Soumis et confiné

Soumis et confiné

Je m’appelle François, j’ai 56 ans, et je suis soumis. Depuis des années, je suis dressé sévèrement et efficacement par Maîtresse Luna, une domina perverse et cruelle à souhait avec laquelle j’ai beaucoup appris.

Je n’ai pas été facile, j’avais 52 ans quand je l’ai connu, et je ne connaissais que des expériences épisodiques de soumission.

Maîtresse Luna, jugeant que j’étais assez mature et motivé, a accepté de me prendre à l’essai pendant un an. Mais je devais vivre à son domicile en permanence, n’ayant le droit de sortir que pour travailler puisque cela était nécessaire. Hormis cela, pendant mes congés, j’étais confiné drastiquement chez Maîtresse, et bienheureux en plus

Lorsque Maîtresse Luna s’absentait, j’étais contrôlé par une caméra qui était reliée à son téléphone mobile ou son ordinateur, et maîtresse avait les yeux rivés sur ma nullité chaque fois qu’elle le désirait.

Je savais que je n’étais qu’en sursis, j’avais un an de mise à l’épreuve avant de signer mon contrat de soumission entière et absolue à Maîtresse. J’ai pris sur moi pour étouffer mes rebellions passagères et Maîtresse a su me punir avec justesse et sévérité.

Mes journées étaient très complètes et bien ordonnées. Ma vie ne tournait qu’autour de Maîtresse et surtout de son bien-être et la satisfaction de ses besoins et de ses moindres désirs.

Elle m’a rebaptisé Françoise et a fait de moi sa soubrette, sa chose, son esclave reconnaissante.

Je devais dormir dans un sac de contention aux pieds de Maîtresse, baillonnée et les mains menottées. Il m’est arrivé de pleurnicher car je me sentais humiliée, et Maîtresse me punissait avec amour, me fouettant les fesses, les cuisses, et les testicules, et alors, je la remerciai et m’endormai d’un sommeil serein, me promettant de ne plus la déranger avec mes enfantillages.

Il arrivait aussi que Maîtresse m’envoie baiser la poupée gonflable, et se moque de moi, en train  de m’humilier avec ce jouet ridicule qu’elle avait choisi pour moi.

Dès le matin, je m’occupai du petit déjeuner de Maîtresse, de laver son linge, de tenir la maison, préparer les repas, faire le travail administratif, le ménage etc… tout cela en tenue de soubrette, et avec une culotte fendue. Maîtresse pratiquant le troussage de domestique intempestif, je devais être disponible et me baisser dès que Maîtresse voulait prendre sa salope au gode-ceinture.

J’étais alors confinée et heureuse, en vase clos avec Maîtresse qui me laissait enfermée alors qu’elle sortait voir ses amants, et revenait remplie de bonheur et de sperme que je devais nettoyer avec ma langue, agenouillée entre ses jambes écartées, quel bonheur ! La mouille divine de Maîtresse couplée avec la semence virile d’un homme qui l’avait faite jouir, l’extase pour la chose ridicule qui avait la chance d’en récolter les miettes !

Au bout d’un an, Maîtresse avait signé mon contrat de soumission, ce fut une belle cérémonie pour laquelle elle avait convié quelques invités hommes et femmes, accompagnés de leurs soumis(es).

C’était le plus beau jour de ma vie.

Maîtresse et moi vivions heureux, moi à ses ordres, et elle libérée de toute contrainte devenues miennes.

Le malheur arriva lorsque Maîtresse entreprit un voyage familial dans un pays voisin. J’attendais tristement son retour, astiquant ma cage de chasteté dont Maîtresse avait emporté la clé, souffrant parfois de quelques érections douloureuses en pensant à Maîtresse, si belle, si désirable. Ma pauvre queue pleurait à travers sa cage et je comptais les jours me séparant du retour de mon adorée Maîtresse sévère et perverse.

Puis l’épidémie survint, et rapidement, nous avons été soumis au confinement ; la situation en elle-même m ‘était familière, mais le drame, c’est que les frontières étant fermées, Maîtresse est obligée de rester dans sa famille, dans l’autre pays.

Mon quotidien est maintenant fait d’entretiens en webcam avec Maîtresse qui a trouvé une nouvelle façon de me frustrer. Je dois m’exhiber en caméra devant elle, la distraire, et elle, elle ne se montre pas…je ne la verrai que quand elle l’aura décidé et que j’aurai accompli toutes mes tâches. Et même encore, si elle décide de me frustrer, je ne suis pas certain de la voir, alors qu’elle surveille tous mes faits et gestes.

Et le pire, c’est que je me sens encore plus soumise et impuissante, et que cela m’excite terriblement …

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