LE BON MOMENT AU BON ENDROIT

LE BON MOMENT AU BON ENDROIT

Bonjour, je me nomme Loïc. J’ai 26 ans et je suis ingénieur informaticien. Je suis ce qu’on appelle péjorativement un nerd, c’est-à-dire, un jeune homme, passionné d’informatique, qui se réfugie dans les jeux vidéos plutôt que dans la vie sociale.
Si j’en suis venu à être comme ça, c’est parce que depuis tout petit j’ai eu des problèmes de santé, de dos plus précisément. Je n’ai donc jamais pu faire de sport, ou de sortie trop physique. Je me suis donc tourné vers une activité solitaire, l’informatique.

Cependant cette histoire se déroule à l’hôpital. Suite à une intervention, je me suis retrouvé 3 semaines sur un lit d’hôpital. Les chambrés étaient double et mes voisins allaient et venaient au gré de leurs maladies ou blessures.
J’étais à 3 jours de ma sortie quand mon nouveau voisin, victime d’un accident de moto, vint me rejoindre. Il s’appelait Julien, et il avait été percuté par un utilitaire. Il avait beaucoup de fractures mais rien qui ne se rétablirait avec le temps.

Durant la première journée, on a plutôt bien sympathisé car il aimait les jeux vidéo. Il me raconta aussi qu’avec sa copine ça ne se passait plus très bien et qu’il comptait rompre. D’ailleurs c’est ce qu’il comptait faire quand il a eu son accident.
Le lendemain, sa famille est venue le voir. Ma foi très charmante, ils lui ont apporté un gâteau, qu’il a partagé. Sa copine devait aussi passer mais le temps s’écoulait sans qu’elle ne vienne. C’est donc juste un quart d’heure avant la fin des visites qu’elle s’est pointée. Elle s’appelait Marie, assez petite (1,55m) mais mince. Les cheveux châtains clairs et un petit air d’innocence qui contrastait avec ce que m’avait décrit Julien.

  • Il était temps, commença-t-il par dire
  • C’est bon, je suis venu, n’en fait pas un drame. J’ai été occupé toute la journée.
  • heu… tu sais que j’ai faillit y passer quand même.
    -Oui, se reprit-elle, mon pauvre, heureusement que tu vas guérir. Et sinon tu penses que tu sera sur pied pour la mega fête de dans deux semaines.
    -tu fais bien d’en parler. Non, je ne serais pas remis, mais en plus je ne voulais plus y aller avec toi. Notre relation est de plus en plus difficile, il faut que l’on se quitte.
    -QUOI !!! tu déconnes, tu ne vas pas me faire ça ?
    -Tu ne m’écoutes pas, tu n’en fais qu’à ta tête, moi, ça m’énerve.
    -Sale connard, finit-elle en se levant pour partir.

C’est alors qu’elle se tourna vers moi.
– Tu vas voir ce que tu perds.

Elle prit ma couverture pour la virer et me baissa le pantalon.
-Laisse toi faire, dit-elle d’un ton impérieux.

Elle prit ma bite dans sa main et lécha mon gland. Mon érection se développa au fur et à mesure de ses coups de langue.
Je ne me souviens plus si Julien me parlait, mais moi tout ce qui m’obnubilait, c’était la pipe qu’on me faisait. Une fois bien dressé, elle me prit en bouche entièrement et s’appliqua bien à aller de bas en haut. Parfois elle s’arrêtait pour jouer avec sa langue.
Par réflexe, je mis ma main sur sa tête et elle ne me repoussa pas. Je gémis sous ses assauts d’experts jusqu’à ce que je sente ma sève monter et j’éjaculai dans sa bouche. Loin d’être dégoutté, elle s’activait toujours pour que tout mon sperme soit bien évacué et inonde sa bouche.

Une fois ceci fait, elle se redressa, me regarda, regarda Julien et avala tout ce qu’elle avait emmagasiné. Puis elle repartit sans dire un mot sous nos regards interloqués!

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