé de façon très élégante et un peu cassant dans sa manière de parler. J’étais assez étonnée, mais mon orgasme fut très intense et je ne me posai plus de questions, j’en profitai pleinement, et reconnaissante, je fis une belle et longue fellation à mon partenaire, ses couilles pleines posées dans ma main, ma langue titillant son gland, jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche, inondant ma bouche de son sperme épais que j’avalai doucement.

Dans la nuit du dimanche au lundi, je ne fis que rêver de mon professeur, cet homme étrange, distant, caché derrière ses lunettes carrées, la démarche souple, les gestes élégants, tout en lui respirait la distinction et l’intelligence.

Il m’impressionnait beaucoup et je me sentais toujours timide et gauche en sa présence avec cette impression dérangeante d’être nue devant lui.

Maître de conférences, c’est un passionné qui jongle comme un virtuose avec Rimbaud, Goethe, Claudel, Gérard de Nerval… Sa voix douce est hypnotique, et dans l’amphi, l’on peut entendre le silence autour de lui.

Cette nuit-là, je jouis dans ses bras, dominée par cet homme magnétique, dans un rêve incroyablement érotique.

Ce lundi, j’avais cours avec lui en travaux dirigés et j’étais très troublée par mes rêveries de la nuit passée. Je me sentais en même temps très émoustillée et je ne savais comment cacher mon trouble, j’avais l’impression qu’il devinait tout. Soudain, il fut près de moi et me demanda de venir le voir après le cours. Que me voulait-il ? Je me sentais toute excitée et un peu effrayée à la fois.

Le cours fini, la petite salle se vida, et nous étions seuls, la porte fermée. Il me demanda de façon très directe pourquoi je semblais si absente alors que d’habitude il me trouvait plutôt brillante et passionnée. Je rougis. En homme expérimenté, il sembla deviner la raison de mon trouble et me dit «  vous n’êtes pas la première étudiante à fantasmer sur un professeur, vous savez ? Il n’y a rien de mal à cela, je ne suis pas de bois et je vous trouve aussi très séduisante ».

Il me prit par les épaules, les caressa et les dénuda en faisant glisser mon corsage. Je le dévorai des yeux, il prit ma bouche et la pénétra doucement avec sa langue habile, jouant avec mon désir. Il embrassa délicatement mes épaules, ma nuque, enleva mon corsage, puis dégrafa mon soutien-gorge.

Il caressa longuement mes seins aux pointes durcies, les lécha avec délice, j’étais très excitée, je retenais mon souffle. Il m’assit sur la table, face à lui, releva ma jupe, et retira ma culotte en me regardant dans les yeux. Sa chemise entièrement ouverte, il plaqua son torse contre mes seins, puis écarta mes jambes et se mit à lécher ma chatte trempée, il dirigeait tout, j’adorais être à sa merci comme une poupée qui lui appartenait. J’inondai son visage de mouille, j’avais envie de lui de façon urgente.

Il le devina, et toujours debout, il mit mes genoux sur ses épaules et s’introduit en moi, profondément, et fit une pause tout au fond de moi. Je tremblai de plaisir, je gémissais, il mit sa main doucement sur ma bouche pour personne ne nous entende, tout en faisant des va-et-vient en moi avec sa belle longue queue bien dure et circoncise, il gémissait contre ma bouche, son souffle mêlé au mien. Quand il jouit, il gémit longuement contre ma joue, mon oreille, et je ne tardai pas à jouir aussi, en plusieurs vagues de plus en plus intenses, je tremblai de plaisir et je gémis aussi la bouche enfouie dans son cou en le mordillant pour ne pas crier plus fort tout mon plaisir.

Nous nous sommes vite rhabillés, car il y avait un peu de bruit dans le couloir, j’étais ailleurs, et il me dit en ouvrant la porte «  à bientôt Lisa, il va falloir mettre plus de passion dans les devoirs que tu me rends, maintenant… ».

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