Sous la robe 1

Sous la robe 1

Je m’appelle Sylvie et j’ai 41 ans, je suis mariée depuis 15 ans à Jean, 45 ans. Nous avons eu de bons moments, et puis la routine s’est installée. J’ai tenté de sauver notre couple, et de rallumer la flamme, car sexuellement, Jean s’était éloigné.

Lorsque j’ai vu sa maîtresse, une blonde de 30 ans, canon, super bien foutue, j’ai compris pourquoi il ne me touchait plus !

Sa salope était une vraie bombasse, gros seins, cul bombé, cheveux longs ultra-brillants, maquillée, manucurée et habillée super sexy. La nana porte la mini-jupe moulante ras-la-moule avec aisance, perchée sur ses talons aiguille de 12 cm ! Évidemment, je ne fais pas le poids contre cette petite pute, surtout que je me suis laissée aller depuis quelques années.

J’ai repris les choses en mains, pour concurrencer ma rivale. Coiffure, maquillage, manucure, j’ai encore un très beau corps, je suis sportive, svelte, avec de beaux seins moyens en forme de poire, tendres et fermes, et un joli cul rebondi, de longues jambes musclées et de longs cheveux châtain tout bouclés. Je me suis relookée moi aussi en salope de luxe, robe moulante et courte, décolleté profond et talons aiguilles. Mon mari a recommencé à me baiser, je l’ai sucé comme jamais, sa queue en était brûlante ! Nous avons essayé toutes les pièces de la maison, en levrette, en amazone, et j’ai tout tenté pour l’allumer, me promener à poil autant que possible, l’inviter sous la douche, inventer des jeux sexuels où nous mangeons des friandises sur nos corps respectifs…

Il m’a baisée, mais sans plus, juste du sexe, du très bon sexe, car mon mari est très bien membré, il a une queue de 20 cm et 5 cm de large. Il est très endurant et moi aussi, et nous adorons les jeux de langue. Autant dire qu’il s’est défoncé pour me faire de superbes cunnis qui m’ont fait inonder son visage de mon plaisir ! Après, il m’enfonçait sa grosse et longue queue au fond de la chatte ou du cul et nous recommencions à jouir.

Mais rien n’a pu sauver notre mariage, Jean avait le démon de midi avant l’heure de l’apéritif, et il avait déjà pris une autre maîtresse ; il avait besoin disait-il de connaître d’autres corps, d’autres expériences, d’autres aventures. Et il voulait aussi vérifier son pouvoir de séduction. Bref, j’ai décidé de divorcer, Jean n’était pas d’accord, il m’aimait toujours et voulait juste être volage ! Alors j’ai pris un avocat, et lui en a pris un autre.

Je dois dire que le premier entretien avec mon avocat a été fort instructif. Maître Philippe.B est un  bel homme très séduisant, sans alliance qui a choisi de rester célibataire. Il approche la cinquantaine, cheveux poivre et sel frisés, et un air très sûr de lui qui me fait beaucoup d’effet. Il est grand, mince, et il sent très bon…

J’ai tout de suite vu que je lui plaisais, et il ne s’en cachait pas, j’ai aimé son côté entreprenant. Le soir même de notre premier entretien, nous dînions ensemble. Il a caressé ma main sur la table, j’ai caressé sa queue sous la table avec mon pied déchaussé, il bandait bien dur, je l’ai allumé toute la soirée avec mon décolleté provocant montrant encore plus que la naissance de mes seins généreux et passant ma langue sur mes lèvres avec gourmandise.

Nous sommes vite montés à l’étage après avoir loué une chambre, et il m’a plaquée contre le mur, en m’embrassant à pleine bouche. J’avais envie de sexe sauvage, je lui ai saisi les fesses et les ai remontées en appuyant bien fort.

Il a ouvert mon chemisier, et il a littéralement bouffé mes seins, s’attardant sur mes tétons de plus en plus durs, longs et gonflés, qu’il léchait en entier, les faisant devenir de plus en plus longs et durs. Ma chatte était trempée, et il frottait sa longue bite bien dure contre mes cuisses.

J’ai remonté ma jambe contre sa hanche, il a enfoncé deux doigts dans ma chatte bouillante, me faisant hurler de plaisir. Puis, il m’a soulevée et pénétrée profondément en me donnant des grands coups de bite de plus en plus rapides, je hurlais de plaisir et lui aussi. Il m’a défoncée ma chatte de salope, debout contre le mur, face à face, puis il m’a retournée, face contre le mur, et m’a prise par-derrière, dans mon cul de bonne pute affamée de sexe. Il a giclé tout son foutre chaud et épais pendant que je criais de plaisir, et j’ai nettoyé sa bite avec application, lui mettant un petit doigt dans le cul pour le faire redémarrer…

C’est bon de savoir ce qui se cache sous la robe d’un avocat…

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